Dessercom en tournée québécoise de prévention du suicide
29 Avr 2016 10:06
Tant trop souvent témoin de ce fléau à enrayer, l’entreprise ambulancière Dessercom se déplacera dans plusieurs villes de la province pour présenter une ciné-conférence sur la prévention du suicide et les maladies mentales
En tant qu’intervenants dans le domaine de la santé, les 550 employés de Dessercom sont confrontés trop souvent au suicide et aux conséquences des maladies mentales. Dans le cadre de son programme de para-médecine communautaire, l’entreprise se déplacera dans 20 villes qu’elle dessert pour présenter le documentaire sur la prévention du suicide « SANS TOI ». Ce documentaire est récipiendaire du Prix Sheehan 2016 et a reçu, en février dernier, les honneurs à l’Assemblée Nationale du Québec.
SANS TOI cherche à exposer ce qui mène une personne au suicide ainsi que les conséquences sur ceux qui deviennent des endeuillés. On assiste à des témoignages sincères et révélateurs de gens ayant commis une tentative de suicide, de parents qui tentent d’apprendre à vivre sans leur enfant ainsi que des proches à jamais transformés par ce geste qui leur est imposé. Le documentaire s’adresse à tous ceux qui sont touchés de près ou de loin par le geste dévastateur qu’est le suicide, et à ceux qui ne veulent rester impuissants face à ce drame. Finalement, il s’adresse à nous tous, qui pourrions un jour vivre ou accompagner une personne dans la souffrance.
Après chacune des représentations, une discussion avec des experts en santé mentale et en prévention du suicide aura lieu. Dans son désir de sensibiliser le plus de gens possible, Dessercom offrira ces ciné-conférences au grand public, gratuitement et sans réservation. Les représentations sont ouvertes seulement aux 18 ans et plus, puisque le sujet, bien que traité avec délicatesse, est sensible.
La tournée s’arrêtera dans les villes suivantes :
Ambulances Bellechasse 3 mai – Maison de la Culture de Bellechasse – 75, rue St-Gérard, St-Damien (Qc)
Ambulances Saint-Charles 4 mai – Centre Socio-Culturel – 176, rue Nadeau, Saint-Gervais (Qc)
Ambulances Kamouraska 5 mai – À venir
Ambulances Plessisville 9 mai – Salle de réception du Môtel le Phare – 745, av St-Louis, Plessisville (Qc)
Ambulances Sainte-Marie 10 mai – Centre Caztel, salle Alphonse-Desjardins – 905 route St-Martin, Ste-Marie de Beauce (Qc)
Ambulances St-Sylvestre 11 mai – Salle Multifonctionnelle de St-Sylvestre – 435, rue Principale, St-Sylvestre (Qc)
Ambulances Lyster 12 mai – Salle des Chevaliers de Colomb – 114, rue Isabelle, Lyster (Qc)
Ambulances St-Hyacinthe 16 mai – Salle des Loisirs Christ-Roi – 390, avenue Vaudreuil, Saint-Hyacinthe (Qc)
Ambulances Acton Vale 17 mai – Centre de bénévolat d’Acton Vale – 1176, rue Bélair, Acton Vale (QC)
Ambulances Granby 18 mai – École secondaire J.-H. Leclerc – 1111 Rue Simonds S, Granby (QC)
Ambulances Bedford 19 mai – Centre George Perron – 14 rue Philippe-Côté, Bedford (Qc)
Présente et engagée dans sa communauté, Dessercom offre des services contribuant au bien-être du patient et aux soins de santé au Québec depuis plus de 40 ans. La santé de la population, autant physique que psychologique, nous tient à coeur. Nous espérons donc, avec ces ciné-conférences, démontrer l’importance de prendre soin de sa santé mentale au quotidien. La prévention du suicide est l’affaire de tous. Ainsi, nous pourrons peut-être sauver des vies d’une façon différente de celle que nous mettons en action tous les jours.
Venez y assister en grand nombre dans la région la plus proche de chez vous!
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vendredi 29 avril 2016
CANADA Émission en direct sur CTVM TV Canada francophone, ce lundi 2 mai à 19 h 30 (heure du Québec) / mardi 3 mai à 1 h 30 du matin (heure française)
02/05/2016 – Prévention du suicide : promouvoir la vie
Emissions : Canada Francophone Chaîne : CTVM Canada Francophone
Animatrice: Jessica
Intervenante : Mélanie L. Dion, réalisatrice du documentaire « Sans toi » (2015)
Émission en direct sur CTVM TV Canada francophone, ce lundi 2 mai à 19 h 30 (heure du Québec) / mardi 3 mai à 1 h 30 du matin (heure française) via ce lien : https://plus.google.com/events/c74r84jb711ok8i7j8m4hhmj264?hl=fr
À la suite d’un décès par suicide dans leur entourage, Alexandre Hardy et Mélanie L. Dion suivent deux familles endeuillés pendant sept ans. L’une a perdu leur ami, François-Xavier (21 ans), l’autre, Cynthia (15 ans). « Sans toi » cherche à comprendre ce qui a poussé les victimes à poser leur geste, mais surtout son impact sur leurs proches.
