mardi 28 février 2012

ZOOM SUR une initiative .. LE FIL VERT


March LA.B créateur de montre engagé.
"Le temps et la montre structurent la vie. La couleur verte la symbolise. Ce code couleur est récurrent dans les créations de la marque.
Le fil vert de March LA.B exprime la volonté d’aider les structures œuvrant pour la prévention du suicide, un fléau social encore trop tabou qui concerne particulièrement les fondateurs de la marque. Détruisant des milliers de vies - nombre d’adolescents - et familles tous les ans, le suicide a imposé une forme d’omerta, son meilleur allié étant le silence. En reversant 1% de chaque montre vendue à des associations aidant à la prévention du suicide, March LA.B souhaite combattre ce silence qui tue. Pour nos enfants, nos familles, nos amis et nos prochains."
En savoir plus sur March LA.B
 http://www.march-lab.com/brand/green-line/fr/

PRESSE : Depuis 25 ans, le centre Ecoute et Soutien, basé à Brive, tend son oreille et sa main aux plus fragiles

Depuis 25 ans, le centre Ecoute et Soutien, basé à Brive, tend son oreille et sa main aux plus fragiles 24/02/12 sur http://www.lamontagne.fr/limousin/actualite/departement/correze/2012/02/24/depuis-25-ans-le-centre-ecoute-et-soutien-base-a-brive-tend-son-oreille-et-sa-main-aux-plus-fragiles-190286.html 

Les femmes qui veulent passer à l’acte retiennent souvent l’intoxication médicamenteuse.?

En Corrèze, un homme sur 30 meurt par suicide. Un chiffre plus élevé que la moyenne nationale. Depuis 25 ans, le centre Ecoute et Soutien tend la main à ceux qui broient du noir.

En Corrèze, on se suicide plus qu'ailleurs. « Notre région est assez proche de la Bretagne et de la Normandie, commente Jean-Marie Coutel, président du centre Ecoute et Soutien, basé à Brive. Ici, les habitants sont plus âgés c'est vrai. Mais même avec des données corrigées, on est à plus du double de la région parisienne en mortalité par suicide ». Sentiment d'isolement

Un homme corrézien sur 30 décède par suicide ; une femme sur 170 ( données de 2009). « Il y a peu de mortalité chez les femmes, par contre, elles battent les records de tentative. C'est leur façon d'exprimer leur souffrance », poursuit le président de l'association.

Pourquoi le Limousin se situe-t-il à 30 voire 40 % au-dessus de la moyenne nationale ? Difficile à dire. « Le niveau de vie joue toujours un peu, assure Jean-Marie Coutel. L'isolement aussi mais pas forcément géographique. Plutôt au sens du sentiment d'isolement ».

Les suicides ou tentatives de suicide sont souvent la conséquence d'une rupture que ce soit familiale, au sein de l'entreprise ou dans l'entourage social.

« Quand les gens sont en bonne santé psychique, ils rebondissent mais sinon, c'est plus difficile… ».

En 25 ans d'existence, le centre Ecoute et Soutien a acquis une solide réputation dans l'aide aux personnes suicidaires. « Nous avons été les premiers à mettre en place en 1997, une journée de prévention (*) », se souvient le président qui peste sur le manque de moyens mis sur la table pour prévenir le suicide « 40 fois moins que pour la prévention routière ! ».



La démarche du centre est simple : « Quand quelqu'un a un malaise, on l'aide à l'exprimer plus qu'à le raisonner. C'est que quelque chose le mange de l'intérieur. Une souffrance qui ne l'amène qu'à une issue : la mort pour arrêter cette souffrance ».

Il faut savoir que 80 % des personnes qui se suicident ne sont pas malades au sens maladie mentale. « Cela s'apparente à un trouble temporaire, traduit Jean-Marie Coutel. C'est souvent un moment impulsif ».

La Corrèze enregistre un millier de tentatives annuellement et 60 décès. « Parler de la mort n'est pas
la provoquer »

A ceux qui poussent la porte du centre Ecoute et Soutien, l'association apporte un réconfort. « Nous ne sommes pas là pour sauver les gens ni pour les juger mais pour les accompagner. Les suicidaires n'ont besoin que d'une chose : être entendu. Parler de la mort, n'est pas la provoquer. A l'entourage de montrer qu'il y a une autre voie ».

Cet autre chemin, Monique, 47 ans, l'a trouvée. « Je suis sur la bonne voie », assure-t-elle aujourd'hui, après deux tentatives de suicide médicamenteuses, il y a 2 ans et 6 mois. Un état dépressif expliqué par un « passé tragique », une enfance vécue dans un climat incestueux, une rupture après 20 ans de vie commune et deux viols. « Pour moi, le centre a été une main tendue. Il me prête une oreille attentive, compréhensive et efficace », lâche Monique qui avoue que les tentatives s'apparentent à des appels au secours. Depuis qu'elle profite d'une écoute et d'un atelier de relaxation, elle ne broie plus de noir. « Je ne suis plus dans une dynamique du suicide, j'ai moins de crise d'angoisse. Parler diminue de moitié ma souffrance ».

(*) Les journées nationales de prévention du suicide se déroulent tous les ans en février. Site : infosuicide. org. Centre Ecoute et Soutien : 05.55.23.49.95. 1 avenue du 11-Novembre à Brive. Laetitia Soulier

PRESSE ARMÉNIE : Vague de suicides chez les retraités

ARMÉNIE : Vague de suicides chez les retraités - 21.02.2012 | Courrier international
http://www.courrierinternational.com/breve/2012/02/21/vague-de-suicides-chez-les-retraites
"Le nombre de suicides et de tentatives de suicides en Arménie - 647 cas en 2011- a cru de 30% depuis la crise de 2009", rapporte le site Eurasianet. "Dans 57% des cas, le suicide touche les chômeurs de 30 à 65 ans. Mais on observe surtout une recrudescence des suicides chez les personnes de plus de 65 ans", explique Kariné Kouïmdjian, directrice du département de recensement de la population au Service statistique d'Etat.

"Les gens n'ont plus d'espoir en l'avenir, les prix augmentent [alors que la pension de retraite moyenne est de 62 euros par mois], les retraités se sentent abandonnés", estime le psychologue Rouben Pogossian. Certes la tradition caucasienne consistant à prendre soin des anciens est toujours en vigueur en Arménie mais "les familles ne s'en sortent plus, le niveau de chômage non officiel est bien supérieur au taux officiel de 6%", analyse Eurasianet, avant de souligner que l'émigration économique "affaiblit les liens familiaux".

ARTICLE PRESSE Les antidépresseurs chez l'enfant en débat

Les antidépresseurs chez l'enfant en débat

Une étude doute du risque de suicide lié à l'absorption de ces médicaments. Mais, selon les spécialistes, leur usage doit rester très limité.
L'utilisation des antidépresseurs chez les enfants et les adolescents est un art difficile. Depuis quelques années, la prescription de ces médicaments chez les enfants fait l'objet d'une mise en garde sérieuse, certaines études ayant mis en évidence un risque de suicide accru chez ceux ainsi traités.
Une nouvelle étude américaine publiée le 6 février dernier dans The archives of General Psychiatry sur ce sujet se veut plus rassurante. Les auteurs ont réétudié quatre essais cliniques portant sur l'administration de fluoxétine chez des enfants et des adolescents et montrent, en intégrant différents critères d'évaluation, qu'il n'y a finalement pas de relation significative entre ce traitement et les idées et comportements suicidaires chez les 7-18 ans, même en cas d'efficacité du médicament sur les symptômes dépressifs.
Aucune étude ne permet aujourd'hui de prouver le lien de cause à effet entre un antidépresseur et le risque suicidaire mais, en l'état actuel des connaissances, «il est déconseillé de prescrire un antidépresseur en première intention à un mineur, clarifie le Pr Marie-Michèle Bourrat (Limoges), présidente de la Société française de psychiatrie de l'enfant, de l'adolescent et des disciplines associées, notamment en raison des effets indésirables de ces molécules: risque cardiaque, céphalées, insomnies, désinhibitions, etc.». La psychothérapie reste la référence.

Des consultations en urgence

Dans certaines situations très précises de dépression majeure, la prescription demeure possible mais «doit être très raisonnée et effectuée par un spécialiste pour une évaluation rigoureuse de l'état du patient. Des consultations en urgence sont proposées pour cela dans des centres de psychiatrie», insiste-t-elle.
En outre, «c'est tout un ensemble de mesures de soins et d'accompagnement, pouvant inclure le traitement antidépresseur, qui va créer des conditions de sécurité et de confiance, pour essayer de prévenir au mieux les éventuels risques de passage à l'acte», renchérit le Pr Jean-Philippe Raynaud, chef du service de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent au CHU de Toulouse.
Cette nouvelle étude ne serait pas dénuée de critiques. «C'est une erreur scientifique d'intégrer dans un même échantillon des jeunes de 7 à 18 ans,précise le Pr Maurice Corcos. Les enfants et les adolescents ont des comportements et des réponses très différentes aux traitements et chaque individu réagit lui-même de façon indépendante à la maladie ou à sa prise en charge au sein de chaque tranche d'âge. Chez la personne âgée, la dépression est un facteur de risque majeur de suicide mais chez l'adolescent c'est beaucoup plus complexe. Les facteurs individuels psychologiques et environnementaux sont prédominants. Des jeunes non dépressifs se suicident par exemple sans crier gare.»
En 2004, l'analyse des effets indésirables de 25 études cliniques portant sur huit antidépresseurs de la classe des inhibiteurs de recapture de la sérotonine utilisées dans différentes tranches d'âges avait interpellé l'Agence américaine du médicament. Elle révélait une augmentation du risque d'idées et de comportements suicidaires chez les mineurs ayant pris ces traitements, même si aucun passage à l'acte n'avait été à déplorer. Deux ans plus tard, l'agence étendait son alerte aux jeunes adultes jusqu'à 25 ans.

