LE TEST DU DESSIN DU PERSONNAGE CHEZ LE SUJET SUICIDAIRE Université de Poitiers UFR : Sciences Humaines et Arts, département de psychologie Laboratoire de recherche en psychologie clinique et en psychopathologie
Année 2011 Thèse N°THESE DE DOCTORAT EN PSYCHOLOGIE CLINIQUE
Présentée et soutenue publiquement Le 31 mars 2011 à Poitiers
Par ANUSAKSATHIEN Narongdaj
http://nuxeo.edel.univ-poitiers.fr/nuxeo/site/esupversions/6db84f54-3bd6-41be-9625-310b8db6551b
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lundi 10 novembre 2014
lundi 10 mars 2014
NOTICE THESE 2013 Etude du lien entre insomnie et ruminations dans les conduites suicidaires
Etude du lien entre insomnie et ruminations dans les conduites suicidaires / par Emmanuelle Aubert ; sous la direction de Philippe Courtet et Emilie Olie
Faculté de médecine (Montpellier)
Thèse d'exercice : Médecine : Montpellier 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/176636269
Num. national de thèse : 2013MON110127
Résumé(s) :
Les connaissances actuelles suggèrent que les conduites suicidaires sont des entités pathologiques à part entière pouvant être abordées suivant un modèle stress-vulnérabilité Les ruminations et l'insomnie sont deux facteurs de risque de tentatives de suicide (TS) et de suicide. Tout comme la physiopathologie de l'insomnie, celle des conduites suicidaires n'est pas encore totalement connue. Dans un premier temps, nous avons évalué rétrospectivement l'intensité de l'insomnie et des ruminations « état» avant un geste suicidaire chez 122 patients déprimés à un mois, une semaine et 48h avant l'admission dans le Département d'Urgences et Post Urgences Psychiatriques du CHU de Montpellier. les patients « suicidants » (admis pour une TS) présentaient une intensité d'insomnie plus importante que les patients « non suicidants» (admis pour dépression sans TS actuelle) à un mois et 1 semaine mais pas 48h de l'admission. Nous n'avons pas retrouvé de différence significative pour l'intensité des ruminations entre les 2 groupes aux 3 temps d'évaluation. Dans un deuxième temps, nous avons comparé les ruminations « trait» entre les 2 groupes avec le « Ruminative-Reflection Questionnaire », récemment traduit en français et jamais utilisé pour l'évaluation du risque suicidaire. Contrairement aux données de la littérature, nous avons retrouvé un sous score « rumination » plus important dans le groupe «non suicidant» que dans le groupe «suicidant», mais aucune différence pour le sous score «réflexion». Ce travail permet de discuter de la place de l'hyperéveil dans la physiopathologie des conduites suicidaires (CS), dénominateur commun entre l'insomnie et les ruminations. Des études complémentaires sont nécessaires pour comprendre l'implication des mécanismes d'hyperéveil en cause dans les CS
Faculté de médecine (Montpellier)
Thèse d'exercice : Médecine : Montpellier 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/176636269
Num. national de thèse : 2013MON110127
Résumé(s) :
Les connaissances actuelles suggèrent que les conduites suicidaires sont des entités pathologiques à part entière pouvant être abordées suivant un modèle stress-vulnérabilité Les ruminations et l'insomnie sont deux facteurs de risque de tentatives de suicide (TS) et de suicide. Tout comme la physiopathologie de l'insomnie, celle des conduites suicidaires n'est pas encore totalement connue. Dans un premier temps, nous avons évalué rétrospectivement l'intensité de l'insomnie et des ruminations « état» avant un geste suicidaire chez 122 patients déprimés à un mois, une semaine et 48h avant l'admission dans le Département d'Urgences et Post Urgences Psychiatriques du CHU de Montpellier. les patients « suicidants » (admis pour une TS) présentaient une intensité d'insomnie plus importante que les patients « non suicidants» (admis pour dépression sans TS actuelle) à un mois et 1 semaine mais pas 48h de l'admission. Nous n'avons pas retrouvé de différence significative pour l'intensité des ruminations entre les 2 groupes aux 3 temps d'évaluation. Dans un deuxième temps, nous avons comparé les ruminations « trait» entre les 2 groupes avec le « Ruminative-Reflection Questionnaire », récemment traduit en français et jamais utilisé pour l'évaluation du risque suicidaire. Contrairement aux données de la littérature, nous avons retrouvé un sous score « rumination » plus important dans le groupe «non suicidant» que dans le groupe «suicidant», mais aucune différence pour le sous score «réflexion». Ce travail permet de discuter de la place de l'hyperéveil dans la physiopathologie des conduites suicidaires (CS), dénominateur commun entre l'insomnie et les ruminations. Des études complémentaires sont nécessaires pour comprendre l'implication des mécanismes d'hyperéveil en cause dans les CS
NOTICE THESE 2013 Être sans chez soi : de la psychiatrie sociale à la suicidalité
Être sans chez soi : de la psychiatrie sociale à la suicidalité / Romain Bonnel ; [sous la direction du] Dr Françoise Chastang
Université de Caen. UFR de médecine.
Thèse d'exercice : Médecine : Caen : 2013
http://www.sudoc.fr/176634371
Num. national de thèse : 2013CAEN3020
Résumé(s) :
Le sujet privé de logement vit une situation particulièrement sensible au plan psychosocial. Ce travail s'attachera à comprendre qui sont les personnes sans domicile et comment elles le deviennent, pour ensuite analyser les mécanismes psychopathologiques qui œuvrent à ce processus de désocialisation. A travers l'errance, les modèles d'attachement perturbés, la dégradation des besoins et les traumatismes qui entrainent, chacun à leur niveau des aménagements, des défenses et des compensations, le sujet peut survivre dans des conditions d'existence indignes. Parfois, le sujet sans chez soi souffre de trouble psychiatrique. Les plus fréquents seront analysés afin d'en déterminer leurs contours et leurs couleurs particulières. Au regard de cette approche pluridisciplinaire, il sera plus aisé d'aborder la suicidalité présente au sein de la population dépossédée de logement personnel. Des risques suicidaires nombreux en passant par les idées suicidaires, les tentatives de suicides, puis les suicides, c'est le processus suicidaire dans sa globalité qui sera étudié, autant d'un point de vue quantitatif que qualitatif, mettant en avant des temps, des espaces et des dispositions favorisant les gestes suicidaires. Les parasuicides, particulièrement fréquents dans cette population, tout comme les équivalents suicidaires, seront critiqués et discutés comme étant une particularité de la suicidalité des sans domicile, phénomène particulièrement peu étudié qui révèle le mode de fonctionnement d'une société post-moderne.
Université de Caen. UFR de médecine.
Thèse d'exercice : Médecine : Caen : 2013
http://www.sudoc.fr/176634371
Num. national de thèse : 2013CAEN3020
Résumé(s) :
Le sujet privé de logement vit une situation particulièrement sensible au plan psychosocial. Ce travail s'attachera à comprendre qui sont les personnes sans domicile et comment elles le deviennent, pour ensuite analyser les mécanismes psychopathologiques qui œuvrent à ce processus de désocialisation. A travers l'errance, les modèles d'attachement perturbés, la dégradation des besoins et les traumatismes qui entrainent, chacun à leur niveau des aménagements, des défenses et des compensations, le sujet peut survivre dans des conditions d'existence indignes. Parfois, le sujet sans chez soi souffre de trouble psychiatrique. Les plus fréquents seront analysés afin d'en déterminer leurs contours et leurs couleurs particulières. Au regard de cette approche pluridisciplinaire, il sera plus aisé d'aborder la suicidalité présente au sein de la population dépossédée de logement personnel. Des risques suicidaires nombreux en passant par les idées suicidaires, les tentatives de suicides, puis les suicides, c'est le processus suicidaire dans sa globalité qui sera étudié, autant d'un point de vue quantitatif que qualitatif, mettant en avant des temps, des espaces et des dispositions favorisant les gestes suicidaires. Les parasuicides, particulièrement fréquents dans cette population, tout comme les équivalents suicidaires, seront critiqués et discutés comme étant une particularité de la suicidalité des sans domicile, phénomène particulièrement peu étudié qui révèle le mode de fonctionnement d'une société post-moderne.
THESE 2013 Le suicide dans la profession vétérinaire : étude, gestion et prévention
Le suicide dans la profession vétérinaire : étude, gestion et prévention / Virginie Malvaso ; sous la direction de Denis Grancher
Université Claude Bernard (Lyon). VetAgro Sup.
Thèse d'exercice : Médecine Vétérinaire : Lyon 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/176609660
Num. national de thèse : 2013LYO1V110
Suicide lié au travail -- Thèses et écrits académiques
Vétérinaires -- Stress lié au travail -- Thèses et écrits académiques
Euthanasie des animaux -- Thèses et écrits académiques
Épuisement professionnel -- Thèses et écrits académiques
Troubles affectifs -- Thèses et écrits académiques
THESE EN LIGNE ICI
http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=2013lyon110.pdf
Université Claude Bernard (Lyon). VetAgro Sup.
Thèse d'exercice : Médecine Vétérinaire : Lyon 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/176609660
Num. national de thèse : 2013LYO1V110
Suicide lié au travail -- Thèses et écrits académiques
Vétérinaires -- Stress lié au travail -- Thèses et écrits académiques
Euthanasie des animaux -- Thèses et écrits académiques
Épuisement professionnel -- Thèses et écrits académiques
Troubles affectifs -- Thèses et écrits académiques
THESE EN LIGNE ICI
http://www2.vetagro-sup.fr/bib/fondoc/th_sout/dl.php?file=2013lyon110.pdf
NOTICE THESE 2013 Les tentatives de suicide chez les jeunes âgés de 11 à 18 ans, dans les services d’urgence et de réanimation du Centre Hospitalier Universitaire de la Martinique
Les tentatives de suicide chez les jeunes âgés de 11 à 18 ans, dans les services d’urgence et de réanimation du Centre Hospitalier Universitaire de la Martinique [Texte imprimé] : étude pilote sur 4 mois en 2013 / Dany Carmelo ; sous la direction de Louis Jehel,
Université des Antilles et de la Guyane. UFR des sciences médicales.
Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Antilles-Guyane : 2013
http://www.sudoc.fr/176510699
Num. national de thèse : 2013AGUY0659
Jeunesse -- Comportement suicidaire -- Thèses et écrits académiques
Tentative de suicide -- Adolescent -- Dissertations universitaires
Université des Antilles et de la Guyane. UFR des sciences médicales.
Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Antilles-Guyane : 2013
http://www.sudoc.fr/176510699
Num. national de thèse : 2013AGUY0659
Jeunesse -- Comportement suicidaire -- Thèses et écrits académiques
Tentative de suicide -- Adolescent -- Dissertations universitaires
Libellés :
ADOLESCENTS,
RECHERCHE,
REGION MARTINIQUE,
TENTATIVE DE SUICIDE,
THESE
NOTICE THESE 2013 Impact de la dépendance au tabac sur les caractéristiques de suicide
Impact de la dépendance au tabac sur les caractéristiques de suicide / par Laurent Cerrato ; sous la direction de Guillaume Sébastien
http://www.sudoc.fr/176093680
Thèse d'exercice : Médecine : Montpellier 1 : 2013
Faculté de médecine (Montpellier).
Num. national de thèse : 2013MON110058
Résumé(s) :
La dépendance tabagique et le comportement suicidaire sont des problèmes de santé publique actuel et majeur. Il est établi qu'il existe un lien statistiquement significatif entre ces deux comportements, la dépendance tabagique étant pour certains un facteur de risque indépendant de comportement suicidaire, s'intégrant dans le modèle stress diathèse du comportement suicidaire. Il existe actuellement peu de données concernant la population concerné ses caractéristiques, ni sur les phénomènes sous tendant cette relation. La dépendance tabagique provoque t'elle des changements phénotypique favorisant le comportement suicidaire, ces deux populations partagent-elles des facteurs de risques et comportementaux commun? La population concerné à t'elle des caractéristiques particulières que l'on peut définir dans le but de recherche ultérieure ou dans un but de mieux dépister et évaluer le risque de comportement suicidaire. L'objectif principal de cette étude est de déterminer dans une population de suicidant, si la dépendance au tabac est corrélé à des caractéristiques particulières. Dans cette optique nous avons réalisé une étude cas-témoins sur une cohorte de suicidant, pour laquelle nous avons relevés des informations sur leur dépendance tabagique, leur statut environnemental, les co addictions, et les comorbidités psychiatrique. Nous avons aussi recueilli des données sur les indices de suicidalités. Ces données ont été traité par analyse statistique selon le statut fumeur (petit fumeur et fumeur-sévère), non-fumeur et ex-fumeurs. Puis ont été ajusté selon l'âge, le sexe, le niveau d'étude, le statut marital, le trouble bipolaire, l'EDM et les TCA. Les résultats obtenus sont en faveur de caractéristique particulières lié à la dépendance tabagique, particularités flagrante en ce qui concerne la population de fumeur-sévère. Cette population présente plus de co morbidité psychiatrique et addictive, et au niveau des comportements suicidaires présente un nombre de tentatives plus élevé et plus sévère. L'évaluation de la dépendance tabagique pouvant être faites durant l'évaluation du risque suicidaire. Ces résultats permettent l'ouverture d'étude sur les mécanismes de ce lien (biologique, comportemental), en prenant en compte le statut de dépendance tabagique
http://www.sudoc.fr/176093680
Thèse d'exercice : Médecine : Montpellier 1 : 2013
Faculté de médecine (Montpellier).
Num. national de thèse : 2013MON110058
Résumé(s) :
La dépendance tabagique et le comportement suicidaire sont des problèmes de santé publique actuel et majeur. Il est établi qu'il existe un lien statistiquement significatif entre ces deux comportements, la dépendance tabagique étant pour certains un facteur de risque indépendant de comportement suicidaire, s'intégrant dans le modèle stress diathèse du comportement suicidaire. Il existe actuellement peu de données concernant la population concerné ses caractéristiques, ni sur les phénomènes sous tendant cette relation. La dépendance tabagique provoque t'elle des changements phénotypique favorisant le comportement suicidaire, ces deux populations partagent-elles des facteurs de risques et comportementaux commun? La population concerné à t'elle des caractéristiques particulières que l'on peut définir dans le but de recherche ultérieure ou dans un but de mieux dépister et évaluer le risque de comportement suicidaire. L'objectif principal de cette étude est de déterminer dans une population de suicidant, si la dépendance au tabac est corrélé à des caractéristiques particulières. Dans cette optique nous avons réalisé une étude cas-témoins sur une cohorte de suicidant, pour laquelle nous avons relevés des informations sur leur dépendance tabagique, leur statut environnemental, les co addictions, et les comorbidités psychiatrique. Nous avons aussi recueilli des données sur les indices de suicidalités. Ces données ont été traité par analyse statistique selon le statut fumeur (petit fumeur et fumeur-sévère), non-fumeur et ex-fumeurs. Puis ont été ajusté selon l'âge, le sexe, le niveau d'étude, le statut marital, le trouble bipolaire, l'EDM et les TCA. Les résultats obtenus sont en faveur de caractéristique particulières lié à la dépendance tabagique, particularités flagrante en ce qui concerne la population de fumeur-sévère. Cette population présente plus de co morbidité psychiatrique et addictive, et au niveau des comportements suicidaires présente un nombre de tentatives plus élevé et plus sévère. L'évaluation de la dépendance tabagique pouvant être faites durant l'évaluation du risque suicidaire. Ces résultats permettent l'ouverture d'étude sur les mécanismes de ce lien (biologique, comportemental), en prenant en compte le statut de dépendance tabagique
NOTICE THESE 2013 Rôle de l'émotionnalité dans la réitération suicidaire et autres facteurs de vulnérabilité
Rôle de l'émotionnalité dans la réitération suicidaire et autres facteurs de vulnérabilité / par Céline Vergonzanne ; [sous la direction de Guillaume Chandon]
Thèse d'exercice : Médecine : Limoges : 2013
Université de Limoges. Faculté de médecine et de pharmacie. Num. national de thèse :
Numéro thèse
2013LIMO3139
http://www.sudoc.fr/175899088
Résumé(s) :
Le risque de réitération suicidaire a peu été évalué. L’existence d’une tentative de suicide dans l’histoire personnelle du sujet reste actuellement le meilleur facteur prédictif de tentative de suicide ultérieure et de suicide abouti. Près de la moitié des suicidants récidivent et ce, de manière létale dans 10% à 15% des cas. Il est estimé que 50% des personnes décédées par suicide avaient un antécédent de tentative de suicide. Cette propension à la récidive témoigne d’une vulnérabilité suicidaire. Notre étude cas-témoins a tenté de caractériser les patients ayant présenté plusieurs tentatives de suicide en les comparant à ceux n’en ayant réalisé qu’une seule. Il s’agit de rechercher la meilleure association de variables pour expliquer la réitération suicidaire. Une meilleure connaissance de ces facteurs permettrait de diminuer le risque d’une réitération suicidaire. Le score d’émotions négatives obtenu à l’EPN-31 (EPN N) et l’existence d’un suivi psychiatrique régulier sont associés à la récidive suicidaire, indépendamment l’un de l’autre et ajustés sur l’âge lors de la première tentative de suicide, le statut marital, le statut professionnel et le score d’émotions de surprise à l’EPN-31. Le risque de récidive suicidaire est augmenté de 47% tous les 10 points de plus au score EPN N et il est diminué de 86% en cas de suivi psychiatrique régulier. De plus, le risque de réitération suicidaire est 3 fois plus important en cas d’alexithymie (de façon statistiquement significative) et la résilience a un rôle protecteur face au risque de récidive suicidaire.
Thèse d'exercice : Médecine : Limoges : 2013
Université de Limoges. Faculté de médecine et de pharmacie. Num. national de thèse :
Numéro thèse
2013LIMO3139
http://www.sudoc.fr/175899088
Résumé(s) :
Le risque de réitération suicidaire a peu été évalué. L’existence d’une tentative de suicide dans l’histoire personnelle du sujet reste actuellement le meilleur facteur prédictif de tentative de suicide ultérieure et de suicide abouti. Près de la moitié des suicidants récidivent et ce, de manière létale dans 10% à 15% des cas. Il est estimé que 50% des personnes décédées par suicide avaient un antécédent de tentative de suicide. Cette propension à la récidive témoigne d’une vulnérabilité suicidaire. Notre étude cas-témoins a tenté de caractériser les patients ayant présenté plusieurs tentatives de suicide en les comparant à ceux n’en ayant réalisé qu’une seule. Il s’agit de rechercher la meilleure association de variables pour expliquer la réitération suicidaire. Une meilleure connaissance de ces facteurs permettrait de diminuer le risque d’une réitération suicidaire. Le score d’émotions négatives obtenu à l’EPN-31 (EPN N) et l’existence d’un suivi psychiatrique régulier sont associés à la récidive suicidaire, indépendamment l’un de l’autre et ajustés sur l’âge lors de la première tentative de suicide, le statut marital, le statut professionnel et le score d’émotions de surprise à l’EPN-31. Le risque de récidive suicidaire est augmenté de 47% tous les 10 points de plus au score EPN N et il est diminué de 86% en cas de suivi psychiatrique régulier. De plus, le risque de réitération suicidaire est 3 fois plus important en cas d’alexithymie (de façon statistiquement significative) et la résilience a un rôle protecteur face au risque de récidive suicidaire.
