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vendredi 13 octobre 2023

SANTE PUBLIQUE FRANCE Santé mentale des jeunes : des conseils pour prendre soin de sa santé mentale

Santé mentale des jeunes : des conseils pour prendre soin de sa santé mentale

En 2023, la santé mentale des jeunes reste dégradée. A la veille de la Journée mondiale de la santé mentale du 10 octobre, Santé publique France souhaite sensibiliser les jeunes de 11 à 24 ans aux comportements bénéfiques à leur bien-être psychique et à leur santé mentale. Cinq vidéos « Le Fil Good » diffusées sur les réseaux sociaux jusqu’en décembre décrypteront ces comportements qui permettent de prendre soin de sa santé mentale. Par ailleurs, Santé publique France publie un « Point Sur » au sujet des représentations de la santé mentale chez les Français et notamment les 18-24 ans, données issues de l’enquête CoviPrev.
Publié le 9 octobre 2023  https://www.santepubliquefrance.fr*

La santé mentale des 11-24 ans est toujours dégradée en 2023

L’analyse des données de surveillance (urgences hospitalières du réseau OSCOUR® et associations SOS Médecins) et des données d’enquêtes (Baromètre de Santé publique France, Enquête sur la santé et les consommations lors de la Journée d’appel et de préparation à la défense ESCAPAD) montre que la santé mentale des Français est toujours dégradée en 2023, une tendance constante depuis septembre 2020. Cette dégradation concerne plus particulièrement les adolescents (11-17 ans) et les jeunes adultes (18-24 ans) :Les recours aux soins d’urgence pour troubles de l’humeur, idées et gestes suicidaires ont fortement augmenté en 2021 puis 2022, pour rester depuis à un niveau élevé. Chez les jeunes de 18-24 ans, la hausse s’est même poursuivie de façon marquée en 2023.
Aussi, les 18-24 ans étaient 20,8 % à être concernés par la dépression en 2021, contre 11,7 % en 20171.
Enfin, parmi les jeunes de 17 ans, 9,5 % étaient concernés par des symptômes anxio-dépressifs sévères en 2022 contre 4,5 % en 2017 et 18 % ont eu des pensées suicidaires dans l’année contre 11 % en 20172.

En septembre 20233, les passages aux urgences pour geste et idées suicidaires, troubles de l’humeur (épisodes dépressifs notamment) et troubles anxieux, ainsi que les actes médicaux SOS Médecins pour angoisse ont augmenté chez les enfants de moins de 18 ans et en particulier les 11-17 ans, comme habituellement en période de rentrée scolaire. Dans ces tranches d’âges, les niveaux observés restaient élevés mais comparables à ceux des années 2021 et 2022, à l’exception des passages pour idées suicidaires chez les 11-17 ans (niveaux supérieurs aux années précédentes).

De façon plus spécifique chez les 18-24 ans, ces indicateurs ont poursuivi leur hausse en 2023. L’augmentation enregistrée chez les enfants à la rentrée scolaire a également été observée chez les jeunes adultes, mais les niveaux des passages aux urgences pour idées suicidaires, comme ceux des actes médicaux SOS Médecins pour angoisse étaient nettement supérieurs à ceux des années précédentes, ainsi que les passages pour geste suicidaire et troubles de l’humeur et les actes SOS Médecins pour états dépressifs dans une moindre mesure.Pour en savoir plus : Santé mentale. Point mensuel, 2 octobre 2023.
Plus d’un tiers des 18-24 ans estime ne pas prendre soin de sa santé mentale

Mise en place depuis 2020 et menées régulièrement, les vagues d’enquête Coviprev4 permettent de suivre l’évolution de la santé mentale de la population ainsi que les comportements adoptés pour la préserver. Les résultats des vagues 34 et 35 (mai 2022, septembre 2022) concernant les représentations sur la santé mentale et les troubles psychiques montrent que dans l’ensemble, plus de 7 personnes sur 10 déclarent prendre soin de leur santé mentale.

Pour autant, les jeunes de 18-24 ans se préoccupent en moyenne moins de leur santé mentale ou de leur bien-être (comme de leur santé en général) que leurs aînés. Ils sont moins nombreux à penser pouvoir agir sur celle-ci, moins enclins à en parler avec leur médecin, et croient moins fréquemment en l’existence de solutions efficaces pour soigner l’anxiété ou la dépression. En 2022, 35% des 18-24 ans avaient l’impression de ne pas prendre soin de leur santé mentale ou de leur bien-être. Parmi ces jeunes, 32% déclaraient ne pas savoir comment faire, 29% indiquaient ne pas avoir le temps et 25% ne s’en sentaient pas capable.
Les données recueillies depuis 2020 témoignent d’une dégradation de la santé mentale chez les adolescents et jeunes adultes et d’une perception encore taboue de ces problématiques. Ces résultats avaient conduit Santé publique France à renforcer la surveillance et la mise en œuvre d’actions ciblées pour libérer la parole autour du mal-être. Aujourd’hui, nous abordons un nouvel axe qui consiste à sensibiliser les jeunes sur les activités et les comportements bénéfiques à leur santé mentale. Promouvoir la santé mentale, prévenir l’apparition de troubles psychiques et lutter contre la stigmatisation sont des enjeux de santé publique sur lesquels nous nous engageons pleinement pour accompagner les adultes de demain.Dr Caroline Semaille, Directrice générale de Santé publique France

Chez les 18-24 ans, les principaux freins à la consultation d’un « psy » sont le prix de la consultation, la difficulté à se confier ou la crainte de ce qu’ils pourraient découvrir sur eux, et la peur que l’entourage l’apprenne5.

De manière générale, les jeunes sont un peu moins nombreux que leurs aînés à reconnaître l’impact positif des différentes activités de la vie quotidienne (vie sociale, activité physique, loisirs, etc.) ou comportements de santé (sommeil, alimentation) sur la santé mentale.
A télécharger

Représentations sur la santé mentale et les troubles psychiques - Résultats des vagues 24 à 35 de l’enquête CoviPrevEn savoir plus

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux pour inciter les jeunes à prendre soin de leur santé mentale

Après avoir incité les jeunes en situation de mal-être à en parler avec la campagne « #JenParleà » lancée en 2021 et rediffusée en 2022, Santé publique France les conseille pour agir positivement sur leur santé mentale. Au travers de courtes vidéos pédagogiques et ludiques, cinq comportements favorables à la santé mentale sont expliqués :Pratiquer de l’activité physique ;
Dormir suffisamment et avec des horaires réguliers ;
Prendre du temps pour des loisirs et/ou un hobby ;
Aider les autres ;
Pratiquer la gratitude.

À la fin de chaque vidéo, il est rappelé qu’en cas de mal-être, il faut en parler, à une personne de confiance ou à un écoutant du dispositif Fil Santé Jeunes.