Un effet paradoxal

Branle-bas de combat outre-Atlantique. Des médicaments censés réduire le risque de suicide et qui semblent au contraire l'augmenter! L'Agence américaine du médicament a alors imposé à tous les fabricants un gros cadre noir appelé black box warning sur les notices, signifiant clairement ce risque aux utilisateurs. Selon l'Agence du médicament américaine, ces médicaments augmenteraient le risque d'idées suicidaires entre 8 et 18 ans, voir 25 ans, y compris en cas de bénéfice sur les symptômes dépressifs. Cet effet, qui peut sembler paradoxal, est montré du doigt depuis 2004.
En 2006, l'Agence française du médicament émet ses propres recommandations et déconseille l'usage des antidépresseurs inhibiteurs de la recapture de sérotonine à l'exception de la fluoxétine dans le traitement de la dépression chez l'enfant et l'adolescent en raison d'un risque de comportement suicidaire (idées suicidaires, tentatives de suicide) et/ou hostile (agressivité, comportement d'opposition, colère). «Les antidépresseurs sont théoriquement susceptibles d'augmenter le risque d'idées et de gestes suicidaires en début de traitement en raison de la levée de l'inhibition liée à la maladie. Les patients sortent d'une phase de ralentissement psychique et physique et cela peut expliquer un passage à l'acte», explique le Pr Maurice Corcos, chef du département de psychiatrie de l'adolescent à l'Institut Montsouris, à Paris.

FORMATION crise suicidaire chez la personne âgée BOURGOGNE

Repérage et gestion de la crise suicidaire chez la personne âgée
Formation proposée par le Réseau Gérontologique Autunois en Bourgogne

Objectifs

  •     Repérer la crise suicidaire de la personne âgée
  •     Mieux appréhender ce phénomène pour mieux le gérer

Public concerné

Tout personnel ayant comme public des personnes âgées

Contenu

Première  matinée :   
  • Ouverture – Présentation de la formation
  • Présentation des participants
  • Idées reçues
  • Epidémiologie
  • Crise et intervention de crise
  • Conduite de l’entretien

Premier après midi :   
  • Triple évaluation potentiel suicidaire
  • Cas concret : mise en pratique

Deuxième matinée :   
  • Suicide chez la personne âgée
  • Spécificité du deuil après suicide

Deuxième après midi :    
  • Cas concret : mise en pratique
  • Structures, lieux, personnes ressources
  • Evaluation de la formation
  • Discussion

Intervenants

Dr Plassard Gérontopole
Dr Frenisy Gérontopole

Durée

2 jours

Date

10  et 11 avril
Date limite d’inscription
10 février

Tarif pour la formation : 150€/personne/jour


Renseignements sur la formation :
Pierre-Jacques Mathieu
Coordonnateur PRE/ASV
DCSU
03 85 86 64 55

MANIFESTATION Soirée – débat à LOOS (59)

LA SEMAINE D'INFORMATION SUR LA SANTE MENTALE  A LA CLINIQUE LAUTREAMONT LOOS (59)
 Soirée – débat
« L'adolescence et la Santé Mentale »
Entrée libre le jeudi 15 mars 2012 à 20h30

Argumentaire " L’équipe de la Clinique Lautréamont a souhaité participer à 22ème édition de la Semaine d'Information sur la Santé Mentale.
En s’associant à cette manifestation, l’objectif pour les professionnels de la Clinique Lautréamont était de  lutter contre la stigmatisation de la maladie mentale, de participer à une action de prévention des troubles  psychiques et d’éducation à la santé mentale, en ouvrant les portes de l’établissement au plus grand nombre en leur donnant des informations simples et des conseils.
La souffrance psychique d'un adolescent est et devient forcément une souffrance psychique pour toute sa  famille, tous ses proches. Les systèmes de soins propres à cette classe d'âge n'ont pas toujours pu répondre  jusqu'à présent de manière appropriée aux besoins de soins du jeune patient qui ne peut s'envisager sans une
prise en charge réelle, continue de toute sa famille dans une démarche d'aide active et conjointe aux soins de leur enfant.
Au cours de cette soirée, nous souhaitons échanger avec tous les citoyens concernés autour des nouvelles modalités de prise en charge des jeunes en souffrance psychique (dépression, troubles anxieux dont les TOCs, idées suicidaires, troubles des conduites alimentaires, hyperactivité avec déficit de l'attention, etc.) en
montrant comment les rapprochements et les liens étroits entre une clinique, une équipe de soins et les usagers, notamment par l'intermédiaire des associations de patients et de familles peuvent tout changer dans nos mentalités, notre façon de soigner.
Nous sommes intimement persuadés que l'instauration de liens étroits et permanents avec les usagers contribuent notoirement à la prévention, et au souci  permanent de l'amélioration de la qualité de nos soins et donc à la remise sur les rails de jeunes patients au cours de la période parfois délicate de transition entre
adolescence et âge adulte.
Toutes ces interrogations feront l’objet d’une « soirée débat »
animée par Dr KOCHMAN
le Jeudi 15 mars 2012 à partir de 20h30
autour de la question suivante :
L'adolescence et la Santé Mentale
Contacts :
Clinique Lautréamont - Groupe CLINEA
1 rue de Londres - 59120 Loos
Tél. : 03 20 57 88 09
Fax : 03 20 57 44 54
E-mail : lautreamont@orpea.net

PROGRAMME ET PRÉSENTATION DE LA CLINIQUE
http://www.orpea.com/clinique-lautreamont/item/index.php?id=4083&cid=3071&fid=182&task=download&option=com_flexicontent&Itemid=376&lang=en

REVUE DE PRESSE Entretien avec Edouard Bergeon, auteur du documentaire "Les Fils de la terre",

Edouard Bergeon : "Entre 400 et 800 agriculteurs se suicident chaque année"

Entretien avec Edouard Bergeon, auteur du documentaire "Les Fils de la terre", diffusé mardi 28 février à 22h50 sur France 2 | LE MONDE TELEVISION | 27.02.12 | 18h34 • Mis à jour le 28.02.12 | 14h10

Edouard Bergeon revient sur les raisons qui l'ont amené à réaliser ce documentaire, en évoquant notamment le suicide de centaines d'agriculteurs, dont celui de son père.Jean-Jacques Cecconi

Réalisateur de L'Entrée des Trappistes - un documentaire réunissant Jamel Debbouze, Omar Sy et Nicolas Anelka qu'a diffusé Canal+ le 7 février -, Edouard Bergeon est aussi l'auteur d'un film plus personnel, Les Fils de la terre, où il suit pendant plus d'un an le quotidien d'un producteur de lait du Lot acculé à la dépression par les dettes.

Pensez-vous que votre documentaire, qui a reçu une mention spéciale au Festival international des programmes audiovisuels, fin janvier, toucherait autant si vous n'y expliquiez pas que la situation de Sébastien rappelle exactement celle de votre père, lui aussi agriculteur, qui s'est suicidé il y a treize ans ? LIRE LA SUITE
http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2012/02/27/edouard-bergeon-entre-400-et-800-agriculteurs-se-suicident-chaque-annee_1648324_3236.html

JNPS 2012

"Régions, territoires et proximités dans la prévention du suicide Tous citoyens et acteurs"
Février 2012
 

EN LIGNE A TÉLÉCHARGER SUR INFOSUICIDE.ORG RUBRIQUE UNPS ACTES
http://www.infosuicide.org/contacts/unps/actes.htm#2012


livret présentation des Journées
argumentaire

couv dossier de presse -
Dossier de presse
Discours de Nora Berra

Discours d'introduction de la présidente de l'UNPS

COMPTE-RENDUS : ILE DE LA REUNION

http://www.infosuicide.org/contacts/unps/actes.htm#2012

ZOOM ETUDE Santé mentale des migrants/étrangers : mieux caractériser pour mieux soigner

Dans le numéro BEH Bulletin épidémiologique hebdomadaire Numéro thématique - Santé et recours aux soins des migrants en France  2-3-4 / 17 janvier 2012 (p36-40 )
Santé mentale des migrants/étrangers : mieux caractériser pour mieux soigner
Auteurs : Arnaud Veïsse, Laure Wolmark, Pascal Revault (pascal.revault@comede.org)Arnaud Veïsse, Laure Wolmark, Pascal Revault (pascal.revault@comede.org) Comede (Comité médical pour les exilés), Le Kremlin-Bicêtre, France
Acces etude http://www.invs.sante.fr/content/download/27502/145753/version/14/file/beh_2_3_4_2012.pdf

Résumé / AbstractAbstract

Introduction – Les pathologies psychiques représentent l’un des enjeux majeurs de santé chez les migrants/étrangers en France, mais ceux-ci sont souvent ignorés dans les études en population générale.Les pathologies psychiques représentent l’un des enjeux majeurs de santé chez les migrants/étrangers en France, mais ceux-ci sont souvent ignorés dans les études en population générale.

Matériel et méthode – Les données recueillies au sein des dispositifs de soins du Comede (Comité médical pour les exilés) ont permis de décrire les psychotraumatismes dans une population d’exilés marquée par des antécédents de violence, la précarité du statut administratif et des difficultés de communication pour les personnes non francophones.Les données recueillies au sein des dispositifs de soins du Comede (Comité médical pour les exilés) ont permis de décrire les psychotraumatismes dans une population d’exilés marquée par des antécédents de violence, la précarité du statut administratif et des difficultés de communication pour les personnes non francophones.

