Commission Européenne recherche
Source : http://cordis.europa.eu/result/rcn/148886_fr.html
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Pays: Royaume-Uni
Résultat en bref
Référence du projet:
261411
Financé par:
FP7-HEALTH
Pays: Royaume-Uni
Title: Trouver un lien entre certains médicaments et des pensées suicidaires [Print to PDF]
Grâce au projet STOP («Suicidality: treatment occurring in paediatrics»), un outil d'évaluation et de suivi a pu être développé.
Il sera maintenant testé sur trois groupes d'enfants et d'adolescents.Le premier groupe se compose de 400 enfants et adolescents sous traitement antipsychotique.
Le deuxième groupe a recruté 240 patients prenant des antidépresseurs.
Et, le troisième groupe rassemble 200 enfants sous traitement antiasthmatique.
L'efficacité de cet outil sera ensuite comparée à la norme actuelle de référence, l'algorithme de classification de l'évaluation suicidaire de Columbia (C-CASA, pour Columbia Classification Algorithm of Suicidal Assessment).Dans le cadre de l'étude STOP, les chercheurs ont mis au point une méthodologie susceptible de détecter les signes d'effets indésirables liés au suicide découlant de la consommation médicamenteuse (SRAE, pour signals of suicide-related adverse events).
Cette méthodologie a été élaborée à partir des données obtenues lors d'études à grande échelle.Cet outil possède un énorme potentiel.
Il pourra être utilisé dès que les enfants ou les adolescents commenceront un nouveau traitement.
Si certains effets secondaires sont corrélés avec des tendances suicidaires, il sera possible d'y être particulièrement attentif.
Cet outil pourra également être exploité pour suivre les tendances suicidaires des patients lors des soins cliniques de routine.La version finale en ligne du système pourra par ailleurs être adaptée pour les ordinateurs portables, les tablettes et autres téléphones mobiles.
De telles innovations technologiques rendront cet outil encore plus convivial.Il a déjà permis de faire d'importants progrès sur cette question.
Ses recommandations concernant la façon de déclarer des effets indésirables graves ont été publiées dans la littérature.
Les chercheurs du projet pourront également faciliter la collection des données biologiques provenant d'autres études.
Les causes profondes des tendances suicidaires seront ainsi mieux comprises.In fine, les résultats de ces recherches permettront aux cliniciens d'identifier les groupes à haut risque.
Des interventions prophylactiques pourront alors sauver des vies dans de multiples contextes.
Il sera maintenant testé sur trois groupes d'enfants et d'adolescents.Le premier groupe se compose de 400 enfants et adolescents sous traitement antipsychotique.
Le deuxième groupe a recruté 240 patients prenant des antidépresseurs.
Et, le troisième groupe rassemble 200 enfants sous traitement antiasthmatique.
L'efficacité de cet outil sera ensuite comparée à la norme actuelle de référence, l'algorithme de classification de l'évaluation suicidaire de Columbia (C-CASA, pour Columbia Classification Algorithm of Suicidal Assessment).Dans le cadre de l'étude STOP, les chercheurs ont mis au point une méthodologie susceptible de détecter les signes d'effets indésirables liés au suicide découlant de la consommation médicamenteuse (SRAE, pour signals of suicide-related adverse events).
Cette méthodologie a été élaborée à partir des données obtenues lors d'études à grande échelle.Cet outil possède un énorme potentiel.
Il pourra être utilisé dès que les enfants ou les adolescents commenceront un nouveau traitement.
Si certains effets secondaires sont corrélés avec des tendances suicidaires, il sera possible d'y être particulièrement attentif.
Cet outil pourra également être exploité pour suivre les tendances suicidaires des patients lors des soins cliniques de routine.La version finale en ligne du système pourra par ailleurs être adaptée pour les ordinateurs portables, les tablettes et autres téléphones mobiles.
De telles innovations technologiques rendront cet outil encore plus convivial.Il a déjà permis de faire d'importants progrès sur cette question.
Ses recommandations concernant la façon de déclarer des effets indésirables graves ont été publiées dans la littérature.
Les chercheurs du projet pourront également faciliter la collection des données biologiques provenant d'autres études.
Les causes profondes des tendances suicidaires seront ainsi mieux comprises.In fine, les résultats de ces recherches permettront aux cliniciens d'identifier les groupes à haut risque.
Des interventions prophylactiques pourront alors sauver des vies dans de multiples contextes.