NOTICE THESE 2013 Trace mnésique de l'intervention médico-psychologique réalisée aux urgences dans le cadre d'une intoxication médicamenteuse volontaire et adhésion à la prise en charge ultérieure
Trace mnésique de l'intervention médico-psychologique réalisée aux urgences dans le cadre d'une intoxication médicamenteuse volontaire et adhésion à la prise en charge ultérieure [Ressource électronique] / Lionel Lyes Si Ahmed ; [sous la direction de] Michel Delcoustal
Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Poitiers : 2013
http://www.sudoc.fr/175751161
L'impression du document génère 200 p.. - Titre provenant de l'écran-titre. - Accès réservé aux membres de la communauté universitaire de Poitiers http://petille.univ-poitiers.fr/notice/view/23502
Résumé(s) :
Introduction : Les urgences sont devenues peu à peu un des lieux du soin médicopsychologique. Au cours de ces vingt dernières années, on constate une progression constante du nombre de demandes d'évaluation médico-psychologique dans les services d'urgences des hôpitaux généraux. Chaque année, environ 180 000 tentatives de suicides transitent par les services d'urgences français. De nombreux travaux ont montré l'importance de la création d'une alliance thérapeutique dès le premier entretien médico-psychologique réalisé aux urgences, notamment avec les patient suicidants. Objectifs : L'objectif principal de cette étude est la mise en évidence d'une altération de la trace mnésique de l'intervention médico-psychologique réalisée aux urgences chez certains patients suicidants ayant réalisé une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV). L'objectif secondaire est la mise en évidence d'une moindre adhésion à la prise en charge médicopsychologique ultérieure chez les suicidants qui présentent une trace mnésique altérée. Méthode : Trente-sept patients ont été inclus dans une étude prospective descriptive réalisée aux urgences du CHU de Poitiers entre le 15 mars et le 15 juin 2013. L'évaluation de la trace mnésique était recueillie à l'aide d'un questionnaire standardisé par contact téléphonique entre le 7ème et le 12ème jour suivant l'IMV. L'évaluation de l'adhésion à la prise en charge médico-psychologique ultérieure était réalisée à l'aide d'un questionnaire standardisé par contact téléphonique avec le référent des soins psychiques du patient à 2 mois de l'IMV, sur des critères d'alliance thérapeutique et d'observance médicamenteuse. Résultats : Un quart des patients présentent une trace mnésique altérée de l'intervention médico-psychologique réalisée dans les suites de leur IMV. L'altération de la trace mnésique est associée à l'intentionnalité suicidaire au moment du passage à l'acte et à la surveillance par scope aux urgences. Un état dépressif (p=0.062) ainsi qu'une intoxication aux benzodiazépines (p=0.079) sont retrouvés chez la plupart des patients présentant une trace mnésique altérée. Près de la moitié des patients présentent une faible adhésion à la prise en charge médico-psychologique ultérieure. L'adhésion n'est pas associée à une altération de la trace mnésique ni à aucune autre des caractéristiques étudiées. Conclusion : L'altération du souvenir de la prise en charge médico-psychologique réalisée aux urgences dans les suites d'un passage à l'acte suicidaire ne semble pas avoir de répercussion sur l'adhésion à une prise en charge ultérieure dans notre étude. Néanmoins, elle paraît témoigner chez ces patients ayant réalisé des gestes suicidaires graves, d'une durée d'hospitalisation insuffisante n'ayant pas permis l'assimilation du travail psychothérapeutique de crise réalisé aux urgences. Ces résultats nous incitent à une plus grande collaboration entre somaticiens et psychiatres afin que ces patients vulnérables puissent bénéficier de la prise en charge la plus adaptée à leur problématique.Thèse d'exercice
Thèse d'exercice : Médecine. Psychiatrie : Poitiers : 2013
http://www.sudoc.fr/175751161
L'impression du document génère 200 p.. - Titre provenant de l'écran-titre. - Accès réservé aux membres de la communauté universitaire de Poitiers http://petille.univ-poitiers.fr/notice/view/23502
Résumé(s) :
Introduction : Les urgences sont devenues peu à peu un des lieux du soin médicopsychologique. Au cours de ces vingt dernières années, on constate une progression constante du nombre de demandes d'évaluation médico-psychologique dans les services d'urgences des hôpitaux généraux. Chaque année, environ 180 000 tentatives de suicides transitent par les services d'urgences français. De nombreux travaux ont montré l'importance de la création d'une alliance thérapeutique dès le premier entretien médico-psychologique réalisé aux urgences, notamment avec les patient suicidants. Objectifs : L'objectif principal de cette étude est la mise en évidence d'une altération de la trace mnésique de l'intervention médico-psychologique réalisée aux urgences chez certains patients suicidants ayant réalisé une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV). L'objectif secondaire est la mise en évidence d'une moindre adhésion à la prise en charge médicopsychologique ultérieure chez les suicidants qui présentent une trace mnésique altérée. Méthode : Trente-sept patients ont été inclus dans une étude prospective descriptive réalisée aux urgences du CHU de Poitiers entre le 15 mars et le 15 juin 2013. L'évaluation de la trace mnésique était recueillie à l'aide d'un questionnaire standardisé par contact téléphonique entre le 7ème et le 12ème jour suivant l'IMV. L'évaluation de l'adhésion à la prise en charge médico-psychologique ultérieure était réalisée à l'aide d'un questionnaire standardisé par contact téléphonique avec le référent des soins psychiques du patient à 2 mois de l'IMV, sur des critères d'alliance thérapeutique et d'observance médicamenteuse. Résultats : Un quart des patients présentent une trace mnésique altérée de l'intervention médico-psychologique réalisée dans les suites de leur IMV. L'altération de la trace mnésique est associée à l'intentionnalité suicidaire au moment du passage à l'acte et à la surveillance par scope aux urgences. Un état dépressif (p=0.062) ainsi qu'une intoxication aux benzodiazépines (p=0.079) sont retrouvés chez la plupart des patients présentant une trace mnésique altérée. Près de la moitié des patients présentent une faible adhésion à la prise en charge médico-psychologique ultérieure. L'adhésion n'est pas associée à une altération de la trace mnésique ni à aucune autre des caractéristiques étudiées. Conclusion : L'altération du souvenir de la prise en charge médico-psychologique réalisée aux urgences dans les suites d'un passage à l'acte suicidaire ne semble pas avoir de répercussion sur l'adhésion à une prise en charge ultérieure dans notre étude. Néanmoins, elle paraît témoigner chez ces patients ayant réalisé des gestes suicidaires graves, d'une durée d'hospitalisation insuffisante n'ayant pas permis l'assimilation du travail psychothérapeutique de crise réalisé aux urgences. Ces résultats nous incitent à une plus grande collaboration entre somaticiens et psychiatres afin que ces patients vulnérables puissent bénéficier de la prise en charge la plus adaptée à leur problématique.Thèse d'exercice
Libellés :
LIMITER L'ACCES AU MOYENS,
PRISE EN CHARGE,
RECHERCHE,
THESE,
URGENCES
samedi 8 mars 2014
THESE EN LIGNE 2013 Devenir des patients à distance d'une intoxication médicamenteuse volontaire nécessitant le recours à la ventilation mécanique invasive
Devenir des patients à distance d'une intoxication médicamenteuse volontaire nécessitant le recours à la ventilation mécanique invasive
Thèse d'exercice : Médecine
Auteur(s) Barré Carole, Baer Elodie, De Montchenu Claire
Directeur(s) Lerolle Nicolas
Année 2013
URL http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20106572/2013MDEPS640/fichier/640F.pdf
Diplôme d'État de docteur en médecine
Date de soutenance 2013-06-03
Editeur Université Angers
Lieu de publication Angers
Libellé UFR
UFR Médecine
Numéro national 2013ANGE026M
Résumé
Le suicide et les tentatives de suicide sont un réel problème de santé publique. Les données sur le devenir à distance (incluant qualité de vie et survie) des patients ayant réalisé une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV) grave sont limitées dans la littérature. Notre objectif a été d’évaluer le devenir des patients ayant eu recours à la Ventilation Mécanique un an après leur sortie, en les comparant à un groupe contrôle de patients ayant réalisé une IMV non grave. Cette étude observationnelle et unicentrique (réanimation médicale au CHU d’Angers, France) a été réalisée de deux façons : rétrospective avec récupération a posteriori des données au moment de l’IMV, et prospective avec appel des patients à distance du geste. 99 patients ont été inclus dans le Groupe Ventilé (GV), et 97 appariés avec le Groupe Non Ventilé (GNV) suivant les critères suivants : âge, sexe, présence d’antécédents psychiatriques. Malgré cet appariement, les cohortes étaient différentes: ceux du GV présentaient plus fréquemment des troubles de l’humeur, alors que ceux du GNV souffraient d’avantage de troubles de l’adaptation. Un an après le geste, les patients du GV avaient un score de dépression HAD plus élevé (anxiété HAD et SF12 ne différaient pas), plus de récidives et de mortalité par suicide. L’interprétation de cette dernière donnée reste limitée du fait du nombre élevé de patients injoignables dans le GNV Au total, les patients ayant séjournés en réanimation pour une IMV grave présentent plus de symptômes dépressifs, sont plus à risque de décès par récidive et de mortalité que ceux ayant réalisé une IMV bénigne – un renforcement de leur suivi pouvant donc être recommandé.