Résultats – Entre 2004 et 2010, parmi les 17 836 personnes ayant consulté un médecin dans les centres de santé du Comede, plus de 60% avaient subi des violences dans leur pays d’origine, et près d’un quart la torture. Le taux de prévalence des psychotraumatismes à la première consultation était de 112‰. Il était le plus élevé chez les personnes âgées de 29 à 49 ans, chez les femmes, et variait selon la nationalité. Ces résultats montrent une forte prévalence des syndromes psychotraumatiques dans cette population, plus élevée que la prévalence des pathologies psychiques rapportée dans les études en population générale.Entre 2004 et 2010, parmi les 17 836 personnes ayant consulté un médecin dans les centres de santé du Comede, plus de 60% avaient subi des violences dans leur pays d’origine, et près d’un quart la torture. Le taux de prévalence des psychotraumatismes à la première consultation était de 112‰. Il était le plus élevé chez les personnes âgées de 29 à 49 ans, chez les femmes, et variait selon la nationalité. Ces résultats montrent une forte prévalence des syndromes psychotraumatiques dans cette population, plus élevée que la prévalence des pathologies psychiques rapportée dans les études en population générale.

Conclusion – La fréquence et les caractéristiques des maladies psychiques chez les migrants/étrangers en situation de vulnérabilité nécessitent de développer la recherche associant enquêtes épidémiologiques et études qualitatives et de faire évoluer les catégories diagnostiques utilisées.

EXTRAITS : " En effet, les patients suivis au Comede souffrent le plus souvent de syndromes psychotraumatiques, dans lesquels dominent cauchemars et reviviscences, troubles de la mémoire et de la concentration, hypervigilance, mais aussi douleurs physiques rebelles au traitement antalgique et asthénie. Ces syndromes peuvent prendre la forme d’épisodes dissociatifs, s’exprimant par des moments de confusion, d’agitation ou encore de mutisme et de stupeur. Certains patients traversent des états de détresse psychiques intenses, associés à des dépressions graves, et témoignent d’idées suicidaires."

mercredi 22 février 2012

AUTRES PAYS ARTICLE PRESSE

ARMÉNIE • Vague de suicides chez les retraités - 21.02.2012 | Courrier international
"Le nombre de suicides et de tentatives de suicides en Arménie - 647 cas en 2011- a cru de 30% depuis la crise de 2009", rapporte le site Eurasianet. "Dans 57% des cas, le suicide touche les chômeurs de 30 à 65 ans. Mais on observe surtout une recrudescence des suicides chez les personnes de plus de 65 ans", explique Kariné Kouïmdjian, directrice du département de recensement de la population au Service statistique d'Etat.

"Les gens n'ont plus d'espoir en l'avenir, les prix augmentent [alors que la pension de retraite moyenne est de 62 euros par mois], les retraités se sentent abandonnés", estime le psychologue Rouben Pogossian. Certes la tradition caucasienne consistant à prendre soin des anciens est toujours en vigueur en Arménie mais "les familles ne s'en sortent plus, le niveau de chômage non officiel est bien supérieur au taux officiel de 6%", analyse Eurasianet, avant de souligner que l'émigration économique "affaiblit les liens familiaux".
lire sur le site http://www.courrierinternational.com/breve/2012/02/21/vague-de-suicides-chez-les-retraites

Du suicide, Léon Tolstoï

Tolstoï commença la rédaction de cet essai, intitulé Du suicide, en mars 1910, peu de temps avant sa mort. C’est l’un de ses tout derniers textes. Il en reprit la rédaction quelques mois plus tard, après avoir visité deux hôpitaux psychiatriques, orientant sa réflexion sur la folie. Les nombreux brouillons et les variantes attestent du long travail de l’auteur qui revient une fois encore, avec un ton violent et dépouillé des artifices du style, sur cette tragédie qui l’a souvent hanté.
Tolstoï répond à de nombreux correspondants, candidats au suicide, qui s’adressent à l’écrivain devenu à l’époque un sage universellement connu. Il dénonce la folie du monde, reliant constamment dans son analyse la question politique à la problématique personnelle. Il ne fait pas reposer la responsabilité de cette folie uniquement sur les contradictions personnelles dans lesquelles se débattent les individus ou sur la perversion des institutions, mais il montre le rapport profond qui existe entre le social et l’individuel.

Du suicide, Léon Tolstoï
Traduit du russe, préfacé et annoté par Bernard Kreise
Coll. Carnets
9,60 € - 80 pages

mardi 21 février 2012

PARIS : Le Réactif Théâtre représentations pour les professionnels

Le Réactif Théâtre, compagnie qui produit des spectacles à caractère social et engagé, développe depuis plusieurs années le Théâtre Réactif de Prévention (prévention des addictions, de la violence, du VIH, du mal-être, des discriminations…)

Une des premières représentations de l’année 2012, réservées aux professionnels :
  
Le mercredi 14 mars 2012

- 10h « J’ai mal à mon âme » sur le thème du mal-être et de l’estime de soi.
Cette pièce a la possibilité de s'intégrer dans des projets de thématiques différentes. En effet, elle traite des "causes" et/ou "conséquences" du mal-être (les addictions, le harcèlement, le comportement nutritionnel et l'hygiène, intolérance et discrimination, la violence envers les autres, la violence envers soi-même, les relations filles-garçons).


Le Réactif Théâtre invite les professionnels à venir y assister afin de les rencontrer, de vous présenter leur travail, et d’échanger avec vous sur les différentes formes que peut prendre le Théâtre Réactif de Prévention.

Les présentations auront lieu à l’école de théâtre      ACTING INTERNATIONAL
55 rue des Alouettes
75019 Paris
Métro Pyrénées / Jourdain / Botzaris

Pour confirmer votre présence ou pour de plus amples informations : 01.43.03.16.56, ou par mail à reactif.theatre@hotmail.fr

Le nombre de place étant limité, veuillez laisser vos coordonnées précises (nom, prénom, établissement, N° de téléphone, adresse email…) afin qu'ils puissent vous recontacter pour confirmation.

Vous trouverez plus de renseignements sur le Théâtre Réactif de Prévention sur le site http://www.reactif-theatre.fr/trp-theatre-reactif-de-prevention.htm et sur le blog http://blog.reactif-theatre.fr/

ARTICLE PRESSE « Les suicides d'enfants ne doivent pas être racontés »,

Boris Cyrulnik : « Les suicides d'enfants ne doivent pas être racontés », 19/02/2012   source : http://www.rue89.com/2012/02/19/cyrulnik-les-suicides-denfants-ne-doivent-pas-etre-racontes-229495
Manon Le Charpentier | Etudiante en journalisme
La citation reprise dans le titre est de Christian Flavigny, non de Boris Cyrulnik.

Lors du seul mois de janvier, quatre enfants de 8 à 12 ans ont mis fin à leurs jours. Une trentaine de cas semblables seraient recensés chaque année. « Mais ce chiffre est sous-estimé », estime Boris Cyrulnik dans un rapport remis en septembre dernier à la secrétaire d'Etat chargée de la Jeunesse et de la Vie associative, Jeannette Bougrab. A cette occasion, il confiait au Parisien :
« Officiellement, il y en a une quarantaine par an. Mais si l'on ajoute les accidents non accidentels, qui sont en fait des suicides, on arrive à une centaine chaque année, ce qui est énorme. C'est par exemple l'enfant qui se jette subitement sous les roues d'une voiture. L'entourage attribue ce geste à un moment d'inattention ou à une mauvaise évaluation du danger alors que l'enfant savait très bien ce qu'il faisait. »

Du jeu dangereux au geste suicidaire

Une vision que ne partage pas Christian Flavigny, directeur du département de psychanalyse de l'enfant et de l'adolescent à l'hôpital de la Salpêtrière à Paris. Son enquête sur une quinzaine de cas en 1982 l'amène à dire que ces passages à l'acte ne peuvent pas être considérés comme des suicides :
« Les enfants de moins de 12 ans n'ont pas la même vision de la mort que les adultes. Ils la conçoivent comme une absence qui dure. Un petit garçon que je suivais m'a dit un jour : “Il est mort, il vit au cimetière.”
La limite est ténue entre le jeu dangereux et le geste suicidaire. Pour eux, il n'y a pas d'irréversibilité. C'est une solution pour se soustraire à une situation qui les dépasse. Ces manifestations sont très impressionnantes mais restent rares. Elles touchent surtout les garçons. »

« Le risque, c'est de provoquer une épidémie »

Devant la rareté des cas, si Christian Flavigny préconise seulement de sensibiliser à la dépression de la petite enfance, son homologue Boris Cyrulnik propose d'allonger les congés maternité, de développer les métiers de la petite enfance, de supprimer la notation des enfants à l'école... et surtout d'arrêter de mettre en lumière les passages à l'acte.
Après la série noire du mois de janvier, Cyrulnik avoue s'être fâché avec des journalistes :
« Ces suicides d'enfants sont spectaculaires mais ne doivent pas être racontés. On en héroïse les auteurs. Le risque, c'est de provoquer une épidémie. Des études l'ont prouvé : quand Marilyn Monroe a mis fin à ses jours, le nombre de suicides a augmenté. »
Pour prévenir ces drames, il faut donc en parler, mais pas faire du cas par cas.
C'est le rôle de l'association Phare enfants-parents. Elle propose une ligne d'écoute (0 810 810987) pour aider les parents désemparés. « Sur les 900 appels que nous recevons chaque année, 24% concernent des enfants de moins de 14 ans », indique Joanna de Lagarde, responsable du service d'accueil et d'écoute. Depuis la création de l'association, il y a vingt ans, ce chiffre a légèrement augmenté :
« Les enfants gagnent en précocité dans tous les domaines : le premier verre, la première cigarette, la première relation sexuelle et également les premières idées noires et éventuels passages à l'acte. »

Les signaux qui alertent

Au bout du fil, les membres de l'association laissent le temps aux parents de s'exprimer, d'exposer leur culpabilité. « L'écoute permet de déterminer si un passage à l'acte est imminent ou pas. » Certains signaux doivent clairement alerter, analyse Joanna de Lagarde :
« Les enfants suicidaires ont tendance à beaucoup parler de la mort, à faire des allusions directes au fait qu'ils vont disparaître un jour. Certains se renferment sur eux-même, quand d'autres deviennent hyper turbulents ou agressifs. »
Parents et enfants sont ensuite orientés vers des structures hospitalières, des spécialistes, des associations. Pour développer ces prises en charge, Phare enfants-parents a adressé une lettre aux candidats à la présidentielle au début du mois pour qu'ils s'engagent contre le suicide des enfants et des adolescents.