Un dispositif d’aide à distance dédié aux jeunes
Fil Santé Jeunes est un service anonyme et gratuit à destination des jeunes de 12 à 25 ans qui propose une ligne d’écoute 0 800 235 236, accessible 7 jours sur 7 de 9h à 23h, et un site internet mettant à disposition de l’information, un forum, un tchat, et une orientation vers des structures d’aide (lieux d’accueil et d’écoute, maisons des adolescents, structures associatives, professionnels et structures de soins). Ces services sont dispensés par des professionnels (médecins, psychologues, éducateurs et conseillers).


Le dispositif, baptisé « Le Fil Good », est lancé d’aujourd’hui et diffusé progressivement jusqu’à la fin de l’année. Les 5 vidéos du dispositif, dont la première vise plus particulièrement les 11-17 ans, ont été conçues avec le média Explore, média « d’edutainement », qui mêle pédagogie et divertissement. Elles seront diffusées exclusivement sur les réseaux sociaux : TikTok, Snapchat, YouTube, Facebook et Instagram.

1- Baromètre santé, 2017 et 2021
2- Enquête Escapad, 2017 et 2022, OFDT.
3- Semaine 36 à 39 (du lundi 4 septembre au dimanche 1er octobre)
4- Pour chaque vague d’enquête, un échantillon représentatif de 2 000 personnes âgées de 18 ans et plus résidant en France métropolitaine est interrogé par Internet.
5- Coviprev, vagues 26 et 27 ; juillet 2021 - septembre 2021
a lire aussi
Communiqué de presseTélécharger(pdf - 233.46 Ko)

 

Contacts presse

Santé publique France
presse@santepubliquefrance.fr
Marie Delibéros : 01 41 79 69 61
Stéphanie Champion : 01 41 79 67 48
Cynthia Bessarion : 01 71 80 15 66
Charlène Charbuy : 01 41 79 68 64

 https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2023/sante-mentale-des-jeunes-des-conseils-pour-prendre-soin-de-sa-sante-mentale

 

Publié par infosuicide à 13:25
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Libellés : EPIDEMIOLOGIE, IDEES SUICIDAIRES

vendredi 15 juillet 2022

ETUDE RECHERCHE USA Etude sur le lien entre les idées suicidaires et les tentatives de suicide

De nombreux suicidants n'ont pas de pensées suicidaires actives

D’après article "Many Suicide Attempters Have No Active Suicidal Thoughts Suicide attempts are not always preceded by worsening suicidal ideation."Posted July 14, 2022 | Reviewed by Gary Drevitch https://www.psychologytoday.com*

Les tentatives de suicide ne sont pas toujours précédées d'une aggravation des idées suicidaires.

Points essentiels

    Il est communément admis que les idées suicidaires s'intensifient progressivement avant que ne survienne une tentative de suicide ou un décès par suicide.
    De nouvelles recherches montrent que certaines voies menant au suicide n'impliquent pas une aggravation des idées suicidaires ou des pensées suicidaires actives.

Chaque année, près de 800 000 personnes meurent par suicide. Bien que le suicide soit plus répandu dans certains pays (par exemple, en Guyane), parmi certains groupes (par exemple, les hommes caucasiens d'âge moyen aux États-Unis) et à certains moments - au printemps et en été, au cours de la première semaine du mois, plus tôt dans la semaine et pendant l'après-midi - il peut se produire à tout moment et en tout lieu.

Plusieurs facteurs de risque de suicide ont été identifiés. Il s'agit notamment du sexe masculin, de l'origine ethnique caucasienne, de la maladie mentale (en particulier la dépression), des symptômes psychiatriques (désespoir, impulsivité), de l'abus physique ou sexuel, de la solitude, des conflits relationnels, des difficultés financières, de l'accès aux armes et des antécédents personnels de tentative de suicide.

Un autre facteur de risque est l'idéation suicidaire (c'est-à-dire le fait de penser à mettre fin à sa vie). Cependant, une étude récente de Wastler et de ses collègues suggère que si "certaines personnes qui font une tentative de suicide ont des pensées suicidaires qui s'aggravent progressivement", d'autres n'ont que des idées passives et d'autres encore n'ont aucune pensée suicidaire. L'article, publié dans le numéro de juin du Journal of Clinical Psychology, est présenté ci-dessous. (Note : L'idéation passive fait référence à des pensées telles que "J'aimerais pouvoir disparaître". Un exemple d'idéation active est "Je devrais me tuer".
Enquête sur le lien entre les idées suicidaires et les tentatives de suicide

Échantillon : 6 200 adultes américains ; 51,0% de femmes ; 62% de Caucasiens ; 41% entre 25 et 44 ans ; 45% avec une formation universitaire.

Mesures

Le Self-Injurious Thoughts and Behaviors Interview-Revised (SITBI-R) a été utilisé pour évaluer les idées suicidaires passives et actives. Plus précisément, on a demandé aux participants s'ils avaient déjà eu l'une de ces pensées auparavant :

  •         J'aimerais pouvoir disparaître ou ne pas exister.
  •         J'aimerais pouvoir m'endormir et ne jamais me réveiller.
  •         Ma vie ne vaut pas la peine d'être vécue.
  •         J'aimerais ne jamais être né.
  •         J'aimerais être mort.
  •         Peut-être que je devrais me tuer.
  •         Je devrais me tuer.
  •         Je vais me tuer.


Pour évaluer le comportement suicidaire, on a demandé aux participants s'ils avaient fait l'une des choses suivantes :

  •         Se blesser volontairement sans vouloir mourir.
  •         Tu as été très proche de te tuer, mais à la dernière minute tu as décidé de ne pas le faire avant de passer à l'acte.
  •         Tu as été très près de te tuer, mais à la dernière minute, quelqu'un ou quelque chose d'autre t'en a empêché avant que tu ne passes à l'acte.
  •         Tu as commencé à te suicider, puis tu t'es arrêté après avoir déjà agi.
  •         Tu as commencé à te suicider et tu as décidé de demander de l'aide alors que tu avais déjà agi.
  •         Tu as essayé de te suicider et quelqu'un t'a trouvé par la suite.
  •         Vous avez tenté de vous suicider et personne ne vous a trouvé par la suite.


Échelle des affects positifs et négatifs (PANAS). Les participants ont répondu dans quelle mesure ils avaient éprouvé, au cours de la semaine précédente, des sentiments positifs (actif, alerte, attentif, déterminé, inspiré) et des sentiments négatifs (peur, honte, hostilité, nervosité, contrariété).

Résultats

Voici quelques conclusions clés :

    "La seule présence d'une idéation suicidaire passive était associée à des taux accrus de tentatives de suicide au cours de la vie et au cours du mois précédent."
    "Un tiers des individus ayant fait une tentative de suicide au cours de leur vie ont nié avoir déjà eu des pensées suicidaires actives au cours de leur vie et un sur 10 a nié avoir déjà eu des pensées liées au suicide."
    "La moitié des individus ayant fait une tentative de suicide récente ont nié avoir eu des pensées suicidaires actives au cours du mois de leur tentative de suicide. Une personne sur cinq a nié avoir eu des pensées liées au suicide au cours du mois de leur tentative de suicide."
 