Résumé en anglais
Thèse d'exercice : Médecine
Auteur(s) Barré Carole, Baer Elodie, De Montchenu Claire
Directeur(s) Lerolle Nicolas
Année 2013
URL http://dune.univ-angers.fr/fichiers/20106572/2013MDEPS640/fichier/640F.pdf
Diplôme d'État de docteur en médecine
Date de soutenance 2013-06-03
Editeur Université Angers
Lieu de publication Angers
Libellé UFR
UFR Médecine
Numéro national 2013ANGE026M
Résumé
Le suicide et les tentatives de suicide sont un réel problème de santé publique. Les données sur le devenir à distance (incluant qualité de vie et survie) des patients ayant réalisé une intoxication médicamenteuse volontaire (IMV) grave sont limitées dans la littérature. Notre objectif a été d’évaluer le devenir des patients ayant eu recours à la Ventilation Mécanique un an après leur sortie, en les comparant à un groupe contrôle de patients ayant réalisé une IMV non grave. Cette étude observationnelle et unicentrique (réanimation médicale au CHU d’Angers, France) a été réalisée de deux façons : rétrospective avec récupération a posteriori des données au moment de l’IMV, et prospective avec appel des patients à distance du geste. 99 patients ont été inclus dans le Groupe Ventilé (GV), et 97 appariés avec le Groupe Non Ventilé (GNV) suivant les critères suivants : âge, sexe, présence d’antécédents psychiatriques. Malgré cet appariement, les cohortes étaient différentes: ceux du GV présentaient plus fréquemment des troubles de l’humeur, alors que ceux du GNV souffraient d’avantage de troubles de l’adaptation. Un an après le geste, les patients du GV avaient un score de dépression HAD plus élevé (anxiété HAD et SF12 ne différaient pas), plus de récidives et de mortalité par suicide. L’interprétation de cette dernière donnée reste limitée du fait du nombre élevé de patients injoignables dans le GNV Au total, les patients ayant séjournés en réanimation pour une IMV grave présentent plus de symptômes dépressifs, sont plus à risque de décès par récidive et de mortalité que ceux ayant réalisé une IMV bénigne – un renforcement de leur suivi pouvant donc être recommandé.
Résumé en anglais
NOTICE THESE 2013 De l'impact du suicide sur l'entourage : approches théoriques et illustrations cliniques
De l'impact du suicide sur l'entourage : approches théoriques et illustrations cliniques / Lucie Gibon ; sous la direction de Vincent Scherr
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine spécialisée. Psychiatrie : Reims : 2013
Université de Reims Champagne-Ardenne. Organisme de soutenance
numero these 2013REIMM117
http://www.sudoc.fr/175368260
Résumé(s) :
Nous proposons d'examiner la question du suicide à travers l'impact sur l'entourage. Après un enseignement non exhaustif sur le suicide, nous aborderons les particularités de deuil après suicide, prolongé, difficile et souvent traumatique. A court, moyen et long terme, il y a des expressions du travail de ce deuil. Il semble que la honte, la culpabilité soient des expressions centrales et particulièrement intense du deuil après suicide. L'absence d'élaboration autour de ses affects peut donner lieu à des difficultés individuelles dans le travail de deuil, à des troubles de la communication intrafamiliale concernant la transmission ou la non-transmission de cet événement. Cela peut se manifester par une symptomatologie plus ou moins psychiatrique sur le plan individuel ou des conséquences transgénérationnelles.
Bibliothèque de l'Université de Reims Champagne-Ardenne.Section Santé
51, rue Cognacq Jay
51097 REIMS CEDEX
France
Tél. 03.26.91.39.01
Fax : 03.26.91.39.05
Web : http://scdurca.univ-reims.fr
Adresse PEB : audrey.vachez@univ-reims.fr
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine spécialisée. Psychiatrie : Reims : 2013
Université de Reims Champagne-Ardenne. Organisme de soutenance
numero these 2013REIMM117
http://www.sudoc.fr/175368260
Résumé(s) :
Nous proposons d'examiner la question du suicide à travers l'impact sur l'entourage. Après un enseignement non exhaustif sur le suicide, nous aborderons les particularités de deuil après suicide, prolongé, difficile et souvent traumatique. A court, moyen et long terme, il y a des expressions du travail de ce deuil. Il semble que la honte, la culpabilité soient des expressions centrales et particulièrement intense du deuil après suicide. L'absence d'élaboration autour de ses affects peut donner lieu à des difficultés individuelles dans le travail de deuil, à des troubles de la communication intrafamiliale concernant la transmission ou la non-transmission de cet événement. Cela peut se manifester par une symptomatologie plus ou moins psychiatrique sur le plan individuel ou des conséquences transgénérationnelles.
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Libellés :
DEUIL,
ENTOURAGE,
IMPACT SUICIDE,
RECHERCHE,
RÔLE DE L'ENTOURAGE,
THESE
NOTICE THESE 2013 Les troubles du comportement alimentaire chez les adolescents suicidants
Les troubles du comportement alimentaire chez les adolescents suicidants / Kim Xuan Nguyen ; sous la direction de Renaud de Tournemire
Université Paris Diderot - Paris 7. UFR de médecine. Organisme de soutenance
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 7 : 2013
Num. national de thèse : 2013PA07M061
http://www.sudoc.fr/175014884
Contexte : L’existence d’un risque suicidaire chez les personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire est bien connue. A l’inverse, il n’existe aucune donnée concernant l’existence des troubles du comportement alimentaire chez les suicidants. Objectif : Déterminer la prévalence des troubles du comportement alimentaire chez des adolescents suicidant, et évaluer la pertinence des questionnaires préconisés par l’HAS pour le dépistage des troubles du comportement alimentaire. Méthode : Etude observationnelle, unicentrique, auprès des adolescents suicidants âgées de 13 à 18 ans, admis aux urgences pédiatriques du CHI de Poissy-Saint-Germain-en-Laye. Résultats : La prévalence des troubles du comportement alimentaires chez les adolescents suicidants était de 41,3 % (IC 95 % [29,1-53,4 %]), avec 3,2 % (IC 95 % [0-7,5 %]) d’anorexie mentale, 6,3 % (IC 95 % [0,3-12,4 %]) de boulimie, et 31,7 % (IC 95 % [20,3- 43,2 %]) de troubles du comportement alimentaire non spécifiés. Le questionnaire SCOFF-F a conduit à de bons résultats de dépistage, contrairement au questionnaire simple testé dans cette étude. Conclusion : Il a été mis en évidence une prévalence élevée des troubles du comportement alimentaire chez les adolescents suicidants, par rapport à la population normale. Ce résultat devrait encourager les professionnels de santé à prolonger le dialogue vers la recherche de troubles alimentaires lorsqu’ils repèrent des comportements suicidaires ou des signes de mal-être. Dans ce but, la thèse a mis en évidence des tests fiables : le SCOFF-F, des tests hydrides améliorant les scores du SCOFF-F, et des questions seules permettant un diagnostic préliminaire rapide et précis.
Université Paris Diderot - Paris 7. Bibliothèque de l'UFR de médecine - site Xavier-Bichat
16 rue Henri Huchard
75018 Paris
France
Tél. 01.57.27.76.16
Fax : 01.57.27.76.71
Web : http://bibliotheque.univ-paris-diderot.fr/bichat
Adresse PEB : pebichat@univ-paris-diderot.fr
Université Paris Diderot - Paris 7. UFR de médecine. Organisme de soutenance
Thèse d'exercice : Médecine. Médecine générale : Paris 7 : 2013
Num. national de thèse : 2013PA07M061
http://www.sudoc.fr/175014884
Contexte : L’existence d’un risque suicidaire chez les personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire est bien connue. A l’inverse, il n’existe aucune donnée concernant l’existence des troubles du comportement alimentaire chez les suicidants. Objectif : Déterminer la prévalence des troubles du comportement alimentaire chez des adolescents suicidant, et évaluer la pertinence des questionnaires préconisés par l’HAS pour le dépistage des troubles du comportement alimentaire. Méthode : Etude observationnelle, unicentrique, auprès des adolescents suicidants âgées de 13 à 18 ans, admis aux urgences pédiatriques du CHI de Poissy-Saint-Germain-en-Laye. Résultats : La prévalence des troubles du comportement alimentaires chez les adolescents suicidants était de 41,3 % (IC 95 % [29,1-53,4 %]), avec 3,2 % (IC 95 % [0-7,5 %]) d’anorexie mentale, 6,3 % (IC 95 % [0,3-12,4 %]) de boulimie, et 31,7 % (IC 95 % [20,3- 43,2 %]) de troubles du comportement alimentaire non spécifiés. Le questionnaire SCOFF-F a conduit à de bons résultats de dépistage, contrairement au questionnaire simple testé dans cette étude. Conclusion : Il a été mis en évidence une prévalence élevée des troubles du comportement alimentaire chez les adolescents suicidants, par rapport à la population normale. Ce résultat devrait encourager les professionnels de santé à prolonger le dialogue vers la recherche de troubles alimentaires lorsqu’ils repèrent des comportements suicidaires ou des signes de mal-être. Dans ce but, la thèse a mis en évidence des tests fiables : le SCOFF-F, des tests hydrides améliorant les scores du SCOFF-F, et des questions seules permettant un diagnostic préliminaire rapide et précis.
Université Paris Diderot - Paris 7. Bibliothèque de l'UFR de médecine - site Xavier-Bichat
16 rue Henri Huchard
75018 Paris
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Tél. 01.57.27.76.16
Fax : 01.57.27.76.71
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NOTICE THESE 2013 Pertinence et application pratique du concept de crise suicidaire en médecine générale
Pertinence et application pratique du concept de crise suicidaire en médecine générale / Léïla Bergeault ; [sous la dir. de] David Travers
Université européenne de Bretagne.
