Concernant une émission radiophonique publique à TIARET, ALGERIE le 28 mars 2013 sur le suicide, regroupant  des imams, des psychologues, des 
médecins, des représentants de la police et des associations de 
protection de l’enfance..
" TIARET Le phénomène des suicides en débat - Article 31/03/2013 sur 
Revue de presse
" TIARET Le phénomène des suicides en débat - Article 31/03/2013 sur 
http://sougueur2demain.unblog.fr/2013/03/31/tiaret-le-phenomene-des-suicides-en-debat/
La société civile a 
été appelée à débattre le phénomène des suicides dans la wilaya de 
Tiaret. Cette action a mobilisé des imams, des psychologues, des 
médecins, des représentants de la police et des associations de 
protection de l’enfance. Lesquels ont axé leurs interventions sur le 
rôle de la cellule familiale, l’école et l’environnement immédiat. En 
matière d’études du milieu, Mme Hehari 
Nadjet, médecin légiste à l’hôpital Youcef Damardji, à Tiaret, a dressé 
un bilan ont été enregistré, de 2001 à 2012, plus de 172 cas de suicide 
dominés par des pendaisons, suivis par la consommation des acides, des 
médicaments et la l’immolation par le feu. Les hommes sont les plus 
touchés par les suicides, viennent ensuite les femmes dont certaines 
enceintes et enfin les enfants.
 
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... extrait article "Société : le suicide inquiète le 02.04.13" http://www.elwatan.com/regions/ouest/tiaret/societe-le-suicide-inquiete-02-04-2013-208738_136.php
..."Des cas de suicide, on peut en parler à satiété mais le phénomène inquiète. Une émission radiophonique publique a eu lieu jeudi après-midi au niveau de la maison de jeunes «ex-Lombard».
Imam, psychologues, des cadres de la Sûreté nationale, médecin-légiste, représentants du mouvement associatif autour de l’animateur ont voulu décortiquer le sujet mais apparemment tout le monde est resté sur sa faim en dépit du discours, par trop religieux, dispensé ce jour-là devant une salle subitement vidée de jeunes garçons.Apparemment, les discours rébarbatifs et à huis clos n’ont pas eu l’effet escompté mais le mérite est de susciter un tel sujet qui commence à prendre de l’ampleur. Si d’un point de vue religieux, l’on semble trop insister sur la foi, d’autres intervenants lient le suicide à l’échec scolaire, l’isolement social, l’atteinte par une pathologie incurable, la dépression, relations tendues avec l’autre, la dislocation familiale et d’autres causes difficiles à cerner.
Un psychologue de la Sûreté nationale évoque, lui, «le suicide publicitaire» où le suicidé joue avec la mort. Certains évoquent «un phénomène importé via les chaînes satellitaires». Au-delà des actes et des définitions, souvent farfelues sur le plan statistique, docteur Nahar, médecin légiste de l’hôpital de Tiaret, parle de 18 tentatives de suicide en 2012 enregistrées par le service nonobstant les victimes évacuées vers d’autres centres de santé. De 2008 à 2012, la courbe est presque constante puisque ça oscille entre 10 et 18 cas.
Les plus spectaculaires et violents restent ces cas de suicide par immolation dont on a rapporté les faits. Fawzi Amellal"
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TIARET : Enfin, un débat sur le suicide- Le 3/04/2013 sur http://www.reflexiondz.net/TIARET-Enfin-un-debat-sur-le-suicide_a23205.html
      L’initiative est venue cette fois de la direction de l’ODEJ et son
 inamovible directeur, monsieur Benameur Mourad et une de ses 
structures, la maison de jeunes « Nord » ex « Lombard ». La rencontre a 
regroupé un psychologue, un imam, un médecin légiste, un représentant de
 la sûreté de wilaya, un psychologue, une sociologue et des 
représentants du mouvement associatif, animée par la star-vedette de la 
radio FM « Radio Tiaret », émise en direct et devant une assistance 
quasiment féminine. Le suicide, devenu un phénomène de société a suscité
 plusieurs angles de vision dont les origines demeurent toujours 
inaccessibles. Les intervenants, à vrai dire ont eu beaucoup de 
difficultés à rendre clair leurs messages  incitant à la foi, d’autres 
se référant à un modèle de société comme prévoit certains écrivains et 
psychologues occidentaux et la remarque pertinente c’était l’absence de 
jeunes sur le plateau et au sein de l’assistance. Le  premier  concerné 
par ce phénomène était l’élément zéro. Un mal qui ronge la société à en 
croire les chiffres avancés par le médecin légiste. En somme, la société
 a connu une transplantation et des mutations miraculeuses mais les 
discours n’ont pas changé d’un iota. La langue de bois, faudrait-il le 
rappeler n’est plus en mesure de répondre aux préoccupations des jeunes 
de notre société qui voient que le suicide a ses vraies origines et 
aussi de saines solutions.  -
   
Abdelkader Berrebiha - 
 