Le harcèlement à l'école, l'un des facteurs

Une missive qui rappelle celle envoyée un an plus tôt aux politiques par quelques associations, pour mettre en lumière le problème du harcèlement à l'école. Ce phénomène pourrait expliquer certains passages à l'acte chez les enfants.
Pour Dan Olweus, chercheur suédois spécialiste du harcèlement scolaire, le risque de suicide serait quatre fois plus élevé chez les jeunes qui en sont victimes. Pour les repérer, il a élaboré un Guide de l'identification des victimes et agresseurs potentiels.
Côté français, Jean-Pierre Bellon, professeur de philosophie et responsable d'une association contre le harcèlement à l'école, a étudié 3 500 élèves pour mieux comprendre un phénomène qui toucherait un enfant sur dix :
« Le harcèlement est le terreau silencieux de la violence scolaire. Ce sont des humiliations répétitives qui s'installent sur la durée. Pris séparément, les actes de harcèlement peuvent paraître anodins. Cette violence, on la retrouve partout : j'ai obtenu les mêmes chiffres dans un collège rural d'Auvergne que dans un établissement en zone d'éducation prioritaire (ZEP) de Seine-Saint-Denis. »

« Les harceleurs recommencent pour se venger »

Pour le professeur de philosophie, le phénomène a toujours existé mais a changé de visage avec l'apparition des nouveaux moyens de communication. Les téléphones portables et les réseaux sociaux font sortir les moqueries de l'enceinte des écoles :
« On envoie des séries de textos insultants à toute heure du jour ou de la nuit. Sur Facebook, les rumeurs se propagent très vite. J'ai en tête l'histoire d'une jeune fille qui avait été battue par une bande de collégiens. Elle avait donc des bleus sur le visage. Une autre adolescente l'a accusée d'utiliser du maquillage pour simuler ses ecchymoses. La pauvre a dû changer trois fois d'établissement scolaire : cette rumeur l'y précédait à chaque fois à cause de Facebook. »
Début 2012, une campagne télévisée de sensibilisation a été lancée par le ministère de l'Education nationale. Pour Jean-Pierre Bellon, c'est seulement le début d'une bataille :
« Le plus important, à mon sens, c'est de préparer les enseignants. Rien n'est prévu dans leur cursus de formation pour apprendre à gérer ce genre de problème. Il ne suffit pas de taper du poing sur la table pour réprimander. La plupart du temps, les harceleurs recommencent pour se venger. Il faut mettre en place un protocole de suivi de la classe. Cela se fait dans les pays nordiques. »
source: http://www.rue89.com/2012/02/19/cyrulnik-les-suicides-denfants-ne-doivent-pas-etre-racontes-229495

lundi 20 février 2012

BELGIQUE : Brochure « Suicide : une histoire de vie ? »

« Suicide : une histoire de vie ? »

Une brochure diffusée par l’association Question Santé (Belgique)

Aujourd’hui, le suicide est vu essentiellement sous l’angle de la santé : comme un problème de santé publique auquel s’attachent épidémiologistes et chercheurs; comme un problème de santé mentale – ou du moins comme l’expression de troubles mentaux – et la parole est aux psychiatres, aux psychologues cliniciens.

Dans cette brochure, nous ne proposons pas d’affronter la question qui revient toujours, celle que chacun se pose quand il est confronté au suicide d’un tiers ou, pis encore, d’un proche : pourquoi ? Notre propos est d’approcher différentes représentations sociales du suicide et de les mettre en débat. Pas davantage. Et pourtant ce n’est pas négligeable, car le suicide questionne notre rapport à la mort mais aussi notre rapport à la vie : le sens de la vie humaine.

Télécharger la brochure sur le site de Question Santé

FORMATION PARIS La souffrance psychique des personnes âgées

La souffrance psychique des personnes âgées : mieux la connaître pour mieux la soulager organisée par Saint-Anne Formation

Jeudi 8 mars et vendredi 9 mars 2012 & Mardi 3 avril et mercredi 4 avril 2012

Plaquette Programme


Responsable pédagogique
Docteur Thierry Gallarda
Responsable du Centre d’évaluation des troubles psychiques et du vieillissement,
SHU, secteur 14, CH Ste Anne, Paris

Contact :
Inscriptions auprès du secrétariat Odile Bontemps-Luzi
Assistante de Formation , Sainte Anne Form@ion,
Tél : 01.45.65.73.15 - Fax : 01 45 65 73 58
Tél : 01.45.65.73.15 - Fax : 01 45 65 73 58

ACTU LAON (Aisne) article presse Le suicide chez les ados : une prévention nécessaire

Le suicide chez les ados : une prévention nécessaire
Source article http://www.lunion.presse.fr/article/societe/le-suicide-chez-les-ados-une-prevention-necessaire
Publié le lundi 20 février 2012.
Catherine Vannereux : « On fait porter des situations trop lourdes à nos jeunes. »
LAON (Aisne) Aujourd'hui et demain, la psychanalyste Catherine Vannereux va intervenir auprès des lycéens de Claudel. Le thème est délicat : le suicide et les moyens de le prévenir.
AUCUN lycée du département n'a été épargné par le suicide, tenté ou « réussi ». Des faits qui ne baissent pas et qui ont incité l'éducation nationale, sur le Laonnois, à faire intervenir Catherine Vannereux, psychanalyste et enseignante de formation, à intervenir dans les lycées du secteur. Aujourd'hui et demain, elle est à Paul-Claudel pour sensibiliser les lycéens sur la prévention du suicide. Pas simple.
l'union : Plusieurs cas de suicide « spectaculaire » ont eu leu ces dernières années dans notre secteur. Est-ce un phénomène qui se tasse, ou qui est hélas toujours présent ?
Catherine Vannereux : Je voudrais vous dire le contraire, mais ce chiffre est constant et a tendance à augmenter. À tel point que l'éducation nationale, du moins en Picardie, a choisi de pratiquer de plus en plus de présentions dans ce domaine. Nous sommes assez en avance dans ce secteur, mais cela reste insuffisant. L'année dernière il y a eu 12 000 suicides en France, tous âges confondus. C'est la seconde cause de mortalité en France ! Et encore une fois, le suicide et sa prévention restent un sujet encore tabou. Alors que par exemple, en Picardie l'année passée, nous avons encore plusieurs morts par suicide.


Un passage à l'acte très rapide
Est ce difficile de détecter les signes avant coureur d'un adolescent qui se sent mal dans sa peau au point de passer à l'acte ?
Ce qui rend les choses compliquées, notamment pour détecter des jeunes à risque, est qu'il n'y a pas de prévention faîte auprès des enseignants lors de leur cursus. Il est même très délicat d'aborder le sujet quand on n'est pas formé. On peut appréhender de faire plus de mal que de bien. Pourtant, il y a une demande, de la part des jeunes professeurs notamment. Ceux qui peuvent le plus détecter les signes, sont les copains ou copines. Il y a des indices pour les parents aussi comme un mauvais sommeil, du stress, de la perte d'intérêt pour les passions, des plaies corporelles aussi. Des jeunes qui s'isolent, se mettent en retrait…
Comment se passe une intervention dans ce public sensible que sont les lycéens ?
Pour les ados, le passage à l'acte est très rapide, violent, surtout chez les garçons. On souffre, on arrête, la préparation dure une semaine, au maximum 15 jours. Avec eux, le langage doit être clair, pas trop direct. Il est très rare qu'il n'y ait pas, dans la volonté du passage à l'acte, une source dans le milieu familial. Parfois l'enfant, notamment dans une séparation, devient le confident d'adulte alors que ce n'est pas son rôle. À leur âge, il est déjà difficile de parler et donc, je fais la moitié du chemin en venant faire de la prévention. Après, ils n'ont plus qu'à faire un petit pas, notamment pour les jeunes en terminale. Heureusement, nous avons de plus en plus de personnes relais dans les lycées, comme les infirmières scolaires. Mais nous sommes encore loin du compte.

Informations : Suicide écoute 01.45.39.40.00 (7j/7, 24h/24). Catherine Vannereux : 06.20.75.20.92/mail : vannereux75@aol.com


Propos recueillis par Stéphane MASSÉ smasse@journal-lunion.fr

vendredi 17 février 2012

MANIFESTATION : Une session de l’Université des Familles consacrée à la Prévention du suicide

source info  :  http://www.unaf.fr/spip.php?article13526 du  13/02/2012
"Le suicide est la pire des détresses, la pire des souffrances pour les familles. Les 12 000 morts par an dont près de 50% de jeunes, les 100.000 tentatives par an en France dont 40 000 pour les 15-24 ans qui risquent la récidive, traduisent un flot de souffrances psychosociales et familiales qui, depuis trois ou quatre décennies tend à nous submerger. Face à cela, quelle prévention mettre en place ? L’université des Familles du mardi 21 février 2012 se tiendra de 16h à 18h à l’UNAF, 28 Place St Georges - 75009 Paris et portera sur « La prévention du suicide ». Elle sera animée par Philippe Vaur, Administrateur de l’UNAF et sera retransmise en direct sur le site de l’UNAF.

Les Intervenants :
- Xavier Pommereau, Psychiatre, Responsable du pôle Aquitain de l’Adolescent ;
- Thérèse Hennier, Présidente de l’Union Nationale pour la Prévention du Suicide.
Vous pouvez d’ores et déjà, poser vos questions et accéder à la (note de problématique)."