Num. national de thèse : 2013REN1M105
Médecine : Rennes 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/175001510
Thèse soutenue à Rennes 1 sous le sceau de l'Université Européenne de Bretagne. - Publication autorisée par le jury
Résumé(s) :
Contexte : 80% des patients consultent leur médecin généraliste dans les trois mois précédant un passage à l'acte suicidaire. Objectif de l'étude : Etudier les interactions médecin-patient lors de cette dernière consultation avant le passage à l'acte. Etudier la pertinence et l'application pratique du concept de la crise suicidaire en médecine générale. Matériel et méthode : Etude quantitative rétrospective incluant 147 médecins généralistes ayant dont un patient a été admis pour tentative de suicide aux urgences du CHU de Rennes. Un questionnaire portant sur la dernière consultation avant le passage à l'acte est adressé à chaque médecin. Il reprend les items de la conférence de consensus « le crise suicidaire, reconnaître et prendre en charge ». Résultats : Les médecins généralistes portent un intérêt particulier à la question suicidaire, le taux d réponse est important : 60,5%. La population de futurs suicidants diffère sensiblement de la population classique des consultants en médecine générale, de par les motifs de consultation et la présentation clinique. On constate entre autre une sur-représentation des motifs de consultation gynécologiques chez les femmes. Deux difficultés principales sont rencontrées par les médecins. La première est l'exploration de l'intentionnalité suicidaire, réalisée de façon incomplète même lorsque les idées suicidaires sont évoquées. La seconde est l'évaluation de l'urgence dans laquelle se situe le patient, qui a tendance à être sous-évaluée. Lorsque l'urgence est perçue, les recommandations sont utilisées de façon inégale et les réponses apportées sont perfectibles. En effet, lorsqu'ils évaluent l'urgence comme modérée ou forte, tous les généralistes envisagent un relais spécialisé et ils sont 80% à prescrire un traitement psychotrope, mais moins de 5% d'entre eux alertent une personne de confiance ou fixent un rendez-vous de suivi du patient à court terme. Certains résultats sont en faveur de la validation de l' « intuition » du médecin généraliste. Les médecins les plus jeunes, ayant pu intégrer le contenu de la conférence de consensus dans leur formation initiale, l'urgence dans laquelle se situe leur patient comme plus élevée et utilisent plus les recommandations de prise en charge. Ce résultat est en faveur d'une possible amélioration des pratiques par la formation des médecins. Conclusion : Le concept de crise suicidaire est pertinent dans l'exercice de la médecine générale. L'application des recommandations de prise en charge est encore inégale et perfectible. La poursuite de la formation des médecins semble nécessaire. Un des enjeux futurs en médecine générale sera de définir les modalités d'un meilleur dépistage des futurs suicidants au sein du flux des consultants habituels, ainsi que les modalités d'une diffusion des recommandations à un très large panel de médecins généralistes.
Bibliothèque de l'Université de Reims Champagne-Ardenne.Section Santé
51, rue Cognacq Jay
51097 REIMS CEDEX
France
Tél. 03.26.91.39.01
Fax : 03.26.91.39.05
Web : http://scdurca.univ-reims.fr
Adresse PEB : audrey.vachez@univ-reims.fr
Université européenne de Bretagne.
Num. national de thèse : 2013REN1M105
Médecine : Rennes 1 : 2013
http://www.sudoc.fr/175001510
Thèse soutenue à Rennes 1 sous le sceau de l'Université Européenne de Bretagne. - Publication autorisée par le jury
Résumé(s) :
Contexte : 80% des patients consultent leur médecin généraliste dans les trois mois précédant un passage à l'acte suicidaire. Objectif de l'étude : Etudier les interactions médecin-patient lors de cette dernière consultation avant le passage à l'acte. Etudier la pertinence et l'application pratique du concept de la crise suicidaire en médecine générale. Matériel et méthode : Etude quantitative rétrospective incluant 147 médecins généralistes ayant dont un patient a été admis pour tentative de suicide aux urgences du CHU de Rennes. Un questionnaire portant sur la dernière consultation avant le passage à l'acte est adressé à chaque médecin. Il reprend les items de la conférence de consensus « le crise suicidaire, reconnaître et prendre en charge ». Résultats : Les médecins généralistes portent un intérêt particulier à la question suicidaire, le taux d réponse est important : 60,5%. La population de futurs suicidants diffère sensiblement de la population classique des consultants en médecine générale, de par les motifs de consultation et la présentation clinique. On constate entre autre une sur-représentation des motifs de consultation gynécologiques chez les femmes. Deux difficultés principales sont rencontrées par les médecins. La première est l'exploration de l'intentionnalité suicidaire, réalisée de façon incomplète même lorsque les idées suicidaires sont évoquées. La seconde est l'évaluation de l'urgence dans laquelle se situe le patient, qui a tendance à être sous-évaluée. Lorsque l'urgence est perçue, les recommandations sont utilisées de façon inégale et les réponses apportées sont perfectibles. En effet, lorsqu'ils évaluent l'urgence comme modérée ou forte, tous les généralistes envisagent un relais spécialisé et ils sont 80% à prescrire un traitement psychotrope, mais moins de 5% d'entre eux alertent une personne de confiance ou fixent un rendez-vous de suivi du patient à court terme. Certains résultats sont en faveur de la validation de l' « intuition » du médecin généraliste. Les médecins les plus jeunes, ayant pu intégrer le contenu de la conférence de consensus dans leur formation initiale, l'urgence dans laquelle se situe leur patient comme plus élevée et utilisent plus les recommandations de prise en charge. Ce résultat est en faveur d'une possible amélioration des pratiques par la formation des médecins. Conclusion : Le concept de crise suicidaire est pertinent dans l'exercice de la médecine générale. L'application des recommandations de prise en charge est encore inégale et perfectible. La poursuite de la formation des médecins semble nécessaire. Un des enjeux futurs en médecine générale sera de définir les modalités d'un meilleur dépistage des futurs suicidants au sein du flux des consultants habituels, ainsi que les modalités d'une diffusion des recommandations à un très large panel de médecins généralistes.
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51, rue Cognacq Jay
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Libellés :
MEDECINE GENERALE,
RECHERCHE,
REPERAGE EVALUATION CRISE SUICIDAIRE,
THESE
NOTICE PUBLICATION THESE 2011 L' acte suicidaire et son traitement
L' acte suicidaire et son traitement / Chantal Duchêne-Gonzalez ; sous la direction de Jacques André
Reproduction de : Thèse de doctorat : [Psychoses et Etats Limites] : Paris 7 : 2011
Publication 2013
Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 2013
Thèse de doctorat : [Psychoses et Etats Limites]
Résumé(s) :
Cette recherche se propose d'élucider ce qui se joue sur la scène psychique du suicidant, à partir de deux hypothèses qui s'articulent, toutes deux, autour de la constitution de l'objet primaire et de son identification à celui-ci. Lorsque cette dernière s'avère défaillante, l'acte suicidaire reproduirait une expérience de l'originaire entraînant une perte originaire. Dans ce cas, le suicidant aurait « recours à l'acte » pour reprendre l'expression de Claude Balier ou n'aurait pas été en mesure de dépasser une « situation anthropologique fondamentale » (Jean Laplanche), celle du « complexe central » dont parle Mervin Classer. Lorsque l'identification primaire est suffisamment solide, l'acte suicidaire emprunte le schéma de la mélancolie et le sujet retourne contre lui les motions hostiles destinées à l'objet primaire duquel il s'est senti abandonné. Dans ce cas-là, le passage à l'acte autodestructeur serait une mise en acte des fantasmes originaires et résulterait en une perte du moi. Qu'il s'agisse d'une perte originaire ou d'une perte du moi, ce qui .est en jeu, chez le sujet suicidant, est le narcissisme ou plus exactement ses failles, excès ou manque. Le deuxième volet de cette thèse propose une réflexion sur la prise en charge des patients suicidants dont une des principales caractéristiques est l'impossibilité de parler de leur geste et de pouvoir se le représenter psychiquement. Cette difficulté de mise en sens se trouve renforcée par les orientations actuelles de la politique de santé relative à la prévention du risque suicidaire, en privilégiant le factuel et la réalité extérieure au détriment de la réalité psychique du suicidant.
Bibliothèque de la Sorbonne
13, rue de la Sorbonne
75257 Paris Cedex 05
France
Tél. 01.40.46.30.97
Fax : 01.40.46.29-07
Tél. service de prêt : 01.40.46.31.13 (PEB)
Services électroniques :
adresse électronique : info@bis-sorbonne.fr * pret@bis-sorbonne.fr * peb@bis-sorbonne.fr
Web : http://www.bis-sorbonne.fr * https://www.bis-sorbonne.fr/bius/
Catalogue en ligne : http://catalogue.bibliotheque.sorbonne.fr/
Reproduction de : Thèse de doctorat : [Psychoses et Etats Limites] : Paris 7 : 2011
Publication 2013
Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 2013
Thèse de doctorat : [Psychoses et Etats Limites]
Résumé(s) :
Cette recherche se propose d'élucider ce qui se joue sur la scène psychique du suicidant, à partir de deux hypothèses qui s'articulent, toutes deux, autour de la constitution de l'objet primaire et de son identification à celui-ci. Lorsque cette dernière s'avère défaillante, l'acte suicidaire reproduirait une expérience de l'originaire entraînant une perte originaire. Dans ce cas, le suicidant aurait « recours à l'acte » pour reprendre l'expression de Claude Balier ou n'aurait pas été en mesure de dépasser une « situation anthropologique fondamentale » (Jean Laplanche), celle du « complexe central » dont parle Mervin Classer. Lorsque l'identification primaire est suffisamment solide, l'acte suicidaire emprunte le schéma de la mélancolie et le sujet retourne contre lui les motions hostiles destinées à l'objet primaire duquel il s'est senti abandonné. Dans ce cas-là, le passage à l'acte autodestructeur serait une mise en acte des fantasmes originaires et résulterait en une perte du moi. Qu'il s'agisse d'une perte originaire ou d'une perte du moi, ce qui .est en jeu, chez le sujet suicidant, est le narcissisme ou plus exactement ses failles, excès ou manque. Le deuxième volet de cette thèse propose une réflexion sur la prise en charge des patients suicidants dont une des principales caractéristiques est l'impossibilité de parler de leur geste et de pouvoir se le représenter psychiquement. Cette difficulté de mise en sens se trouve renforcée par les orientations actuelles de la politique de santé relative à la prévention du risque suicidaire, en privilégiant le factuel et la réalité extérieure au détriment de la réalité psychique du suicidant.