Ce que ces résultats indiquent, c'est que la progression des pensées suicidaires vers les comportements suicidaires n'implique pas toujours le cheminement du modèle du continuum où les pensées passives de mort s'intensifient et aboutissent à des pensées plus actives, à la planification, à la tentative et finalement à la mort.

Ainsi, certaines personnes semblent " sauter " des étapes du modèle du continuum (par exemple, aucune idéation passive ou active avant la tentative de suicide).

Il est communément admis que le risque de suicide se produit sur un continuum, ce qui signifie que les pensées de mort s'intensifient progressivement avant que ne survienne une tentative de suicide ou un décès par suicide. Mais est-ce vrai pour tout le monde ? Non, selon les résultats de l'étude actuelle.

Par exemple, l'analyse des données a montré qu'une personne sur dix ayant fait une tentative de suicide au cours de sa vie n'a jamais eu d'idées suicidaires - et plus d'un cinquième des personnes ayant fait une tentative de suicide au cours du mois précédent n'avaient pas du tout eu d'idées suicidaires pendant cette période.

Il semble donc qu'un comportement suicidaire puisse survenir sans idéation suicidaire. Comment cela se fait-il ?

Peut-être, suggèrent les auteurs, que la planification d'un suicide dans le passé est "stockée sur une "étagère mentale", à laquelle il est facile d'accéder et de passer à l'acte sans avoir de pensées suicidaires actuelles".

D'autres possibilités incluent des comportements suicidaires non planifiés ou impulsifs. Ou encore des tentatives de suicide qui surviennent après des pensées négatives et angoissantes (par exemple, se sentir indigne d'être aimé, se sentir incapable de tolérer une situation), plutôt qu'après des idées suicidaires.

Les résultats de cette étude montrent qu'il est nécessaire de poser des questions sur les idées suicidaires passives et actives lors de l'évaluation du risque de suicide, mais aussi de se rappeler que certaines personnes qui font des tentatives de suicide peuvent n'avoir connu ni l'une ni l'autre.

À propos de l'auteur

Arash Emamzadeh a fréquenté l'Université de Colombie-Britannique au Canada, où il a étudié la génétique et la psychologie. Il a également effectué des études supérieures en psychologie clinique et en neuropsychologie aux États-Unis.

https://www.psychologytoday.com/us/blog/finding-new-home/202207/many-suicide-attempters-have-no-active-suicidal-thoughts

Publié par infosuicide à 15:11
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, USA

vendredi 8 juillet 2022

Enquête sur la santé psychique et les idées suicidaires en Europe apres la crise liée à la Covid-19, Ifop pour La Fondation Jean Jaurès et la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS)

Covid-19 : alerte sur la santé psychique des Français et des Européens
Société  07/07/2022

Michel Debout
À l’occasion de la parution d’une enquête de la Fondation Jean-Jaurès et de la Fondation européenne d’études progressistes (FEPS) et réalisée par l’Ifop, appréhendant le phénomène suicidaire dans six pays (France, Allemagne, Espagne, Pologne, Irlande, Suède), Michel Debout, professeur émérite de médecine légale, psychiatre, spécialiste du suicide et administrateur de la Fondation, en analyse les résultats.

Les résultats complets de l’enquête

Lire la suite https://www.jean-jaures.org/publication/covid-19-alerte-sur-la-sante-psychique-des-francais-et-des-europeens/
Publié par infosuicide à 12:31
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, SONDAGES

jeudi 3 février 2022

RECHERCHE ETUDE Ketamine for the acute treatment of severe suicidal ideation: double blind, randomised placebo controlled trial


Research
Ketamine for the acute treatment of severe suicidal ideation: double blind, randomised placebo controlled trial BMJ 2022; 376 doi: https://doi.org/10.1136/bmj-2021-067194
(Published 02 February 2022) Cite this as: BMJ 2022;376:e067194

Linked Editorial

Ketamine for suicidal ideation

Mocrane Abbar, chief of clinical department 1, Christophe Demattei, statistician 2, Wissam El-Hage, chief of clinical department 3,  Pierre-Michel Llorca, chief of clinical department 4, Ludovic Samalin, assistant professor of psychiatry 4,  Pierre Demaricourt, chief of clinical department 5, Raphael Gaillard, chief of clinical department 5,  Philippe Courtet, chief of clinical department 6 7, Guillaume Vaiva, professor of psychiatry 8 9,  Philip Gorwood, chief of clinical department 5, Pascale Fabbro, methodologist 2, Fabrice Jollant, professor of psychiatry 1 5 10 11 12

Author affiliations

1
Department of Psychiatry, Academic Hospital (CHU) Nîmes, University of Montpellier, Nîmes, France
2
Department of Biostatistics, Epidemiology, Public Health and Innovation in Methodology, CHU Nîmes, University of Montpellier, Nîmes, France
3
CHRU Tours, Research Unit (UMR) 1253, iBrain, University of Tours, National Institute for Health and Medical Research (INSERM), Tours, France
4
Department of Psychiatry, CHU Clermont-Ferrand, University of Clermont Auvergne, UMR 6602, Institute Pascal, Clermont-Ferrand, France
5
School of Medicine, University of Paris and Sainte-Anne Hospital, Paris, France
6
INSERM, Centre for Epidemiological and Clinical Research in Psychiatry (PSNREC), University of Montpellier, CHU Montpellier, Montpellier, France
7
Department of Emergency Psychiatry and Acute Care, Lapeyronie Hospital, CHU Montpellier, Montpellier, France
8
Department of Psychiatry, CHU Lille, Lille, France
9
University of Lille, INSERM U1172 - LilNCog - Lille Neuroscience and Cognition, Lille, France
10
Department of Psychiatry, McGill University, McGill Group for Suicide Studies, Montreal, QC, Canada
11
Moods Team, INSERM, UMR-1178, Epidemiology and Population Health Research Centre (CESP), Le Kremlin-Bicêtre, France
12
Department of Psychiatry and Psychotherapy, University Hospital Jena, Jena, Germany
Correspondence to: F Jollant jollantf@gmail.com
Accepted 3 December 2021
Abstract

Objective To confirm the rapid onset anti-suicidal benefits of ketamine in the short term and at six weeks, overall and according to diagnostic group.

Design Prospective, double blind, superiority, randomised placebo controlled trial.

Setting Seven French teaching hospitals between 13 April 2015 and 12 March 2019.

Eligibility criteria for participants Aged 18 or older with current suicidal ideation, admitted to hospital voluntarily. Exclusion criteria included a history of schizophrenia or other psychotic disorders, substance dependence, and contraindications for ketamine.

Participants 156 participants were recruited and randomised to placebo (n=83) or ketamine (n=73), stratified by centre and diagnosis: bipolar, depressive, or other disorders.

Intervention Two 40 minute intravenous infusions of ketamine (0.5 mg/kg) or placebo (saline) were administered at baseline and 24 hours, in addition to usual treatment.

Main outcome measures The primary outcome was the rate of patients in full suicidal remission at day 3, according to the scale for suicidal ideation total score ≤3. Analyses were conducted on an intention-to-treat basis.