ZOOM SUR... L'association nationale de défense des agriculteurs en difficulté

Association nationale de défense des agriculteurs en difficulté
http://www.solidaritepaysans.org/


"Sous prétexte d'une adaptation à l'économie dominante, les orientations successives des politiques agricoles, favorisant la concentration des moyens de production, ont généré des crises à répétition aux conséquences sociales désastreuses.

Ce ne sont pas seulement les agriculteurs les plus âgés, ni les moins bien équipés, ni ceux qui cultivent les terres les plus ingrates qui rencontrent aujourd'hui de graves difficultés.

Ce phénomène demeure à peine perceptible par l'ensemble de la société française si ce n'est à travers quelques manifestations mal comprises, quelques statistiques mal connues de la chute du nombre d'exploitations ou quelques "faits divers" rapportant des suicides de paysans.

A partir d'une situation de fragilité, il faut peu de chose pour basculer dans l'engrenage des difficultés. Il suffit d'une chute brutale des prix, d'un financement inadapté, d'un problème familial ou de santé, … l'agriculteur se trouve alors très rapidement en rupture avec son environnement. Viennent ensuite l'isolement, le sentiment d'échec personnel, le risque de perdre un outil de travail auquel il est affectivement attaché, l'impossibilité de trouver seul une issue.

Pour accompagner et défendre les familles, préserver l'emploi, des agriculteurs ont créé Solidarité Paysans, mouvement de lutte contre l'exclusion en milieu rural. Cette association nationale fédère des structures départementales et régionales.

Si vous pensez être concerné ou l'un de vos proches,
prenez contact avec l'association de votre département ou région, cela n'engage à rien !"


Solidarité Paysans Avec le concours de
Association de défense des agriculteurs en difficulté
Bureau national : 104 rue Robespierre
93170 BAGNOLET
tél : 01 43 63 83 83
http://www.solidaritepaysans.org/


jeudi 16 février 2012

COMPTE RENDU DES JOURNEES DES JNPS : ILE DE LA REUNION

Sur http://www.sos-solitude.re/pubactu.php : 16ème JNPS - les chiffres, l'organisation.... ajouté le 16/02/2012
Retrouvez toutes les présentations :
- Epidémiologie des suicides à la Réunion, par Madame Camélia Louacheni, Chargée d'étude
- Le travail en réseau du RGO , par le Docteur Anna Raherimanantso, Réseau Gérontologique Ouest
- L'organisation des soins en Psychiatrie, par le DocteurLaurent Denizot, psychiatre au CHR
- Sos Solitude en quelques chiffres

Allô Ecoute ado " le souhait de l'ARS Auvergne d'en faire un numéro régional.

Haute-Loire : un numéro pour lutter contre le mal-être des jeunes
sur 43chrono.fr le 14/02/2012
Comme chaque année depuis 1999, le service Allô écoute ado a présenté, vendredi 10 février, son rapport d'activité au siège de l'Association départementale des pupilles de l'enseignement public de Haute-Loire (ADPEP 43), à Mons.
En 2011, le service, qui lutte contre le suicide et le mal-être des jeunes, a enregistré 1082 appels. Ce nombre est moins élevé qu'en 2010. Le directeur de DEL et Solidarité (Développement éducation loisir), Gilles Brun, l'explique ainsi : « L'année dernière, nous avions une multiplicité des appels provenant de mêmes jeunes, alors que cette année, nous constatons plutôt une multiplicité de jeunes ».
Sans surprise, les collégiens et lycéens restent les interlocuteurs principaux avec une grande proportion de jeunes filles, 73 % des appels. « Les garçons parlent moins, et malheureusement, ils se suicident plus », précise Gilles Brun. Le service Allô écoute ado est présent sur les départements de la Haute-Loire et de l'Allier avec le souhait de l'ARS Auvergne (Agence régionale de santé) d'en faire un numéro régional.
Lors de cette présentation, Michel Lombardy, président de l'ADPEP 43 et François Gagnaire, parrain d'Allô écoute ado, ont souligné l'importance de l'entente entre le service, la maison des adolescents, le point écoute jeunes de Monistrol : « On ne peut avancer en restant chacun dans notre coin ».
Une ouverture à destination des parents
Les adolescents ne sont pas les seuls à appeler le numéro. De nombreux adultes, essentiellement des parents, appellent pour avoir quelques conseils. Le thème de la famille est particulièrement abordé, afin d'évoquer des conflits avec leurs adolescents ou des difficultés de communication.
Au delà des frontières
Les pages d'informations à visée préventive du site internet d'Allô écoute ado, ont été élaborées par des professionnels spécialistes des thèmes abordés (addiction…). En 2011, le site (lien ci-dessous) a été utilisé par 7116 internautes, pour 8714 visites au total. Les statistiques montrent qu'il est fréquenté par des internautes de 94 pays différents comme le Canada, la Belgique, la Tunisie ou encore les États-Unis.
Pour répondre également à la demande, deux nouveaux favoris ont été ajoutés au site internet : ado sexo et parents ado. L'écoute des parents et la distribution de plaquettes d'informations devraient s'intensifier cette année.
Le numéro vert d'Allô écoute ado est accessible du lundi au samedi, de 17 à 20 heures.
Par Manuel Cladière

ARTICLES MEDICAUX & RECHERCHE ANGLO SAXONNE

- Antidépresseurs & risques suicidaires Source info : mediscoop.net http://www.mediscoop.net/index.php?pageID=46e65272d2421993bf9010bc93314ea7&site_origine=newsletter_mediscoop&nuid=81b68be3265416a133d916e6b8272a52&midn=4457
« Antidépresseurs : le risque suicidaire diminue chez l’adulte » du publié le 16/02/2012
« La fluoxetine et la venlafaxine diminuent bien le risque de suicide chez l’adulte et notamment chez les plus de 65 ans, selon une étude parue dans les Archives of General Psychiatry. Par ailleurs, aucun lien entre la fluoxetine et le risque d’idées suicidaires n’a été mis en évidence chez les mineurs dans cette étude.
Une équipe américaine a passé au crible 12 études cliniques concernant l’utilisation de fluoxetine par des adultes (n = 2635), 4 pour les séniors (n= 960) et 4 pour les enfants (n= 708) ainsi que 21 essais concernant la prise de venlafaxine par des adultes (n = 2432). Cela a permis de réévaluer l’impact de ces molécules sur le risque d’idées et de comportement suicidaires dans ces différentes classes d’âge et l’effet sur les symptômes dépressifs.
Il s’agissait d’essais contrôlés randomisés. Les résultats montrent une réduction du risque d’idées et de comportement suicidaires chez les adultes, encore plus important chez les plus de 65 ans, associée à une réduction des symptômes dépressifs.
Pour les auteurs, les deux phénomènes sont liés et confirment que la dépression est un facteur de risque majeur de suicide chez l’adulte et encore plus chez la personne âgée. En revanche, chez les enfants et les adolescents, rien ne permet de montrer une baisse ou une augmentation du risque suicidaire sous fluoxetine, même en cas d’amélioration des symptômes dépressifs.
Actuellement, les autorités de santé déconseillent l’usage d’antidépresseurs en dehors de la fluoxetine chez les mineurs en raison de l’augmentation du risque de comportement suicidaire (idées suicidaires, tentatives de suicide) et/ou d’hostilité (agressivité, comportement d’opposition, colère). La prescription de celle-ci doit être réservée à des cas bien définis et s’inscrire dans une prise en charge globale incluant en premier lieu la psychothérapie. Marie Lestelle (Paris) »
Référence :
Robert D. Gibbons, Hendricks Brown et al.
Suicidal Thoughts and Behavior With Antidepressant Treatment
Arch Gen Psychiatry 2012. doi:10.1001
Article en ligne http://archpsyc.ama-assn.org/cgi/content/full/archgenpsychiatry.2011.2048


***

Echelle d'evaluation risque suicidaire Source Info : jim.fr
Une « échelle de Richter » du risque suicidaire Publié le 15/02/2012
"ACTUALITE MEDICALE
En matière de prévention du suicide, une meilleure connaissance des éléments de prédisposition représenterait une avancée appréciable. Les travaux récents mettent ainsi l’accent sur des « facteurs de risque sanitaire » associés, en particulier les addictions à certains produits : alcool, drogues, médicaments détournés de leur usage…
The American Journal of Psychiatry souligne l’intérêt pratique d’une « évaluation objective du risque de suicide » et des « améliorations significatives en matière d’évaluation, de classification et de prévision » offertes (chez l’adulte et l’adolescent) par un nouvel instrument d’évaluation du risque suicidaire, la C-SSRS (Columbia–Suicide Severity Rating Scale, échelle de Columbia sur la gravité du risque de suicide) [1]& [2].
L’utilisation courante de ce questionnaire permettrait d’affiner la connaissance des risques et de gagner en précisions quant au contexte d’une tentative d’autolyse, lequel prête parfois à confusion. Par exemple, il n’est pas toujours aisé d’opérer le distinguo entre une surconsommation délibérée d’un médicament et son surdosage accidentel, et l’on peut alors sous-évaluer la fréquence des comportements suicidaires, en pensant à une « simple overdose » fortuite, lors d’une prise médicamenteuse. Et à l’inverse, on peut surévaluer cette fréquence en évoquant une « tentative de suicide » devant des « automutilations superficielles » ou des pensées macabres, mais « sans réelle intention de se donner le mort. »
L’auteur recommande « aux cliniciens comme aux chercheurs » l’usage de cette nouvelle échelle du risque de suicide. Et souligne que la mauvaise maîtrise éventuelle de l’anglais ne constitue pas un prétexte valable pour ignorer cet outil d’évaluation, car il est « disponible en plus de 100 langues. ».
[1] http://www.cssrs.columbia.edu/C-SSRS%20-%20Hospital%20-%20Screening%20-%20Triage.pdf
[2] http://www.cssrs.columbia.edu/
Dr Alain Cohen
Hughes CW : Objective assessment of suicide risk : significant improvements in assessment, classification, and prediction. Am J Psychiatry, 2011; 168: 1233–1234."
http://www.jim.fr/en_direct/actualites/e-docs/00/01/FB/81/document_actu_med.phtml

mardi 14 février 2012

FILM SUR LE SUICIDE DES PAYSANS FRANCE 2

Un film "vérité" sur le suicide des paysans / Par Christine HINCKEL source  poitou-charentes.france3.fr
Christian Bergeon, le père du réalisateur s'est suicidé en 1999.
"Les fils de la Terre" du réalisateur poitevin Edouard Bergeon sera diffusé le 28 février sur France 2.