Bibliothèque de la Sorbonne
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NOTICE THESE 2013 La tentative de suicide par le feu : prise en charge initiale au centre des brûlés de Lille et discussion éthique
La tentative de suicide par le feu : prise en charge initiale au centre des brûlés de Lille et discussion éthique / Louise Pasquesoone ; sous la direction du Docteur Guerreschi
Université du droit et de la santé (Lille).
Médecine. Chirurgie plastique : Lille 2 : 2013
http://www.sudoc.fr/172784387
Num. national de thèse : 2013LIL2M274
Résumé(s) :
Introduction. Les progrès réalisés récemment dans le traitement des brûlures étendues ont considérablement amélioré la survie de ces patients, au détriment de séquelles fonctionnelles et esthétiques parfois lourdes. La tentative de suicide par le feu engendre des brûlures massives autrefois incurables. Les décisions concernant la prise en charge initiale de cette population peuvent être difficiles à prendre dans un contexte où le patient a cherché à mourir, et être inconsciemment influencées par le mode de brûlure. Dans la littérature, peu d’équipes ont partagé leur expérience sur cette problématique. Cette étude évalue la prise en charge de ces patients et soulève les questions éthiques qui en découlent. Matériel et méthodes. Nous avons réalisé une étude rétrospective de 2009 à 2012 des patients ayant fait une tentative de suicide par le feu (CAS) pris en charge dans le centre des brûlés de Lille. Les caractéristiques épidémiologiques et les modalités de prise en charge médicale et chirurgicale ont été étudiées sur dossiers. Nous avons ensuite comparé la durée de survie, le délai de chirurgie et le délai de cicatrisation entre les CAS et des patients brûlés de façon accidentelle (TÉMOINS). Cette comparaison a été possible après appariement sur l’âge et le pourcentage de surface brûlée totale. Les décisions de limitation ou d’arrêt des thérapeutiques actives ont été relevées pour ces deux populations. Résultats. Notre population a inclus 30 patients. 79 % présentaient des antécédents psychiatriques notables et 59% des facteurs de risque de tentative de suicide. Les brûlures, qui atteignaient en moyenne 41 % de surface totale, ont été responsables de 37 % de mortalité. Elles ont relevées d’une prise en charge médicale et chirurgicale lourde avec une durée de cicatrisation moyenne de 50 jours. Nous n’avons pas mis en évidence de différence significative entre les CAS et les TÉMOINS pour la durée de survie, le délai de chirurgie et le délai de cicatrisation. Mais les décisions d’arrêt ou de limitation des traitements impliquant de la chirurgie et des techniques coûteuses innovantes ont semblé plus fréquentes lors d’une tentative de suicide par le feu. Conclusion. Une réflexion éthique s’impose pour aider à la prise de décision et à la prise en charge des tentatives de suicide par le feu. Elle permet de placer au centre des objectifs des soignants l’intérêt du patient, son autonomie de choix et les impératifs de justice imposés par la société. Lors d’une tentative de suicide, ces différentes grilles de lecture éthique s’opposent parfois et rendent complexes la prise en décision. Des outils spécifiques sont proposés afin de faciliter la réflexion éthique des équipes de soins au centre des brûlés de Lille.
bibliothèque
Bibliothèque de l'Université de Reims Champagne-Ardenne.Section Santé
51, rue Cognacq Jay
51097 REIMS CEDEX
France
Tél. 03.26.91.39.01
Fax : 03.26.91.39.05
Adresse PEB : audrey.vachez@univ-reims.fr
Web : http://scdurca.univ-reims.fr
Université du droit et de la santé (Lille).
Médecine. Chirurgie plastique : Lille 2 : 2013
http://www.sudoc.fr/172784387
Num. national de thèse : 2013LIL2M274
Résumé(s) :
Introduction. Les progrès réalisés récemment dans le traitement des brûlures étendues ont considérablement amélioré la survie de ces patients, au détriment de séquelles fonctionnelles et esthétiques parfois lourdes. La tentative de suicide par le feu engendre des brûlures massives autrefois incurables. Les décisions concernant la prise en charge initiale de cette population peuvent être difficiles à prendre dans un contexte où le patient a cherché à mourir, et être inconsciemment influencées par le mode de brûlure. Dans la littérature, peu d’équipes ont partagé leur expérience sur cette problématique. Cette étude évalue la prise en charge de ces patients et soulève les questions éthiques qui en découlent. Matériel et méthodes. Nous avons réalisé une étude rétrospective de 2009 à 2012 des patients ayant fait une tentative de suicide par le feu (CAS) pris en charge dans le centre des brûlés de Lille. Les caractéristiques épidémiologiques et les modalités de prise en charge médicale et chirurgicale ont été étudiées sur dossiers. Nous avons ensuite comparé la durée de survie, le délai de chirurgie et le délai de cicatrisation entre les CAS et des patients brûlés de façon accidentelle (TÉMOINS). Cette comparaison a été possible après appariement sur l’âge et le pourcentage de surface brûlée totale. Les décisions de limitation ou d’arrêt des thérapeutiques actives ont été relevées pour ces deux populations. Résultats. Notre population a inclus 30 patients. 79 % présentaient des antécédents psychiatriques notables et 59% des facteurs de risque de tentative de suicide. Les brûlures, qui atteignaient en moyenne 41 % de surface totale, ont été responsables de 37 % de mortalité. Elles ont relevées d’une prise en charge médicale et chirurgicale lourde avec une durée de cicatrisation moyenne de 50 jours. Nous n’avons pas mis en évidence de différence significative entre les CAS et les TÉMOINS pour la durée de survie, le délai de chirurgie et le délai de cicatrisation. Mais les décisions d’arrêt ou de limitation des traitements impliquant de la chirurgie et des techniques coûteuses innovantes ont semblé plus fréquentes lors d’une tentative de suicide par le feu. Conclusion. Une réflexion éthique s’impose pour aider à la prise de décision et à la prise en charge des tentatives de suicide par le feu. Elle permet de placer au centre des objectifs des soignants l’intérêt du patient, son autonomie de choix et les impératifs de justice imposés par la société. Lors d’une tentative de suicide, ces différentes grilles de lecture éthique s’opposent parfois et rendent complexes la prise en décision. Des outils spécifiques sont proposés afin de faciliter la réflexion éthique des équipes de soins au centre des brûlés de Lille.
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51, rue Cognacq Jay
51097 REIMS CEDEX
France
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Fax : 03.26.91.39.05
Adresse PEB : audrey.vachez@univ-reims.fr
Web : http://scdurca.univ-reims.fr
vendredi 7 mars 2014
NOTICE THESE 2013 Le risque suicidaire propre à la profession médicale
CHAUMET Jessica Le risque suicidaire propre à la profession médicale. Thèse de Médecine : Lyon 2013
La question du suicide des médecins reste souvent du domaine du secret en France. Pourtant l'on observe depuis plusieurs années une augmentation inquiétante de la souffrance des soignants. Nous introduirons notre propos par une histoire clinique, puis nous tenterons de recenser les études épidémiologiques étrangères et françaises les plus représentatives, afin d'en dégager les résultats principaux concernant la surmortalité supposée des médecins par suicide. Nous étudierons ensuite les caractéristiques propres au syndrome d'épuisement professionnel, ou burn out syndrome : il s'agit parfois d'une étape préliminaire au passage à l'acte suicidaire, qui lui-même s'inscrit dans une histoire psychique et environnementale propre à chaque individu. Nous essaierons alors de comprendre dans quelle mesure l'exercice de la profession médicale pourrait exposer les médecins à un risque suicidaire plus élevé, pour enfin aborder les différents moyens de prévention déjà mis en oeuvre en France et à l'étranger. Nous verrons également, à travers le regard de trois professionnels, quel rôle la médecine du travail a à jouer dans la prévention et la prise en charge de ces « médecins malades ».
http://www.sudoc.fr/172680654
Titre :
Le risque suicidaire propre à la profession médicale [Texte imprimé] / Jessica Chaumet ; sous la direction de Véronique Blettery
Chaumet, Jessica (1984-....). Auteur
Blettery, Véronique (19..-....). Directeur de thèse
Université Claude Bernard (Lyon). Organisme de soutenance
Date(s) : 2013
Ou la consulter LYON1-BU Santé
Université Claude Bernard (Lyon). Service commun de la documentation. Section Santé
Adresse postale :
Université Claude Bernard.SCD-BU Santé
8, avenue Rockefeller
69373 Lyon CEDEX 08
France
Web : http://portaildoc.univ-lyon1.fr/
La question du suicide des médecins reste souvent du domaine du secret en France. Pourtant l'on observe depuis plusieurs années une augmentation inquiétante de la souffrance des soignants. Nous introduirons notre propos par une histoire clinique, puis nous tenterons de recenser les études épidémiologiques étrangères et françaises les plus représentatives, afin d'en dégager les résultats principaux concernant la surmortalité supposée des médecins par suicide. Nous étudierons ensuite les caractéristiques propres au syndrome d'épuisement professionnel, ou burn out syndrome : il s'agit parfois d'une étape préliminaire au passage à l'acte suicidaire, qui lui-même s'inscrit dans une histoire psychique et environnementale propre à chaque individu. Nous essaierons alors de comprendre dans quelle mesure l'exercice de la profession médicale pourrait exposer les médecins à un risque suicidaire plus élevé, pour enfin aborder les différents moyens de prévention déjà mis en oeuvre en France et à l'étranger. Nous verrons également, à travers le regard de trois professionnels, quel rôle la médecine du travail a à jouer dans la prévention et la prise en charge de ces « médecins malades ».