Results More participants receiving ketamine reached full remission of suicidal ideas at day 3 than those receiving placebo: 46 (63.0%) of 83 participants in the ketamine arm and 25 (31.6%) of 73 in the placebo arm (odds ratio 3.7 (95% confidence interval 1.9 to 7.3), P<0.001). This effect differed according to the diagnosis (treatment: P<0.001; interaction: P=0.02): bipolar (odds ratio 14.1 (95% confidence interval 3.0 to 92.2), P<0.001), depressive (1.3 (0.3 to 5.2), P=0.6), or other disorders (3.7 (0.9 to 17.3, P=0.07)). Side effects were limited. No manic or psychotic symptom was seen. Moreover, a mediating effect of mental pain was found. At week 6, remission in the ketamine arm remained high, although non-significantly versus placebo (69.5% v 56.3%; odds ratio 0.8 (95% confidence interval 0.3 to 2.5), P=0.7).

Conclusions The findings indicate that ketamine is rapid, safe in the short term, and has persistent benefits for acute care in suicidal patients. Comorbid mental disorders appear to be important moderators. An analgesic effect on mental pain might explain the anti-suicidal effects of ketamine.

Trial registration ClinicalTrials.gov NCT02299440.

Acces article :  https://www.bmj.com/content/376/bmj-2021-067194.full


Publié par infosuicide à 18:13
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, TRAITEMENT MEDICAMENTEUX

mardi 24 août 2021

CoviPrev : une enquête pour suivre l’évolution des comportements et de la santé mentale pendant l'épidémie de COVID-19

Depuis le 23 mars 2020, Santé publique France a lancé l'enquête CoviPrev en population générale afin de suivre l’évolution des comportements (gestes barrières, confinement, consommation d’alcool et de tabac, alimentation et activité physique) et de la santé mentale (bien-être, troubles).

En savoir plus sur l'enquête https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/coviprev-une-enquete-pour-suivre-l-evolution-des-comportements-et-de-la-sante-mentale-pendant-l-epidemie-de-covid-19

Mis à jour le 19 aout 2021

 Résultats

Les résultats de l'enquête CoviPrev couvrent les thématiques suivantes : santé mentale, adoption des mesures de prévention, adhésion vaccinale, addictions, alimentation et activité sportive.

Santé mentale

Synthèse des nouveaux résultats

Les résultats présentés concernent la vague 26 (15-21 juillet 2021) et sont mis en perspective des résultats des autres vagues d'enquête.

  • 80 % des Français déclarent avoir une perception positive de leur qualité de vie en général [Niveau bas, - 4 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable par rapport à la vague précédente]
  • 13 % des Français montrent des signes d’un état dépressif [Niveau élevé, + 3 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance à la baisse par rapport à fin avril]
  • 19 % des Français montrent des signes d’un état anxieux [Niveau élevé, + 6 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable par rapport à la vague précédente]
  • 59 % des Français déclarent des problèmes de sommeil au cours des 8 derniers jours [Niveau élevé, + 10 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance à la baisse par rapport à la vague précédente]
  • 9 % des Français ont eu des pensées suicidaires au cours de l’année [Niveau élevé, + 4 points par rapport au niveau hors épidémie, tendance stable par rapport à la vague précédente]

A télécharger : Comment évolue la santé mentale des Français pendant l’épidémie de COVID-19 – Résultats de la vague 26 de l’enquête CoviPrev 

Conclusion  : ce qu'il faut retenir

  • Pour la première fois depuis plus d’un an, une diminution significative des problèmes de sommeil a été observée par rapport à la vague précédente. La prochaine vague de Coviprev (31 août-7septembre) montrera si cette tendance est durable ou si elle est plutôt liée aux vacances. Les états dépressifs sont quant à eux globalement orientés à la baisse depuis fin avril. La santé mentale des personnes interrogées reste cependant dégradée. Les profils de la population les plus en difficultés sont notamment les inactifs, les personnes déclarant des antécédents de trouble psychologique, une situation financière difficile, ayant ou ayant eu des symptômes de la COVID-19.
  • La situation épidémique et les mesures prises pour la contrôler ont affecté de façon importante la santé mentale de la population, en particulier en termes de symptomatologie anxio-dépressive. Rappelons qu’en présence de signes de dépression (tristesse, perte d’intérêt, d’énergie) ou d’anxiété (tension, irritabilité), il est important de s’informer et d’en parler afin d’être conseillé sur les aides et les solutions disponibles. Il ne faut pas hésiter à prendre conseil auprès de son médecin ou à appeler le 0 800 130 00pour demander à être orienté vers une écoute ou un soutien psychologique.

Résultats détaillés : https://www.santepubliquefrance.fr/etudes-et-enquetes/coviprev-une-enquete-pour-suivre-l-evolution-des-comportements-et-de-la-sante-mentale-pendant-l-epidemie-de-covid-19 

 

 

Publié par infosuicide à 11:58
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES

mardi 4 août 2020

ETUDE RECHERCHE Croyances anticipatoires, axées sur le soulagement et permissives chez les patients ayant des comportements suicidaires: une étude cas-témoin exploratoire

Article
Anticipatory, Relief-Oriented and Permissive Beliefs in Patients with Suicidal Behaviors: An Exploratory Case-Control Study
Del-Monte, Jonathan ; Graziani, Perluigi

Jonathan Del-Monte and Perluigi Graziani Université de Nîmes, Nîmes; Laboratoire de Psychologie Sociale Aix-Marseille Université, France.

Correspondence concerning this author should be addressed to Del Monte Jonathan Laboratoire de Psychologie Sociale, University of Nîmes, Rue du Dr Georges Salan, Nîmes 30000, France. Email: jonathan.del-monte@unimes.fr



Archives of Suicide Research, , Vol.ahead-of-print (ahead-of-print), p.1-12
Sujet Decision-making  suicidal ideation  Suicidal ambivalence  suicide crisis
Description
Objective: The objective is to propose a specific understanding of decision-making in suicidal behavior by using a psychometric instrument, namely the Suicidal Ambivalence Scale (SAS). The SAS, initially used in addictive disorders, allows to distinguish 3 types of thoughts: first anticipatory beliefs [A] (positive expectations regarding behavior); second relief-oriented beliefs [R] (aim to reduce the feeling of suffering) and finally, permissive beliefs [P] (authorize the passage to the act). In addictions disorders, these thoughts favor craving and the act of consumption. We make the hypothesis that the processes of suicidal thoughts function similarly to thought processes in addiction and that all thoughts [A, S and P] are significantly more present in suicidal patients. Methods: 120 suicidal crisis patients and 161 healthy controls were compared on clinical dimensions (levels of depression, hopelessness). Anticipatory, relief-oriented and permissive beliefs were evaluated with the suicidal ambivalence scale. Results: Patients have statistically more of beliefs in favor of suicidal behavior to compared healthy controls (t = 2.375, p = 0.019, d = 0.57), more particularly, anticipatory and permissive beliefs. Conversely, patients have statistically less of protective thoughts against the suicidal behavior to compared healthy controls (t = 2.195, p = 0.03, d = 0.499). Conclusion: This study showed the role of anticipatory, relief-oriented and permissive beliefs in the suicidal crisis and the need to create a simple and easy to use clinical tool for more accurate assessments of beliefs in patients with the suicidal crisis.