"Les fils de la Terre" réalisé par le Poitevin Edouard Bergeon évoque un tabou, celui du suicide dans le monde paysan. Son père, agriculteur à Jazeneuil dans la Vienne a mis fin à ces jours en 1999.

Chaque année, en France, ce sont 6 à 800 agriculteurs qui se donnent la mort, deux suicides par jour dont on parle pas, ou peu.

Pour Edouard Bergeon, ce film est un hommage à son père mais il le définit aussi comme un "documentaire coup de poing" qui veut donnner à voir la vérité du monde agricole. Un monde où l'on est souvent seul dans le travail et dans la vie et soumis à de fortes pressions venues des banques, des instances économiques et même de la famille.

C'est une plongée au coeur de ce monde qu'il connait bien qu'Edouard Bergeon nous propose, lui ,le fils de paysan qui ose et qui sait prendre la parole pour dire ce mal-être.

Retrouvez dans les vidéos la présentation du film et le témoignage du réalisateur.

"Les fils de la Terre" le 28 février 2012 à 22h30 sur France2.
 
"Les fils de la terre", le suicide des paysansVoir cette vidéo
E.Bergeon, réalisateur des "Fils de la Terre"Voir cette vidéo

Toutes les vidéos

REVUE DE PRESSE ; RUSSIE : Un taux de suicide alarmant chez les jeunes

RUSSIE : Un taux de suicide alarmant chez les jeuneswww.courrierinternational.com - du 13/02/2012
par Elena Gaevaïa | Novyé Izvestia
SUR LE WEB :  NOVYÉ IZVESTIAL'article original (en russe) /
Extraits :... "Alla Ivanova, professeur à l'Institut de recherche central d'organisation et d'informatisation de la santé auprès du ministère de la Santé note que si, dans les pays occidentaux développés, moins de 5 % des adolescents souffrent de dépression, ce taux bondit à 20 % en Russie. Environ 45 % des jeunes filles et 27 % des garçons de notre pays auraient des pensées suicidaires.
L'Unicef classe la Russie au troisième rang mondial pour ce qui est du suicide des jeunes. Seuls le Kazakhstan et la Biélorussie nous dépassent. Et de nombreux experts s'accordent à dire que les pires endroits en la matière sont les deux villes russes où le niveau de vie est a priori le meilleur, Moscou et Saint-Pétersbourg.
L'OMS aussi place la Russie en haut de la liste pour le suicide des 15-24 ans, avec une moyenne qui se maintient à 32 pour 100 000 ces dernières années. Par comparaison, ce chiffre est inférieur à 10 pour 100 000 en Suède (18e rang mondial), et en fin de classement on trouve la Grande-Bretagne, l'Espagne, le Portugal, l'Italie et la Grèce, avec 3 suicides pour 100 000 jeunes."...
"REPÈRES Des cas principalement à Moscou
Selon Pavel Astakhov, chargé des droits de l'enfant au sein du gouvernement russe, cité par le quotidien en ligne Gazeta.ru, 4 000 tentatives de suicide ont lieu chaque année en Russie, parmi les jeunes, dont un tiers sont fatales. "Ces adolescents n'ont tout simplement personne à qui demander de l'aide", commente le responsable. Les motifs conduisant au geste désespéré sont la plupart du temps liés à l'univers scolaire et familial ou à un chagrin d'amour."...

lundi 13 février 2012

REVUE DE PRESSE DES JNPS 2012

LA PRESSE EN PARLE.... (la rubrique est en cours n’hésitez pas à revenir ou à nous signaler un article)

- Le suicide, une des portes de sortie à l’impasse identitaire et existentielle des adolescents in Education Santé, n° 275, février 2012
BARBIER C.Le 8 février dernier, l’asbl «Un pass dans l’impasse - Centre de prévention du suicide et d’accompagnement en Région wallonne - Réseau Solidaris», organisait une soirée-débat dans le cadre des 7es Journées francophones de la prévention du suicide. Cette rencontre s’articulait autour du documentaire «La dernière tentation» de Claude Couderc qui a reçu le 1er prix du Jury Santé Mentale au Festival ImagéSanté 2010
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-AUBE "Les Petits frères des pauvres étoffent leur action" - lest-eclair.fr -12 février 2012
Le stand à la maison des Associations, à TroyesGrâce à l'arrivée de nouveaux bénévoles, l'association des Petits frères des pauvres a pu participer à la journée de prévention du suicide, le 7 février, en tenant un stand. Les bénévoles troyens sont actifs depuis le printemps 2011, dans l'Aube.LIRE LA SUITE

- VAUCLUSE "Le Vaucluse est très exposé au phénomène du suicide" - laprovence.com - 12 février 2012
Ruralité, précarité, vieillissement... Le département cumule les handicaps  "Il ne faut pas hésiter à demander à la personne si elle a envie de mourir. Cela ne la poussera jamais à passer à l’acte."Chaque année, on recense environ 800 suicides et 1 500 tentatives en région Paca. Et même si aucune statistique n'existe au niveau départemental, les spécialistes sont d'accord sur un point : le Vaucluse est particulièrement exposé. LIRE LA SUITE

- TROYES - Prévention du suicide : l'importance des bénévoles soulignée - lest-eclair.fr - samedi 11 février 2012
La présentation des statistiques a été émouvante
Troyes- Chaque année dans l'Aube, pour la journée nationale de la prévention du suicide, un collectif d'associations propose au grand public un forum sur le sujet. Ainsi, mardi dernier, des conférences et des débats étaient proposés à la Maison des associations, notamment suivis par les travailleurs sociaux.
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Prévention Le suicide, « pas une fatalité » - estrepublicain.fr - 09.02.12 -
L’Union nationale pour la prévention du suicide (Unps) voudrait faire de la prévention du suicide, première cause de mortalité chez les 25-34 ans, une grande cause nationale.
Un décès sur 50 est un suicide en France et chaque année 10.000 personnes mettent fin volontairement à leur jour tandis que 250.000 autres font une tentative de suicide, selon des chiffres diffusés par l’Unps à l’occasion des Journées nationales de la prévention du suicide. LIRE LA SUITE

- ALSACE - VIDEO à voir "Journée nationale de prévention du suicide" -  www.alsace20.tv - 9 févr. 2012 -
Rencontre avec Isabelle Dennefeld, présidente de SOS Amitié Strasbourg, à l'occasion de la journée national de prévention du suicide. VOIR LA VIDEO

- Le suicide s'invite dans le débat présidentiel - www.wk-rh.fr - 9/02/2012 -
Le président de l’association France Prévention suicide, Michel Debout, parle de « victimes cachées de la crise » : ces « suicidants » qui ont craqué sous le poids des difficultés quotidiennes liées à la rupture professionnelle. LIRE LA SUITE DE L'ARTICLE
 
- EMISSION RADIO Le téléphone sonne par Alain Bedouet du lundi au jeudi de 19h20 à 20h "Voyage au bout de la détresse : Comment prévenir le suicide" - mercredi 8 février 2012
A l'occasion des 16èmes Journées nationales de la prévention du suicide, première cause de mortalité chez les 25-34 ans, seconde cause après les accidents de la route chez les 17-24 ans, drame humain qui provoque plus de 10 500 décès chaque année. - Professeur Michel Debout, Psychiatre et médecin légiste, Président France Prévention/ - Docteur Cécile Omnes, Psychiatre et Secrétaire adjointe du groupement d'étude et de prévention du suicide/ - François Edouard, Président du département Droit de la famille et protection de l'enfance à l'Unaf (Union nationale des Associations familiales) /- Danielle Messager de France Inter ECOUTER L'EMISSION

- LUXEMBOURG - Suicide reste un fait rare chez les plus jeunes" -  lessentiel.lu - mercredi 08 février 2012 -
Les risques de mettre fin à ses jours croissent avec l'âge. Les plus jeunes ont un rôle préventif à jouer.
Le réseau Initiative pour la prévention du suicide axe aujourd'hui une journée de réflexion autour du risque suicidaire chez la personne âgée. Autour de 70suicides sont comptabilisés chaque année au Luxembourg. En détaillant les chiffres, on trouve «une surreprésentation des plus de 65 ans», relève Fränz D'Onghia, docteur en psychologie. LIRE LA SUITE

- LE MANS - Suicide des jeunes homosexuels : une soirée débat au Mans ce mercredi - lemainelibre.fr -  mercredi 08 février 2012 -
Dans le cadre de la semaine de prévention du suicide, Homogène, association Gay, Lesbienne bi et Trans (LGBT) de la Sarthe organise avec l’association famille de France une action de prévention du suicide des adolescents ce mercredi soir. LIRE LA SUITE

- NORD PAS DE CALAIS VIDEO "Beaucoup trop de suicides dans le Nord !" - GrandLilleTV - 8 févr. 2012 par 
Une surmortalité suicidaire frappe actuellement le Nord Pas de Calais. Elle pourrait s'expliquer par le manque de prise en charge psychiatrique et par le contexte socio-économique peu favorable
VOIR LA VIDEO