http://www.sudoc.fr/172680654
Titre :
Le risque suicidaire propre à la profession médicale [Texte imprimé] / Jessica Chaumet ; sous la direction de Véronique Blettery
Chaumet, Jessica (1984-....). Auteur
Blettery, Véronique (19..-....). Directeur de thèse
Université Claude Bernard (Lyon). Organisme de soutenance
Date(s) : 2013
Ou la consulter LYON1-BU Santé
Université Claude Bernard (Lyon). Service commun de la documentation. Section Santé
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8, avenue Rockefeller
69373 Lyon CEDEX 08
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NOTICE THESE 2012 Pour une prévention du suicide en prison
Pour une prévention du suicide en prison : approche de la psychopathologie du suicide en milieu privatif de liberté : étude psychologique, clinique et thérapeutique / Diana Doïna Tesu Rollier ; sous la direction de Mareike Wolf-Fedida et Aurel Romila
soutenue en 2012
Auteur(s) :
Tesu, Diana Doïna. Auteur
Wolf, Mareike. Directeur de thèse
Romila, Aurel. Directeur de thèse
Université Paris Diderot - Paris 7. Organisme de soutenance
Universitatea Bucuresti. Organisme de soutenance
Editeur(s) :
Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 2013
Lien
Résumé(s) :
Notre travail présent aborde la question majeure de l'autolyse, de la mort et de la mort que l’être humain en tant que sujet souffrant se donne. Il s’agit du suicide comme problème numéro 1 en matière de santé publique et en termes de science et de problème numéro 1 en matière de ressenti des émotions et en termes d’humanisme. Ce don merveilleux qui est la vie humaine peut disparaître dans des circonstances à risque comme par exemple la dépression ou edm. Nous abordons cette vaste problématique sous l’angle des diverses approches psychopathologique, phénoménologique clinique, éthique, épidémiologique, psychologique et globale. La contribution originale apportée par notre travail est de souligner et de prouver l’existence de la possibilité de prévenir le suicide dans la vraie vie et en milieu privatif de liberté, en prison en particulier.
consultable sur place a PARIS-Bib. de la Sorbonne - BIS
Bibliothèque de la Sorbonne
13, rue de la Sorbonne
75257 Paris Cedex 05
adresse électronique : info@bis-sorbonne.fr *
Web : http://www.bis-sorbonne.fr * https://www.bis-sorbonne.fr/bius/
Catalogue en ligne : http://catalogue.bibliotheque.sorbonne.fr/
soutenue en 2012
Auteur(s) :
Tesu, Diana Doïna. Auteur
Wolf, Mareike. Directeur de thèse
Romila, Aurel. Directeur de thèse
Université Paris Diderot - Paris 7. Organisme de soutenance
Universitatea Bucuresti. Organisme de soutenance
Editeur(s) :
Lille : Atelier national de reproduction des thèses, 2013
Lien
Résumé(s) :
Notre travail présent aborde la question majeure de l'autolyse, de la mort et de la mort que l’être humain en tant que sujet souffrant se donne. Il s’agit du suicide comme problème numéro 1 en matière de santé publique et en termes de science et de problème numéro 1 en matière de ressenti des émotions et en termes d’humanisme. Ce don merveilleux qui est la vie humaine peut disparaître dans des circonstances à risque comme par exemple la dépression ou edm. Nous abordons cette vaste problématique sous l’angle des diverses approches psychopathologique, phénoménologique clinique, éthique, épidémiologique, psychologique et globale. La contribution originale apportée par notre travail est de souligner et de prouver l’existence de la possibilité de prévenir le suicide dans la vraie vie et en milieu privatif de liberté, en prison en particulier.
consultable sur place a PARIS-Bib. de la Sorbonne - BIS
Bibliothèque de la Sorbonne
13, rue de la Sorbonne
75257 Paris Cedex 05
adresse électronique : info@bis-sorbonne.fr *
Web : http://www.bis-sorbonne.fr * https://www.bis-sorbonne.fr/bius/
Catalogue en ligne : http://catalogue.bibliotheque.sorbonne.fr/
THESE EN LIGNE IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DES ORGANISMES GENETIQUEMENT MODIFIÉS : CAS DES SUICIDES DES AGRICULTEURS DU COTON BACILLUS THURINGIENSIS EN INDE
IMPACTS SOCIO-ÉCONOMIQUES DES ORGANISMES GENETIQUEMENT MODIFIÉS : CAS DES SUICIDES DES AGRICULTEURS DU COTON BACILLUS THURINGIENSIS EN INDE
Thèse en vue de l’obtention du Doctorat ès Sciences Économiques
Soutenue par : KHERAIEF Naceur
UNIVERSITE DE NICE SOPHIA ANTIPOLIS ÉCOLE DOCTORALE 513 Droit Et Sciences Politiques, Économiques et de Gestion INSTITUT SUPERIEUR D’ECONOMIE ET DE MANAGEMENT Groupe de Recherche En Droit, Économie, Gestion UMR CNRS 6227
Présentée et soutenue publiquement le : 27 Septembre 2013 Université Nice Sophia Antipolis (27/09/2013), Damien Bazin (Dir.)
2013NICE0022.pdf
(8.3 MB)
Impacts socio-économiques des organismes génétiquement modifiés : cas des suicides des agriculteurs du coton 'Bacilus Thuringiensis' en Inde
Naceur Kheraief1
1 : Aerospace and Mechanical Engineering
tel-00956172, version 1
http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00956172
Soumis le : Mercredi 5 Mars 2014, 21:49:08
Dernière modification le : Jeudi 6 Mars 2014, 08:12:45
Résumé
L’Inde est le deuxième producteur mondial de coton ; après la Chine, avec environ 12,1 millions d’hectares en 2011, soit le quart de la superficie cotonnière mondiale. Après l’avènement des biotechnologies agricoles, le gouvernement indien, sous l’égide du premier ministre Atal Bihari Vajpayee, a encouragé l’utilisation de coton génétiquement modifié, dénommé coton Bacillus thuringiensis (Bt). Les variétés de coton Bt permettent de lutter contre les pertes de rendement causées par les parasites lépidoptères. Toutefois, leur implantation n’a pas été sans difficulté (la résistance des insectes, la pollution des sols, l’utilisation massive d’eau et d’engrais, le déséquilibre de l’écosystème et l’appauvrissement des fermiers). Aujourd’hui, l’Inde connaît un débat majeur autour de son expérience en matière d’adoption de coton transgénique, débat où plusieurs arguments d’impacts sur le bien-être des petits agriculteurs sont avancés. Depuis sa commercialisation en 2002, le coton Bt a provoqué les mécontentements et les suicides des fermiers appauvris. En moyenne un paysan se donne la mort toutes les 30 minutes. Les victimes sont principalement les petits fermiers qui cultivaient les semences génétiquement modifiés dans les Etats indiens: Andhra Pradesh, Karnataka, Madhya Pradesh et Maharashtra. Ces agriculteurs étaient pour la plupart endettés auprès de la compagnie semencière Mahyco-Monsanto Biotech (MMB), qui leur fournissait à crédit les semences Bt ainsi que les pesticides. Faut-il y déceler une corrélation entre le coton génétiquement modifié et
ces suicides atypiques ?Ainsi, l’objectif de cette thèse est d’explorer, tant sur le plan théorique qu’empirique, la relation entre l’utilisation du coton Bt et le suicide des agriculteurs en Inde.
Essentiellement factuelle, le premier chapitre de cette thèse tente à livrer une revue exhaustive et critique de la littérature sur les impacts socioéconomiques de l’introduction du coton génétiquement modifié en Inde. Le deuxième chapitre présente les différentes approches économiques relatives au suicide. En effet, la théorie économique est fondée sur l’hypothèse du choix rationnel qui pourrait trouver dans le phénomène du suicide un intéressant défi de recherche. Dans le troisième chapitre nous proposons une première contribution théorique où nous avons pris en compte l’évolution de la résistance des ravageurs aux toxines Bt. Les agriculteurs reviennent à une utilisation intensive des insecticides ce qui représente tel un coût additionnel. Ces fermiers, qui se retrouvent pris dans une véritable spirale infernale d’endettement, choisissent donc le suicide plutôt que de subir les coûts financiers et sociaux de la dette. La deuxième contribution théorique du quatrième chapitre a pris en considération à la fois la détérioration de la résistance des toxines Bt dans le temps et l’augmentation potentielle des populations de ravageurs secondaires. Les agriculteurs, en utilisant une quantité grandissante de pesticides, doivent s’endetter davantage pour pulvériser plus de pesticides. Le dernier chapitre veut tester empiriquement les arguments développés par les modèles théoriques. Enfin, les résultats obtenus nous amènent à penser que l’échec de la culture du coton Bt pourrait être à l’origine de surendettement des paysans et de cette vague de suicidaire.
Thèse en vue de l’obtention du Doctorat ès Sciences Économiques
Soutenue par : KHERAIEF Naceur
UNIVERSITE DE NICE SOPHIA ANTIPOLIS ÉCOLE DOCTORALE 513 Droit Et Sciences Politiques, Économiques et de Gestion INSTITUT SUPERIEUR D’ECONOMIE ET DE MANAGEMENT Groupe de Recherche En Droit, Économie, Gestion UMR CNRS 6227
Présentée et soutenue publiquement le : 27 Septembre 2013 Université Nice Sophia Antipolis (27/09/2013), Damien Bazin (Dir.)