https://www.tandfonline.com/doi/abs/10.1080/13811118.2020.1738969









Publié par infosuicide à 16:20
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Libellés : COMPORTEMENT A RISQUE, IDEES SUICIDAIRES, MODÉLISATION, RECHERCHE

ETUDE RECHERCHE Le stress perçu explique en partie l'association entre les symptômes du trouble déficitaire de l'attention avec hyperactivité (TDAH) et les idées suicidaires chez les élèves

Perceived stress partially accounts for the association between Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) symptoms and suicidal ideation among students

Antoine Gbessemehlan ab JulieArsandaux ab Massimiliano Orri abc Ilaria Montagni ab Melissa Macalli ab Marie Tournier abde Christophe Tzourio ab Cédric  Galéra abde

Psychiatry Research

Volume 291, September 2020, 113284
a Bordeaux Population Health Research Center, INSERM UMR1219, Team HEALTHY, 33000 Bordeaux, France
b University of Bordeaux, 33076 Bordeaux, France
c McGill Group for Suicide Studies, Douglas Mental Health University Institure, McGill University, Montreal, Quebec, Canada
d Charles Perrens Hospital, 33076 Bordeaux, France
e Centre Hospitalier Universitaire de Bordeaux, 33076 Bordeaux, France

Available online 6 July 2020.

Highlights
•
ADHD increases the risk of suicidal ideation among students of France.
•
Perceived stress partially accounts for the association between ADHD and suicidal ideation.
•
ADHD and perceived stress were also independently associated with suicidal ideation.

Abstract

The association between Attention Deficit Hyperactivity Disorder (ADHD) and suicidal ideation has been the focus of recent research interest among youths and young adults. However, the role perceived stress plays in this association is unclear. We investigated whether perceived stress accounts for the association between ADHD and subsequent suicidal ideation among French students enrolled in the i-Share cohort. The associations between ADHD symptoms, perceived stress at baseline, and suicidal ideation during follow-up were investigated using logistic regression models, and Structural Equation Modeling was used to estimate the indirect effect via perceived stress. In total 4333 participants (median age: 20.3 years; [interquartile range: 18.7-21.8]) were included in the main analyses. ADHD was associated with suicidal ideation (adjusted Odds Ratio = 1.15 [95% Confidence Interval: 1.04-1.26]). Perceived stress partially accounts for the association between ADHD and suicidal ideation (proportion explained 49%). Our study suggests that ADHD and perceived stress represent mental health targets for suicide prevention programs.

Keywords
ADHD Perceived stress Suicidal ideation Students Path analysis Cohort study

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0165178120308222
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE

vendredi 26 juin 2020

ETUDE RECHERCHE Idées suicidaires et labilité de l'affect chez les personnes ayant fait une ou plusieurs tentatives de suicide et souffrant de troubles dépressifs majeurs

Research paper
Suicidal ideation and affect lability in single and multiple suicidal attempters with Major Depressive Disorder : An exploratory network analysis
D.
Núñez ab
J.L. Ulloa a S. Guillaume c E. Olié c A. Alacreu-Crespo c P. Courtet c

a Faculty of Psychology, Universidad de Talca, Chile.
b Millennium Nucleus to Improve the Mental Health of Adolescents and Youths, Imhay
c Département d'Urgences & Post Urgence Psychiatrique, CHU Montpellier, University of Montpellier, France
Received 31 January 2020, Revised 28 March 2020, Accepted 1 April 2020, Available online 7 May 2020.

Highlights
• Affect lability and anxiety as trait were the most central psychopathological aspects in suicidal attempters with a primary diagnosis of Major Depressive Disorder.•
Suicidal ideation was specifically connected with anxiety as trait and hopelessness.
• There were some differences between the symptomatic profiles of repeaters and non-repeaters and also between high and low suicidal ideation.
•
Emotional regulation difficulties might be suitable targets for early detecting and treating suicidal patients.

Abstract

Introduction: A better understanding of the specific contribution of risk factors to suicidal behavior could arise from analyzing suicidal ideation (SI) in clinical samples, and comparing single versus multiple suicide attempters through contemporary methods allowing complex and dynamical analyses of multiple and simultaneously interacting suicide risk factors.
Method: We explored associations among suicidal ideation (SI), affect lability and other suicide risk factors in 323 suicidal attempters diagnosed with major depressive disorder (MDD). We analyzed the network structure and centrality of the total sample, and compared single versus multiple attempters and subjects with low and high suicidal ideation.
Results: SI was connected with anxiety (trait) and hopelessness. Central nodes for global and specific groups were affect lability (from anxiety to depression), anxiety as a trait, and harm avoidance. We observed some specific differences between clinical profiles of repeaters and non-repeaters and significant network density between high and low SI.
Limitations: Because our cross-sectional design, we cannot establish casual relationships among variables. We only examined associations at group level but not at single subject level.
Conclusions: Affect lability (mainly the shifts from anxiety to depression) and trait anxiety were central in each estimated network. These symptoms might be suitable targets for early detecting and treating suicidal patients.

https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0165032720303177
Publié par infosuicide à 11:24
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Libellés : ADOLESCENTS, DEPRESSION, IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, TENTATIVE DE SUICIDE

jeudi 14 mai 2020

ETUDE RECHERCHE BELGIQUE La théorie interpersonnelle du suicide. Présentation et application dans la compréhension des idées suicidaires chez l’étudiant en médecine : étude dans un groupe de 178 étudiants

La théorie interpersonnelle du suicide. Présentation et application dans la compréhension des idées suicidaires chez l’étudiant en médecine : étude dans un groupe de 178 étudiants - 12/05/20
Doi : 10.1016/j.amp.2020.04.014 

Gwenolé Loas a, ⁎ , Alice Solibieda a, Kevin Moens b, Marianne Rotsaert a, Yvon Englert a

a Laboratoire de recherches psychiatriques (ULB 266), service de psychiatrie, hôpital Érasme, université libre de Bruxelles, 1070 Bruxelles, Belgique 

b Laboratoire de psychologie médicale et d’addictologie, université libre de Bruxelles (U.L.B.), CHU de Brugmann, Bruxelles, Belgique


⁎Auteur correspondant.