- TOULOUSE - La prévention du suicide, enjeu majeur des politiques toulousains -  toulouseinfos.fr - Mercredi 08 Février 2012
Le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes. A Toulouse, rien n'est laissé au hasard pour lutter contre cette souffrance. Les acteurs politiques locaux engagent des actions à l'occasion de la 16ème journée pour la prévention du suicide.
La proximité est un enjeu majeur de la prévention du suicide. Pour améliorer le réseau local, les acteurs ont organisé la 16ème journée nationale de lutte contre les tentatives suicidaires. Huit associations, la mairie de Toulouse et le conseil régional se sont réunis pour signer un plan régional.
« Les objectifs pour 5 ans sont la formation, le prévention de la crise suicidaire chez les étudiants et la coordination de l'écoute » décrit Laurence Bertherat, coordinatrice à l'agence régionale de santé. Toulouse est une ville étudiante et les jeunes sont une population à risque suicidaire.
LIRE LA SUITE


- Est-il possible de prévenir le suicide des enfants ? - LEMONDE.FR- 07.02.12
De son portefeuille, Nathalie, 42 ans, tire une petite photo de famille. Trois enfants en maillot de bain y prennent la pose, souriants, sous un parasol coloré. "C'était il y a cinq ans, nos plus belles vacances en famille", se souvient cette parisienne, vendeuse dans un magasin de vêtements. En 2008, l'aîné de ses trois enfants est renversé par une voiture. Malgré une hémorragie interne et un traumatisme crânien, le petit garçon de 10 ans s'en sort "sans séquelle majeure". Quelques semaines après l'accident, il avoue à un médecin avoir "voulu mourir, ce jour là".LIRE LA SUITE


- La hausse des suicides liés à la crise, une réalité ignorée - LEMONDE.FR - 07.02.12
En trois ans, de la fin 2008 à la fin 2011, la crise économique a accru le nombre de chômeurs de 648 500. Elle a eu un autre impact, plus dramatique mais largement passé sous silence. Un surcroît, durant cette même période, d'environ 750 suicides et 10 780 tentatives de suicide. LIRE LA SUITE


- Suicide: "L'aide psychologique est très mal organisée sur Internet" - lexpress.fr - 07/02/2012
" C'est important de montrer à quelqu'un qui va mal - et le dit en ligne - qu'on a été alerté. S'épancher sur son blog ou sur les réseaux sociaux, aller sur les forums lancer des appels au secours à des inconnus... A l'occasion de la dixième journée de prévention du suicide,Yann Leroux, docteur en psychologie, analyse ces cris de détresse virtuels. LIRE LA SUITE

- VIDEO  "Prévenir les suicides liés au travail à l'hôpital Bellevue de St-Etienne" - bfmtv.com - 07/02/2012
A l'occasion de la journée nationale de prévention du suicide, BFTMV a rencontré le Professeur Michel Debout qui a mis en place une consultation unique en France pour mieux prévenir les suicides liés au chômage à l'hôpital Bellevue de Saint-Etienne. VOIR LA VIDEO

- VIDEO "Focus sur le suicide des jeunes" - itele.fr -  7/02/2012
Les chiffres du suicide chez les moins de 15 ans sont préoccupants, c'est la raison pour laquelle l'association Le Phare, épaulée par des psychiatres, s'efforce d'aider enfants mais aussi parents afin de déceler les signes avant-coureurs. VOIR LA VIDEO
- Suicide des enfants: un acte exceptionnel et impulsif  - 20minutes TV - Actualités AFP - 7 fevrier 2012 :  Voir la vidéo

- REPORTAGE TELE "Le suicide, ce fléau" - tele.fr - 7 février
Le 7 février est la journée de prévention du suicide, un fléau qui touche tout un chacun, y compris les plus jeunes. L'association "suicide écoute" reçoit des douzaines de coups de téléphone au quotidien, notamment d'étudiants désemparés. Reportage. VOIR LA VIDEO
* Voir également Focus sur le suicide des jeunes Les chiffres du suicide chez les moins de 15 ans sont préoccupants, c'est la raison pour laquelle l'association Le Phare, épaulée par des psychiatres, s'efforce d'aider enfants mais aussi parents afin de déceler les signes avant-coureurs.VOIR LA VIDEO

- ILE DE LA RÉUNION -  Journée de prévention du suicide: "Pas assez d'espaces de parole à la Réunion" - zinfos974.com - 7 février 2012.
A l'occasion de la journée nationale de prévention du suicide, nous avons interrogé Odayen Danon Lutchmee, directrice de l'association Prévention suicide. Selon elle, les "conduites suicidaires" sont liées à une grosse blessure que l'individu cache ou dont il n'a pas conscience.LIRE LA SUITE

- ILE DE LA RÉUNION -  6ème journées nationales de prévention du suicide... - zinfos974.com - 7/02/2012
Aujourd'hui, le 7 février 2012, est la journée nationale de prévention du suicide. Compte tenu que le suicide est un des problèmes de santé publique en France , l’Union nationale de prévention du suicide (UNPS) a opté pour l’idée des journées nationales afin que les citoyens et acteurs de prévention du suicide échangent et débattent sur cette problématique sociale, sociétale et médicale. Le thème retenu pour cette année est : "Région, territoire et proximité, dans la prévention du suicide, tous citoyens et acteurs".LIRE LA SUITE


- Midi Pyrénées Suicide : une journée pour comprendre - La Dépêche du Midi- 07/02/2012
Dans le cadre de la 16e Journée nationale pour la Prévention du Suicide, le Collectif UNPS Midi Pyrénées (Union Nationale pour la Prévention du Suicide) organise, comme chaque année, un colloque ouvert aux professionnels, aux étudiants, aux bénévoles d'associations et au grand public. LIRE LA SUITE

- Suicide : une journée nationale pour comprendre et prévenir - mcetv.fr-  7 février 2012
Aujourd’hui, c’est la 16e journée nationale pour la prévention de suicide organisée par l’UNPS (Union Nationale pour la Prévention du Suicide) à Toulouse « Régions, territoires et proximité dans la prévention du suicide : tous acteurs et citoyens » Un colloque autour de la question du suicide est organisé à l’hôtel des régions de Toulouse aujourd’hui jusqu’à 17H30 (entrée libre et gratuite) LIRE LA SUITE

- "Une journée pour apprendre à prévenir" - 20minutes.fr - 07/02/2012 
Un décès sur cinquante est un suicide en France. C'est même la deuxième cause de décès chez les 15-24 ans après les accidents de voiture, et la première chez les 25-34 ans. Des chiffres régulièrement brandis par l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), et qui font froid dans le dos. L'UNPS, groupement d'associations, organise chaque année depuis quinze ans une Journée nationale de prévention du suicide.LIRE LA SUITE

- ARRAS "Pour prévenir le suicide, il faudrait plus de moyens" - arras.maville.com - Mardi 07 février 2012
Dans la région, 30 à 50 tentatives de suicide par jour.
Créer une journée nationale de prévention du suicide, c'est bien. En faire une vraie politique dotée de moyens serait beaucoup mieux. LIRE LA SUITE

-Un suicide peut être évité en étant dépisté - metrofrance.com - 06-02-2012
La France est l'un des pays européens avec le plus fort taux de mortalité par suicide. Une partie de ces décès volontaires pourrait être évitée en repérant les signes d'une crise. C'est le coeur du message porté par les associations en ces Journées nationales de prévention du suicide. LIRE LA SUITE

- PACA - Une malette de formation à destination des personnels des collèges et lycées pour lutter contre le suicide des jeunes  - cadureso.com - 06 Février 2012
Le Conseil Régional Provence Alpes Côtes d'Azur de part la voix de sa Vice Présidente Anne Marie Autant, soutient activement la nouvelle réalisation de l'association Christophe la vie avant tout de Rose Marie VILAFRANCA, la malette de formation à destination des personnels des collèges et lycées pour lutter contre le suicide des jeunes.LIRE LA SUITE

- QUETIGNY. Le second forum de santé mentale s’est déroulé à Mendès-France. Débattre autour du suicide - bienpublic.com - 06/02/2012
Le dernier forum de santé mentale avait pour thème le suicide, un sujet malheureusement d’actualité. Près de cent cinquante personnes ont assisté au débat.
Les membres du ¬conseil local de santé mentale Franco Basaglia, qui réunit sept communes de la périphérie dijonnaise, ont organisé le second forum de santé ¬mentale à la salle Mendès-France. Il avait pour thème “Suicide : s’interroger, ¬comprendre, prévenir…”. LIRE LA SUITE

-  INDRE -  "800 tentatives de suicide par an dans le département -  lanouvellerepublique.fr - 06/02/2012
Les chiffres sont alarmants. Face à la recrudescence des suicides, dans le milieu agricole, une soirée a été organisée à La Châtre, pour sensibiliser l’opinion. LIRE LA SUITE

- DRÔME  "En agriculture, le suicide reste silencieux " ledauphine.com - 06/02/2012
Un numéro va être créé auquel les agriculteurs en détresse pourront appeler afin d’être pris en charge dans l’urgence par un psychologue. DR  À l’heure où les sujets les plus sensibles sont abordés indistinctement sur toutes sortes de supports, il en est un qui reste plus délicat tant il touche aux sentiments les plus profonds d’un être : le suicide. Le mot même reste tabou. Surtout dans un milieu aussi silencieux que l’agriculture. LIRE LA SUITE