Naceur Kheraief1
1 : Aerospace and Mechanical Engineering
tel-00956172, version 1
http://tel.archives-ouvertes.fr/tel-00956172
Soumis le : Mercredi 5 Mars 2014, 21:49:08
Dernière modification le : Jeudi 6 Mars 2014, 08:12:45
Résumé
L’Inde est le deuxième producteur mondial de coton ; après la Chine, avec environ 12,1 millions d’hectares en 2011, soit le quart de la superficie cotonnière mondiale. Après l’avènement des biotechnologies agricoles, le gouvernement indien, sous l’égide du premier ministre Atal Bihari Vajpayee, a encouragé l’utilisation de coton génétiquement modifié, dénommé coton Bacillus thuringiensis (Bt). Les variétés de coton Bt permettent de lutter contre les pertes de rendement causées par les parasites lépidoptères. Toutefois, leur implantation n’a pas été sans difficulté (la résistance des insectes, la pollution des sols, l’utilisation massive d’eau et d’engrais, le déséquilibre de l’écosystème et l’appauvrissement des fermiers). Aujourd’hui, l’Inde connaît un débat majeur autour de son expérience en matière d’adoption de coton transgénique, débat où plusieurs arguments d’impacts sur le bien-être des petits agriculteurs sont avancés. Depuis sa commercialisation en 2002, le coton Bt a provoqué les mécontentements et les suicides des fermiers appauvris. En moyenne un paysan se donne la mort toutes les 30 minutes. Les victimes sont principalement les petits fermiers qui cultivaient les semences génétiquement modifiés dans les Etats indiens: Andhra Pradesh, Karnataka, Madhya Pradesh et Maharashtra. Ces agriculteurs étaient pour la plupart endettés auprès de la compagnie semencière Mahyco-Monsanto Biotech (MMB), qui leur fournissait à crédit les semences Bt ainsi que les pesticides. Faut-il y déceler une corrélation entre le coton génétiquement modifié et
ces suicides atypiques ?Ainsi, l’objectif de cette thèse est d’explorer, tant sur le plan théorique qu’empirique, la relation entre l’utilisation du coton Bt et le suicide des agriculteurs en Inde.
Essentiellement factuelle, le premier chapitre de cette thèse tente à livrer une revue exhaustive et critique de la littérature sur les impacts socioéconomiques de l’introduction du coton génétiquement modifié en Inde. Le deuxième chapitre présente les différentes approches économiques relatives au suicide. En effet, la théorie économique est fondée sur l’hypothèse du choix rationnel qui pourrait trouver dans le phénomène du suicide un intéressant défi de recherche. Dans le troisième chapitre nous proposons une première contribution théorique où nous avons pris en compte l’évolution de la résistance des ravageurs aux toxines Bt. Les agriculteurs reviennent à une utilisation intensive des insecticides ce qui représente tel un coût additionnel. Ces fermiers, qui se retrouvent pris dans une véritable spirale infernale d’endettement, choisissent donc le suicide plutôt que de subir les coûts financiers et sociaux de la dette. La deuxième contribution théorique du quatrième chapitre a pris en considération à la fois la détérioration de la résistance des toxines Bt dans le temps et l’augmentation potentielle des populations de ravageurs secondaires. Les agriculteurs, en utilisant une quantité grandissante de pesticides, doivent s’endetter davantage pour pulvériser plus de pesticides. Le dernier chapitre veut tester empiriquement les arguments développés par les modèles théoriques. Enfin, les résultats obtenus nous amènent à penser que l’échec de la culture du coton Bt pourrait être à l’origine de surendettement des paysans et de cette vague de suicidaire.
Libellés :
ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE,
RECHERCHE,
SUICIDE ET CRISE ECO,
THESE
mardi 23 juillet 2013
« Les conditions sociales de l’automutilation juvénile. Une approche sociologique »
Baptiste Brossard ,
« Les
conditions sociales de l’automutilation juvénile. Une approche
sociologique », Bulletin Amades [En ligne], 87 | 2013, mis en ligne le 16 juillet 2013, Consulté le 23 juillet 2013. URL : http://amades.revues.org/1550
Baptiste Brossard
Chercheur postdoctoral en sociologie au Centre
Maurice Halbwachs (ENS-EHESS-CNRS) Enseignant à l’Université d’Evry Val
d’Essonne. Coordinateur du pôle « sociologie » sur le site nonfiction.fr
Dans nos sociétés contemporaines,
une partie des adolescents et jeunes adultes, majoritairement des
femmes, se blessent eux-mêmes, volontairement, régulièrement, en vue de
se soulager d’un « mal-être ». Parce qu’elles désignent un mal de vivre à
première vue individuel, ces conduites sont quasi-exclusivement
étudiées par les professionnels de la santé mentale qui se centrent sur
leur dimension psychologique.
2Cette thèse propose une sociologie empirique des blessures auto-infligées.
Libellés :
ADOLESCENTS,
ASPECTS SOCIO-CULTURELS,
AUTO-MUTILATION,
NOTES DE LECTURE,
SOCIOLOGIE,
THESE
vendredi 12 juillet 2013
CANADA THESE «Le processus de rétablissement des adolescents en traitement de la toxicomanie présentant des comportements suicidaires»
CANADA : thèse de doctorat en psychologie
«Le processus de rétablissement des adolescents en
traitement de la toxicomanie présentant des comportements suicidaires».
Par : Rédaction EnTête, le 9 juillet 2013. http://blogue.uqtr.ca/entete/2013/07/09/nouvelle-these-de-doctorat-en-psychologie-5/
Les
comportements suicidaires ne sont que peu considérés dans le traitement
de la toxicomanie chez les adolescents. Le processus de rétablissement
des adolescents qui vivent cette double problématique ainsi que leur
perception des services reçus demeurent peu documentés. Pourtant, une
meilleure compréhension des particularités caractérisant leur processus
de rétablissement permettrait de leur offrir des services mieux adaptés à
leur réalité. Cette thèse repose sur un devis mixte comprenant : un
volet quantitatif, soit une étude longitudinale menée en milieu naturel
(n=181), et un volet qualitatif, à l’aide d’entrevues en profondeur
(n=27). Les objectifs sont de: 1) comparer l’évolution d’adolescents en
traitement de la toxicomanie, concernant la gravité des problèmes de
consommation de SPA et des problèmes associés sur diverses autres
sphères biopsychosociales, selon qu’ils présentent ou non des
comportements suicidaires lors de leur admission en traitement; 2)
documenter en profondeur l’expérience pluridimensionnelle des
adolescents qui présentent des comportements suicidaires en ce qui
concerne leur processus de rétablissement. Les résultats indiquent que
les jeunes en traitement de la toxicomanie présentant des comportements
suicidaires réduisent la gravité de leur consommation de drogues de
façon similaire aux autres jeunes en traitement, mais qu’ils sont plus
réfractaires à l’arrêt complet de leur consommation et que leur
expérience de rechute est vécue plus difficilement. On note une
persistance de difficultés sur certains plans : alcool, comportements
suicidaires, difficultés psychologiques et interpersonnelles. Cependant,
leurs relations familiales s’améliorent. Ces résultats soulignent la
pertinence d’intervenir de façon intégrée auprès de cette clientèle et
de mesurer le succès d’une démarche au moyen de multiples indicateurs,
notamment ceux liés à la santé mentale. Des pistes d’intervention afin
d’orienter le traitement de la toxicomanie de ces adolescents sont aussi
proposées.
Mme Natacha Brunelle, Ph. D., directrice de recherche
Professeure
Université du Québec à Trois-Rivières
Mme Karine Bertrand, Ph. D., codirectrice de recherche
Professeure agrégée
Université de Sherbrooke
M. Marc Daigle, Ph. D., président du jury
Professeur et psychologue
Université du Québec à Trois-Rivières
M. Yvan Lussier, Ph. D., évaluateur
Professeur
Université du Québec à Trois-Rivières
Mme Hélène Simoneau, Ph. D., évaluatrice externe
Chercheure et professeure associée
Université de Sherbrooke
lundi 6 mai 2013
THESE EN LIGNE QUEBEC : La perception du corps chez l'adolescent à tendances suicidaires
La perception du corps chez l'adolescent à tendances suicidaires
de Côté, Lise (1988). La perception du corps chez l'adolescent à tendances suicidaires. Thèse. Trois-Rivières, Université du Québec à Trois-Rivières, 135 p.
thèse psychologie
AOut 1988
Sommaire
La croissance du phénomène du suicide chez les jeunes de 15 à 24 ans a provoqué l'emmergence de nombreuses recherches au cours des dernières années. Celles-ci visent notamment, à cerner la nature du phénomène et les caractéristiques bio-psycho-sociales propres à ces jeunes. L'étude du monde perceptuel chez l'adolescent à tendances suicidaires est un secteur de recherche relativement récent.
Toutefois l'étude de la perception du corps chez ces derniers, demeure peu explorée~ les travaux traitant de ce thème sont quasi inexistants. La présente recherche a pour but de démontrer l'existence
de différences significatives dans l'évaluation de Ja per~eption du corps chez des adolescents à tendances suicidaires comparativement à d'autres jeunes ne présentant pas de telles tendances.
Lire la suite
Acces présentation : http://depot-e.uqtr.ca/5740/
These en format pdf : http://depot-e.uqtr.ca/5740/1/000572509.pdf
de Côté, Lise (1988). La perception du corps chez l'adolescent à tendances suicidaires. Thèse. Trois-Rivières, Université du Québec à Trois-Rivières, 135 p.
thèse psychologie
AOut 1988
Sommaire
La croissance du phénomène du suicide chez les jeunes de 15 à 24 ans a provoqué l'emmergence de nombreuses recherches au cours des dernières années. Celles-ci visent notamment, à cerner la nature du phénomène et les caractéristiques bio-psycho-sociales propres à ces jeunes. L'étude du monde perceptuel chez l'adolescent à tendances suicidaires est un secteur de recherche relativement récent.
Toutefois l'étude de la perception du corps chez ces derniers, demeure peu explorée~ les travaux traitant de ce thème sont quasi inexistants. La présente recherche a pour but de démontrer l'existence
de différences significatives dans l'évaluation de Ja per~eption du corps chez des adolescents à tendances suicidaires comparativement à d'autres jeunes ne présentant pas de telles tendances.
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