Annales médico-psychologiques Sous presse. Épreuves corrigées par l'auteur. Disponible en ligne depuis le mardi 12 mai 2020
Résumé
Objectifs

La théorie interpersonnelle du suicide (Interpersonal Psychological Theory of Suicide, IPTS) a été proposée en 2005 par Joiner afin de promouvoir un modèle théorique global du comportement suicidaire. Selon cet auteur, trois facteurs de risque provoqueraient le comportement suicidaire : la perception d’être un fardeau, l’appartenance contrariée et la capacité acquise à se donner la mort. L’objet de l’article est de présenter la théorie et une synthèse des travaux. Sa pertinence sur le risque suicidaire des médecins et des étudiants en médecine est ensuite abordée et une étude originale dans un groupe de 178 étudiants en médecine est présentée.
Méthodes

Les étudiants en médecine se répartissaient de la manière suivante selon le risque suicidaire : 95 n’ont aucun risque suicidaire (absence d’idées suicidaires, de plans suicidaires ou d’antécédents de tentative de suicide), 24 ont des idées suicidaires life-time, 28 présentent des idées suicidaires récentes, 26 des plans suicidaires actuels.
Résultats et Conclusion

Utilisant des questionnaires validés mesurant les trois dimensions et contrôlant la dépression par l’échelle de Beck ainsi que le sexe et l’âge, les résultats ont montré un niveau significativement plus élevé, d’une part, d’appartenance contrariée chez les sujets avec des plans ou des idées suicidaires récentes comparativement aux autres groupes d’étudiants et, d’autre part, du sentiment d’être un fardeau chez les sujets avec des plans suicidaires comparativement aux trois autres groupes.

Plan
Introduction
Les trois dimensions constitutives de la théorie psychologique interpersonnelle du suicide
Le testing de la théorie
Application de la théorie dans la compréhension du suicide du médecin et de l’étudiant en médecine
Étude
Sujets
Questionnaires
Analyses statistiques
Résultats
Discussion
Conclusion
Déclaration de liens d’intérêts
https://www.em-consulte.com/article/1364450
Publié par infosuicide à 15:54
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, MODÉLISATION, RECHERCHE

vendredi 31 janvier 2020

RECHERCHE ETUDE Idées suicidaires et troubles de santé mentale chez les jeunes écoliers en Europe

Suicidal ideation and mental health disorders in young school children across Europe
Viviane Kovess-Masfety 1, 2 Daniel Pilowsky Dietmar Goelitz Rowella Kuijpers Roy Otten Maria Francesca Moro Adina Bitfoi Ceren Koç Sigita Lesinskiene Zlatka Mihova Greg Hanson Christophe Fermanian 3 Ondine Pez 4 Mauro Giovanni Carta
1 Fondation pour la santé publique
2 EHESP - École des Hautes Études en Santé Publique [EHESP]
3 Unité de recherche clinique
4 Pacte, Laboratoire de sciences sociales
Abstract : INTRODUCTION: The aim of this study is to measure the prevalence of suicidal ideation and thoughts of death in elementary school children in a European survey and to determine the associated socio-demographic and clinical factors. METHODS: Data refer to children aged 6-12 (N=7062) from Italy, Turkey, Romania, Bulgaria, Lithuania, Germany, and the Netherlands randomly selected in primary schools. Suicidal thoughts and death ideation were measured using a computerized pictorial diagnostic tool from the Dominic Interactive (DI) completed by the children. The Strengths and Difficulties Questionnaire (SDQ) was administrated to teachers and parents along with a socio-demographic questionnaire. RESULTS: Suicidal ideation was present in 16.96% of the sample (from 9.9 in Italy to 26.84 in Germany), death thoughts by 21.93% (from 7.71% in Italy to 32.78 in Germany). SI and DT were more frequent in single-parent families and large families. Externalizing disorders were strongly correlated with SI and DT after controlling for other factors and this was true for internalizing disorders only when reported by the children. CONCLUSION: Recognizing suicidal ideation in young children may be recommended as part of preventive strategies such as screening in the context of the presence of any mental health problems whether externalizing or internalizing.
https://hal.ehesp.fr/hal-02460596
Soumis le : jeudi 30 janvier 2020 - 10:54:40
Source https://hal.ehesp.fr/hal-02460596
Publié par infosuicide à 10:50
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Libellés : ETABLISSEMENT SCOLAIRE, EUROPE, IDEES SUICIDAIRES, SUICIDE ET ENFANTS

lundi 26 novembre 2018

ETUDE RECHERCHE Pensées et comportements suicidaires et isolement social: revue narrative de la littérature

Titre original :  Suicidal thoughts and behaviors and social isolation: A narrative review of the literature
Raffaella Calati abcd Chiara Ferrari e Marie Brittner b Osmano Oasi e Emilie Olié abc André F.Carvalho fg Philippe Courtet abc
a INSERM, Neuropsychiatry: Epidemiological and Clinical Research, University of Montpellier, Montpellier, France
b Department of Emergency Psychiatry and Acute Care, Lapeyronie Hospital, CHU Montpellier, Montpellier, France
c FondaMental Foundation, Créteil, France
d Department of Psychiatry, Mount Sinai Beth Israel, New York, USA
e Department of Psychology, Catholic University of Milan, Milan, Italy
f Department of Psychiatry, Faculty of Medicine, University of Toronto, Toronto, ON, Canada
g Centre for Addiction and Mental Health (CAMH), Toronto, ON, Canada
Received 2 August 2018, Revised 27 September 2018, Accepted 3 November 2018, Available online 7 November 2018.
Journal of Affective Disorders Volume 245, 15 February 2019, Pages 653-667
 
Contexte
L’isolement social est l’un des principaux facteurs de risque associés aux résultats suicidaires. Le but de cet examen narratif était de fournir un aperçu du lien entre l'isolement social et les pensées et comportements suicidaires.Les méthodes
Nous avons utilisé la base de données PubMed pour identifier les articles pertinents publiés jusqu'au 13 avril 2018. Nous nous sommes concentrés sur: (a) les revues systématiques, les méta-analyses et les revues narratives; (b) études d'observation originales avec de grands échantillons (N≥500); et c) études qualitatives. Nous avons inclus tous les résultats suicidaires pertinents: idées suicidaires (IS), planification suicidaire, automutilation non suicidaire, automutilation volontaire, tentative de suicide 
et suicide.RésultatsLes principaux concepts sociaux associés aux résultats suicidaires étaient l’état matrimonial (célibataire, séparé, divorcé ou veuf) et vivant seul, l’isolement social, la solitude, l’aliénation et l’appartenance. Nous avons inclus 40 études observationnelles originales, dont la majorité ont été réalisées sur des adolescents et / ou de jeunes adultes (k = 23, 57,5%). La condition objective (vivre seul, par exemple) et le sentiment subjectif d'être seul (c'est-à-dire la solitude) étaient fortement associés aux résultats suicidaires, en particulier avec TS et l'IS. Cependant, la solitude, qui a été étudiée dans la plupart des études (k = 24, 60%), a eu un impact majeur à la fois sur les IS et sur les TS. Ces associations étaient cohérentes au niveau transculturel. 
LimitesLes facteurs de confusion peuvent limiter le poids des résultats obtenus dans les études d'observation.ConclusionsLes données des études d'observation suggèrent que l'isolement social objectif et le sentiment subjectif de solitude devraient être intégrés à l'évaluation du risque de suicide. Des études interventionnelles ciblant l'isolement social pour la prévention du suicide sont nécessaires.
 