- FRANCE "Agriculteurs. Une ligne d'écoute pour lutter contre les suicides" - letelegramme.com - 6 février 2012
La Mutualité sociale agricole (MSA) et la chambre d'agriculture s'associent depuis deux ans afin de mettre en place une ligne d'écoute au service des agriculteurs pour enrayer le taux de suicide dans cette profession. Ce dispositif, déjà mis en place dans la Loire, va être transposé dans les départements de la Drôme et de l'Ardèche courant février et pourrait pourquoi pas ouvrir la voix à une initiative similaire en Bretagne.
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 - NICE "Suicide: briser le tabou, d’urgence! - nicematin.com- lundi 06 février
Chaque mois, plus de 150 personnes sont admises au centre d'accueil psychiatrique de Saint-Roch, à la suite d'une tentative de suicide.A l’occasion de la journée nationale de prévention du suicide, demain, associations et médecins niçois disent l’urgence d’informer le grand public. Ecouter, parler et alerter avant qu’il ne soit trop tard... LIRE LA SUITE

- "Journées nationales : la prévention du suicide est l'affaire de tous" - terrafemina.com -5/02/12
Les 16es Journées nationales de prévention du suicide débutent le 5 février. Objectif : sensibiliser l'opinion et les pouvoirs publics sur la prévention du suicide.LIRE LA SUITE

- "Chaque heure en France, un suicide" Le Journal du Dimanche JDD - dimanche 05 février 2012
Trois fois plus de morts par suicide que sur la route, aucun observatoire indépendant, des budgets microscopiques... Les associations réclament un plan d’urgence. LIRE LA SUITE

- " Protéger l’enfance du suicide" - Midi Libre -  04/02/2012
L'autolyse constitue la deuxième cause de mortalité chez les moins de 24 ans. Vers des actions de prévention. Une poignée de cas, ces dernières années, mais plusieurs faits divers douloureux en quelques semaines. Le suicide (ou autolyse) chez l'enfant, s’il reste un acte exceptionnel, questionne l'ensemble de la société et appelle des actions spécifiques. Jeu du foulard qui tourne mal ou geste impulsif témoignant d'une détresse profonde ? Il est souvent difficile de clarifier la mort d'un enfant, qui ne laisse aucune explication derrière lui, souligne l'épidémiologiste Françoise Facy. LIRE LA SUITE

- LILLE "Journée de prévention du suicide à Lille : 3 000 « suicidants » soignés au CHR en 2011 - La Voix du Nord - samedi 04.02.2012
Le professeur Guillaume Vaiva, responsable du service de psychiatrie au CHR de Lille ... et vice-président du Groupement d'études et de prévention du suicide, souhaite intensifier le suivi de ceux qu'on appelle les suicidants, c'est-à-dire les personnes ayant intenté à leurs jours : 3 000 ont été soignés au CHR en 2011. Guillaume Vaiva participait, hier à Lille, à la cinquième Journée régionale de prévention du suicide LIRE LA SUITE

- TROYES "Suicides : trois fois plus de tentatives chez les femmes"  - lest-eclair.fr  - samedi 04 février 2012
La journée de réflexion se tiendra à la Maison des associations Mardi 7 février se tiendront les 16es journées nationales de la Prévention du suicide. À Troyes, un groupement d'associations (1) locales organise une manifestation qui aura pour thème « Tous citoyens et acteurs : régions, territoires et proximités dans la prévention du suicide ».LIRE LA SUITE

- "Suicide d'enfant: un acte exceptionnel qui appelle une prévention spécifique - tempsreel.nouvelobs.com - 03-02-2012
Une poignée de cas ces dernières années mais plusieurs faits divers douloureux en quelques semaines: le suicide chez l'enfant reste un acte exceptionnel mais questionne l'ensemble de la société et appelle des actions spécifiques, selon experts et associations. Jeu du foulard qui tourne mal ou geste impulsif témoignant d'une détresse profonde? Il est souvent difficile de clarifier la mort d'un jeune enfant qui ne laisse aucune explication derrière lui, souligne l'épidémiologiste Françoise Facy. Les hésitations, cette semaine, à qualifier la mort par pendaison d'un garçon de huit ans à Saint-Ouen, près de Paris, témoignent de cette difficulté. Le suicide d'abord évoqué a semblé ensuite écarté. En janvier, c'était un enfant de 11 ans qui mettait fin à ses jours dans le Calvados après "une histoire semble-t-il de mauvaise note". Pour Thérèse Hannier, présidente de l'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS), les actes suicidaires concernent des enfants de plus en plus jeunes. LIRE LA SUITE

- PARIS - Suicide d'enfant: un acte exceptionnel qui appelle une prévention spécifique  - 20minutes.fr - 03/02/2012
PARIS - Une poignée de cas ces dernières années mais plusieurs faits divers douloureux en quelques semaines: le suicide chez l'enfant reste un acte exceptionnel mais questionne l'ensemble de la société et appelle des actions spécifiques, selon experts et associations. LIRE LA SUITE

- "MARSEILLE - Prévenir le suicide chez les jeunes" -20minutes.fr - 03.02.12
Multiplier les actions de prévention face au suicide des jeunes. A la prochaine rentrée scolaire, 300 000 jeunes des établissements scolaires de la région devraient bénéficier de cette initiative. « Le dispositif est voué à évoluer dans le temps selon la réaction des jeunes sur ce sujet encore tabou », estime Anne-Marie Hautant, vice-présidente de la région déléguée à la santé et à l'alimentation. Sept courts-métrages sur des témoignages d'adolescents, de parents endeuillés ou de spécialistes sont notamment prévus. Dans la région, 2 600 tentatives de suicide chez les 15-24 ans sont recensées chaque année. Dans la même tranche d'âge, 48 jeunes se suicident chaque année. En France, le suicide est la deuxième cause de mortalité chez les jeunes de 15 à 24 ans, après les accidents de la route.Lire l'article sur le site

- BELGIQUE  " Quelque 700 suicides par an en Wallonie, un taux plus élevé qu'en Flandre ou aux Pays Bas - levif.be - vendredi 03 février 2012
(Belga) Ces jours-ci, auront lieu les journées francophones de prévention du suicide. La ministre wallonne de la Santé, Eliane Tillieux, a dressé vendredi l'état des lieux des services qui s'occupent de ce problème en Wallonie et rappelé quelques chiffres. LIRE LA SUITE

- GRANVILLE « Il existe des aides pour prévenir le suicide » - Ouest-France.fr
"Avec plus de 10 000 décès par an, il demeure l'une des premières causes de mortalité en France.Le forum des Rendez-vous solidaires a misé sur la prévention et le dialogue, mardi.
Briser l'isolement et retendre le lien social. C'étaient les objectifs du forum, initié par le conseil général et le tissu associatif du Sud-Manche, qui a réuni une quinzaine d'associations et près de 150 visiteurs, mardi à la salle de Hérel. L'occasion de dresser un bilan du suicide en France et d'apporter des solutions.... LIRE LA SUITE


- "Prévenir le suicide, c’est l’affaire de tous" - doctissimo.fr - jeudi 02 février 2012
Durant le mois de février se déroulent dans toute la France les 16èmes Journées nationales de prévention du suicide. Organisées par l'Union nationale de prévention du suicide (UNPS), qui regroupe diverses associations, ces journées ont pour thème "Tous acteurs et citoyens – régions, territoires et proximité dans la prévention du suicide". Parce que la prévention du suicide, c’est l’affaire de tous. LIRE LA SUITE


- "Des associations veulent faire du suicide une grande cause nationale" Par AFP - www.notretemps.com - 02/02/12
L'Union nationale pour la prévention du suicide (UNPS) voudrait faire de la prévention du suicide -première cause de mortalité chez les 25-34 ans-- une grande cause nationale pour mieux mobiliser en France sur ce thème. "La prévention du suicide doit être une priorité et j'espère que le suicide deviendra une grande cause nationale" a souligné jeudi Thérèse Hannier, présidente de l'UNPS, groupement de 35 associations contre le suicide.LIRE LA SUITE

- " Le suicide" PROCHAINEMENT à Écouter le mardi 7 février 2012 sur rfi.fr " Dans le cadre des journées nationales de prévention du suicide, nous parlerons de ce problème de santé publique à l’origine de près de la moitié de toutes les morts violentes. Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), 3000 personnes se suicident en moyenne chaque jour. Pourtant, la majorité peut être évitée grâce à des stratégies et des interventions efficaces.
Pour en parler :  - Pr Michel Botbol, Professeur de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent à l'Université de Brest. Chef du service de psychiatrie infanto-juvénile au CHRU de Brest et Secrétaire général de l’Association Françaises de Psychiatrie. - Pr Baba Koumaré, Chef du service de psychiatrie de l’hôpital du Point G à Bamako au Mali.
http://www.rfi.fr/emission/20120207-1-le-suicide


- Suicides et tentatives de suicide dans les Pays de la Loire  l'ORS PAYS DE LA LOIRE -  02/02/2012
A l'occasion des Journées nationales de prévention du suicide 2012, l'ORS publie un bilan des données les plus récentes sur le suicide dans les Pays de la Loire.
Ce bilan présente, pour la région et pour chacun des cinq départements, une analyse de la mortalité. Le document régional est complété d'une description des hospitalisations liées à une tentative de suicide.
Accéder aux bilans 


- Communiqués " Journée nationale de prévention contre le suicide du 2 février" de www.mag-paris.fr - 2 fevrier 2012
Actuellement, en France, un jeune homosexuel tente de suicider treize fois plus qu’un hétérosexuel.
A l'occasion de la Journée nationale contre le suicide, le MAG tient à attirer l'attention des jeunes homosexuels sur un thème bien souvent tabou : le suicide. LIRE LA SUITE


-SOCIAL "Le suicide, oser en parler" www.paysantarnais.com -  02 février 2012 
"Jeudi 9 février, à 20 h, dans le cadre de la JNPS (Journée nationale de prévention du suicide), une soirée débat est organisée aux Greniers Saint-Jean à Angers.... LIRE LA SUITE 

POUR LE DOSSIER DE PRESSE VOIR LA PAGE DES JNPS DU SITE INFOSUICIDE.ORG