Maladies neurologiques et suicide : de la neurobiologie au manque d’espoir
Alessandra Costanza, Marc Baertschi, Kerstin Weber, Alessandra Canuto
Rev Med Suisse N° 461 2015;402-405
Contact auteur(s) Alessandra Costanza Service des urgences Unité
d’accueil et d’urgences psychiatriques (UAUP) Département de médecine
communautaire, de premier recours et des urgences HUG, 1211 Genève 14
alessandra.costanza@hcuge.ch
Marc Baertschi Service de psychiatrie
de liaison et d’intervention de crise (SPLIC) Département de santé
mentale et de psychiatrie HUG, 1211 Genève 14 marc.baertschi@hcuge.ch
Kerstin
Weber Service de psychiatrie de liaison et d’intervention de crise
(SPLIC) Département de santé mentale et de psychiatrie HUG, 1211 Genève
14 kerstin.weber@hcuge.ch
Alessandra Canuto Service de psychiatrie
de liaison et d’intervention de crise (SPLIC) Département de santé
mentale et de psychiatrie HUG, 1211 Genève 14
alessandra.canuto@hcuge.ch
Articles thématiques : psychiatrie de liaison
Résumé
Les maladies neurologiques exposent à un risque élevé de conduites suicidaires et constituent un domaine privilégié pour explorer la nature hétérogène des mécanismes sous-jacents. Elles sont en effet caractérisées par des atteintes de nature strictement biologique pouvant toucher à des systèmes postulés à la base de la vulnérabilité neurobiologique au suicide. En même temps, elles interrogent des sujets existentiels comme le manque d’espoir dû – pour plusieurs conditions particulièrement invalidantes – à l’absence de traitements. Une approche clinique laissant de l’espace à une écoute inconditionnelle peut se révéler protectrice face à un passage à l’acte. Ceci parle aussi du rôle du psychiatre de liaison qui essaie de transformer en questionnement une situation sans espoir ou, simplement, d’être là quand on ne peut rien faire.
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