https://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S016503271831694X 
Publié par infosuicide à 14:02
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Libellés : FACTEUR DE RISQUE, IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, SOLITUDE ISOLEMENT, TENTATIVE DE SUICIDE

vendredi 16 juin 2017

ETUDE RECHERCHE FRANCE Les predicteurs du quotidien sur l'idéation suicidaire chez les adultes récemment sortis de l'hôpital après une tentative de suicide grave: une étude pilote

Titre : Predictors of daily life suicidal ideation in adults recently discharged after a serious suicide attempt: A pilot study
Mathilde Husky a, , , Joel Swendsen b, Adela Ionita c, d, Isabelle Jaussent d, e,
Catherine Genty c, d, e,  Philippe Courtet c, d, e, f
a University of Bordeaux, Laboratoire de Psychologie EA4139, Institut Universitaire de France, Bordeaux, France
b University of Bordeaux, PSL Research University, EPHE, CNRS, UMR 5287 INCIA, F-33076 Bordeaux, France
c Department of Emergency Psychiatry and Acute Care, CHU Montpellier, Montpellier F-34093, France
d University of Montpellier, Montpellier F-34000, France
e Inserm, U1061, Montpellier F-34093, France
f Fondamental Foundation, Créteil, France
Received 2 January 2017, Revised 1 May 2017, Accepted 12 June 2017, Available online 12 June 2017
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165178117300070

Sujet de l’étude: Les prédicteurs du quotidien sur l'idéation suicidaire chez les adultes récemment sortis de l'hôpital après une tentative de suicide grave: une étude pilote
Les objectifs de l'étude sont d'examiner le rôle prédictif des fluctuations du l'humeur du quotidien, des contextes sociaux et des comportements sur les idées suicidaires subséquentes ; Et identifier les facteurs cliniques et psychologiques associés à la fréquence générale des idées suicidaires dans un échantillon à risque élevé. L'échantillon comprenait 42 adultes (73,8% de femmes) hospitalisés pour une tentative de suicide. Immédiatement après la sortie de l'hôpital, ils ont utilisé l' Évaluation écologique instantanée pendant sept jours consécutifs, en fournissant des mesures répétées d'idées suicidaires, facteurs environnementaux, contextuels et comportementaux. En contrôlant les idées suicidaires antérieures, un certain nombre de variables contextuelles ont été associées aux idées suicidaires ultérieures. Être à la maison ou au travail était associé à une probabilité accrue d'idées suicidaires, alors qu’être à la maison d'autres proches, ou dans un environnement de fête ou de loisirs, a diminué la probabilité des idées suicidaires. Le travail, les loisirs passifs et l'inactivité ont tous augmenté la probabilité des idées suicidaires. Être seule à augmenter les idées suicidaires alors que être proche d'autres réduit considérablement ce risque. Enfin, aucun effet global pour les événements stressants n'a été trouvé, mais les événements familiaux négatifs étaient spécifiquement associés à une probabilité accrue d'idées suicidaires (γ = 0,448, t = 2,255, df = 29, p <0,05). Les résultats fournissent des résultats préliminaires concernant les facteurs environnementaux et comportementaux proximaux associés à l'apparition d'idées suicidaires dans un échantillon à risque élevé.
Publié par infosuicide à 12:55
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Libellés : FACTEUR DE RISQUE, IDEES SUICIDAIRES, POST-HOSPITALISATION, RECHERCHE, SUIVI SUICIDANT

jeudi 9 mars 2017

ETUDE RECHERCHE EPIDEMIOLOGIE Comportements suicidaires en France métropolitaine : résultats du Baromètre santé 2014

Comportements suicidaires en France métropolitaine : résultats du Baromètre santé 2014
Sans titreSanté publique France, ROBERT Maëlle Robert, LEON Christophe, DU ROSCOÄT Enguerrand
Comportements suicidaires en France métropolitaine : résultats du Baromètre santé 2014
Evolutions, n°36, 2017, 8 p.
En France, la prévention du suicide constitue un enjeu majeur de santé publique. Selon le Baromètre santé 2014, parmi les 15 635 personnes de 15-75 ans interrogées, 4,9 % déclarent avoir eu des pensées suicidaires au cours des douze derniers mois, 7,1 % avoir fait une tentative de suicide au cours de la vie et 0,8 % au cours de l’année. Les femmes déclarent plus de pensées suicidaires et de tentatives de suicide au cours de la vie que les hommes et 2,3 % des femmes âgées de 15 à 19 ans rapportent une tentative de suicide dans l’année. Contrairement aux tentatives de suicide qui concernent plus souvent les jeunes et diminuent avec l’avancée en âge, les pensées suicidaires concernent davantage les 45-64 ans. Pensées suicidaires et tentatives de suicide apparaissent plus élevées parmi les profils de population les moins favorisés (chômeurs ou inactifs, personnes ayant un faible niveau d’études ou des difficultés financières, personnes isolées). Les prévalences de pensées suicidaires et de tentatives de suicide dans l’année ont globalement augmenté entre 2010 et 2014, passant respectivement de 4,0 % à 4,9 % et de 0,5 % à 0,8 %. Ces hausses concernent essentiellement les populations présentant des facteurs de vulnérabilité (faibles niveaux de diplômes, inactivité, isolement). Parmi les raisons attribuées à la survenue de pensées suicidaires au sein de la population active, une hausse importante de la part des motifs professionnels (+8 points) a été observée entre 2010 et 2014. Enfin, seules 53,0 % des personnes ayant eu des pensées suicidaires au cours des douze derniers mois en ont parlé à quelqu’un et 42,0 % des hommes ayant fait une tentative de suicide dans l’année ne sont pas allés à l’hôpital et n’ont pas été suivis par un professionnel. Ces résultats confirment l’importance du phénomène suicidaire en population générale et la nécessité de développer des dispositifs de prévention et de prise en charge efficaces.
Consulter le document sur le site de Santé publique France

source info http://resodochn.typepad.fr/
Publié par infosuicide à 16:43
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Libellés : EPIDEMIOLOGIE, IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, TENTATIVE DE SUICIDE

mardi 24 janvier 2017

ETUDE RECHERCHE Les événements de vie positifs et négatifs et les raisons de vivre modulent l'idéation suicidaire chez un échantillon de patients ayant des antécédents de tentatives de suicide.

Les événements de vie positifs et négatifs et les raisons de vivre modulent l'idéation suicidaire chez un échantillon de patients ayant des antécédents de tentatives de suicide.
Titre original :  Positive and negative life events and reasons for living modulate suicidal ideation in a sample of patients with history of suicide attempts.
Camélia Laglaoui Bakhiyi 1, 2, 3, * Isabelle Jaussent 1 Séverine Beziat 1 Renaud Cohen 4, 5 Catherine Genty 1, 2, 4 Jean-Pierre Kahn 4, 5 Marion Leboyer 4, 6 Pascal Le Vaou 7 Sébastien Guillaume 1, 2, 4 Philippe Courtet 4, 1, 2
* Auteur correspondant 
1 Neuropsychiatrie : recherche épidémiologique et clinique
2 Département : urgence et Post-urgence psychiatrique [Montpellier]
3 Unité de Psychiatrie [Casablanca, Maroc]
4 FondaMental Foundation
5 Centre Psychothérapique de Nancy-Unité D
6 Pôle de psychiatrie et d'addictologie des Hôpitaux Universitaires Henri-Mondor [Créteil]
7 Pôle urgences, médecine polyvalente, médecine interne et neurologie [Metz-Thionville]
Résumé : The influence of life events on suicidal behavior remains inconclusive, while reasons for living (RFL) may be protective.

Pré-publication, Document de travail 2017
Document Laglaoui 20...
Fichiers produits par l'(les) auteur(s) 
 
Source http://www.hal.inserm.fr/inserm-01442505
Publié par infosuicide à 13:42
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE, SUIVI SUICIDANT, TENTATIVE DE SUICIDE

jeudi 23 juin 2016

RECHERCHE ETUDE FRANCE Les facteurs associés à la divulgation de l'idéation suicidaire: Les résultats d'une vaste étude basée sur la population

Titre original Factors associated with suicidal ideation disclosure: Results from a large population-based study
Mathilde M. Husky a, c, , , Ingrid Zablithb, Victor Alvarez Fernandez c, Viviane Kovess-Masfety c, d
a Institut Universitaire de France, Université de Bordeaux, INSERM U1219, Bordeaux, France
b Etablissement Public Départemental Blanche de Fontarce, Chateauroux, France
c Institut de Psychologie, EA4057 Université Paris Descartes, Sorbonne Paris Cité, Paris, France
d EHESP French School of Public Health, Paris, FranceCorresponding author: Université de Bordeaux, Institut Universitaire de France, INSERM U1219, Equipe HEALTHY, 3 ter, place de la Victoire, 33076 Bordeaux, France, Tel.: +33 608 −462-625.
mathilde-maya.husky@u-bordeaux.fr
dans Journal of Affective Disorders Received 19 May 2016
Points forts
•  La moitié de ceux qui ont des idées suicidaires ne divulguent pas leur idéation.•  des liens sociaux pauvres est associée à la non-divulgation.•  Une histoire de tentative de suicide augmente la probabilité de divulgation.•  Les troubles mentaux augmentent la divulgation aux professionnels de la santé.
AbstraitContexteIl est crucial pour les cliniciens et les chercheurs de comprendre les facteurs associés à la divulgation des idées suicidaires. Décrire les caractéristiques de ceux qui ne divulguent pas leur idéation suicidaire ou qui révèlent leur idéation seulement à certains, aux professionnels de la santé
ou à chacun des deux peut aider les chercheurs et les cliniciens dans leurs efforts de prévention pour traiter les personnes à risque de comportement suicidaire.MéthodesL'échantillon a été tiré à partir d'une grande enquête transversale (n = 22138) sur la santé mentale en France. Les analyses ont été fondées sur les 4156 personnes (17,1%) qui ont indiqué  dans leur existence des idées suicidaires avec ou sans antécédents de tentative de suicide et qui ont indiqué si et à qui ils ont révélé leur idéation. La Socio-démographie, les troubles mentaux actuels, et les liens sociaux ont été évalués.RésultatsLa moitié de ceux qui ont des idées suicidaires n'a pas partagé leurs idées avec quelqu'un, 6,3% l'ont fait seulement avec les professionnels de la santé , 20% avec seulement des amis ou en famille, et 20% avec les deux professionnels de la santé et proches. Le sexe masculin, l'âge avancé, le niveau d'éducation plus faible et une mauvaise connectivité sociale ont été associés à une plus grande probabilité de non-divulgation. S'ajustant à la socio-démographie et à la connectivité sociale, le comportement suicidaire et les troubles mentaux ont été globalement associés une plus grande probabilité de partager l'idéation suicidaire aux professionnels de la santé
Les résultats fournissent des informations importantes sur les facteurs individuels et sociaux à prendre en compte dans la divulgation de l'idéation suicidaire.

http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0165032716308394 
Publié par infosuicide à 13:45
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Libellés : IDEES SUICIDAIRES, RECHERCHE

lundi 2 mai 2016

RECHERCHE ETUDE comportements suicidaires des adolescents dans 32 pays à faible et moyen revenu

Titre original : Adolescent suicidal behaviours in 32 low- and middle-income countries Britt McKinnon a, Geneviève Gariépy a, Mariane Sentenac a & Frank J Elgar a a. Institute for Health and Social Policy, McGill University, 1030 Pine Avenue West, Montreal, Quebec H3A 1A2, Canada.
Correspondence to Britt McKinnon (email: britt.mckinnon@mcgill.ca).
(Submitted: 24 August 2015 – Revised version received: 12 February 2016 – Accepted: 13 February 2016.)
Bulletin of the World Health Organization 2016;94:340-350F.

Research http://www.who.int/bulletin/volumes/94/5/15-163295-ab/en/

Les comportements suicidaires des adolescents dans 32 pays à faible et moyen revenu
Objectif Estimer la prévalence des idées suicidaires et des idées suicidaires avec un plan dans chaque pays étudiés et examiner les différences entre pays dans les facteurs de risque associés. Méthodes Nous avons analysé les données des élèves âgés 13-17 ans qui ont participé de 2003-2012 aux Enquêtes sur la santé en milieu scolaire mondial dans 32 pays, dont 29 sont à faible revenu et à revenu intermédiaire.
Dans tous les pays, la mise en commun des prévalences sur 12 mois de l'idéation suicidaire était de 16,2% (intervalle de 95% de confiance, CI: 15,6 à 16,7) chez les femmes et de 12,2% (IC à 95%: 11,7 à 12,7) chez les hommes et l'idéation avec un plan étaient 8,3% (IC à 95%: 7,9 à 8,7) chez les femmes et 5,8% (IC 95%: 5,5 à 6,1) chez les hommes. L’idéation suicidaire dans la Région des Amériques de l'OMS a été plus élevée chez les femmes que chez les hommes, avec un taux de prévalence estimé à 1,70 (IC à 95%: 1,60 à 1,81), alors que ce ratio était de 1,04 (IC à 95%: 0,98 à 1,10) dans la Région africaine OMS. Les facteurs associés à l'idéation suicidaire dans la plupart des pays inclus des expériences d'intimidation et de violence physique, de solitude, de soutien parental limitée et d'alcool et de tabac.
Conclusion
La prévalence des comportements suicidaires des adolescents varie selon les pays, mais un ensemble cohérent de facteurs de risque de comportements suicidaires a émergé dans toutes les régions et la plupart des pays.

Article en entier en ligne http://www.who.int/bulletin/volumes/94/5/15-163295/en/
Publié par infosuicide à 14:03
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Libellés : ADOLESCENTS, ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE, ASPECTS SOCIO-CULTURELS, FACTEUR DE RISQUE, IDEES SUICIDAIRES, OMS, RECHERCHE
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