Le film est finalement présenté en 2015 lors de différentes avants-premières à travers le Canada, toujours suivies d’une période de questions/réponses avec les réalisateurs et des intervenants sociaux. C’est la première fois au Québec qu’un documentaire, totalement autofinancé, sur la prévention du suicide s’intéresse à « ceux qui restent ». « Sans toi » a reçu le prix Michael Sheehan, remis par par l’Association québécoise de prévention du suicide, en 2016.
Le documentaire sillonne présentement la province, avec l’entreprise Dessercom, pour sensibiliser la population à la prévention du suicide lors de ciné-conférences.
Bande-annonce du documentaire « Sans toi » :
Lors de l’émission, vous pourrez poser toutes vos questions, à Mélanie L. Dion, via Google+, sur sa démarche en tant que réalisatrice. Un intervenant social sera également avec nous pour répondre à vos questions sur la prévention du suicide : https://plus.google.com/events/c74r84jb711ok8i7j8m4hhmj264?hl=fr
Rejoindre l’émission en direct :
« Sans Toi : prévenir le suicide, promouvoir la vie, sensibiliser à la santé mentale, valoriser la demande d’aide », Mélanie L. Dion.
Emissions : Canada Francophone Chaîne : CTVM Canada Francophone
Animatrice: Jessica
Intervenante : Mélanie L. Dion, réalisatrice du documentaire « Sans toi » (2015)
Émission en direct sur CTVM TV Canada francophone, ce lundi 2 mai à 19 h 30 (heure du Québec) / mardi 3 mai à 1 h 30 du matin (heure française) via ce lien : https://plus.google.com/events/c74r84jb711ok8i7j8m4hhmj264?hl=fr
À la suite d’un décès par suicide dans leur entourage, Alexandre Hardy et Mélanie L. Dion suivent deux familles endeuillés pendant sept ans. L’une a perdu leur ami, François-Xavier (21 ans), l’autre, Cynthia (15 ans). « Sans toi » cherche à comprendre ce qui a poussé les victimes à poser leur geste, mais surtout son impact sur leurs proches.
Le film est finalement présenté en 2015 lors de différentes avants-premières à travers le Canada, toujours suivies d’une période de questions/réponses avec les réalisateurs et des intervenants sociaux. C’est la première fois au Québec qu’un documentaire, totalement autofinancé, sur la prévention du suicide s’intéresse à « ceux qui restent ». « Sans toi » a reçu le prix Michael Sheehan, remis par par l’Association québécoise de prévention du suicide, en 2016.
Le documentaire sillonne présentement la province, avec l’entreprise Dessercom, pour sensibiliser la population à la prévention du suicide lors de ciné-conférences.
Bande-annonce du documentaire « Sans toi » :
Lors de l’émission, vous pourrez poser toutes vos questions, à Mélanie L. Dion, via Google+, sur sa démarche en tant que réalisatrice. Un intervenant social sera également avec nous pour répondre à vos questions sur la prévention du suicide : https://plus.google.com/events/c74r84jb711ok8i7j8m4hhmj264?hl=fr
Rejoindre l’émission en direct :
« Sans Toi : prévenir le suicide, promouvoir la vie, sensibiliser à la santé mentale, valoriser la demande d’aide », Mélanie L. Dion.
ETUDE RECHERCHE Les scarifications aux urgences : quelle menace suicidaire ?
Scarifications : les mots pour le dire
À l’aide d’un questionnaire, les soignants ont interrogé les patients présentant une ou des scarifications auto-infligées datant de moins de 7 jours, isolée(s) ou associée(s) à un autre geste auto-infligé. 58 patients ont répondu. Les résultats, analysés avec l’aide de la Fédération régionale de recherche en psychiatrie et santé mentale (F2RSM) Nord-Pas-de-Calais, évoquent une prépondérance féminine jeune (moins de 36 ans), dont le geste de scarification apparaît non prémédité et réactionnel à une situation de perte symbolique, sans désir de mort significativement associé. Cela peut être un contexte de deuil, de séparation, de difficultés financières, familiales, professionnelles, scolaires ou conjugales. Or, une majorité de ces patients ont été admis pour « TS par scarification », essentiellement des femmes, et une autre partie pour « TS par phlébotomie », surtout des hommes. Cette différence d’attribution entre hommes et femmes, et cette indifférenciation entre tentative de suicide et automutilation procèdent probablement des représentations des soignants sur l’autoagressivité. L’attaque du corps semble questionner une forme de tentative de contenance psychique, lorsque les mots sont insuffisants ou absents (1). Par ailleurs, cette étude montre que pour plus de la moitié des patients, il s’agit d’une récidive de scarification. La douleur infligée au corps, souvent répétée, permet ainsi de pallier les angoisses envahissantes. Il est donc important de considérer ce geste comme une tentative d’apaisement d’une souffrance psychique, afin de proposer au patient une écoute et une aide sécurisantes, laissant progressivement la place aux mots.
Une orientation vers une prise en charge spécifique, du fait de la souffrance psychique et d’un risque élevé de récidive et d’aggravation du geste autoagressif (2), paraît indiquée. Le désamorçage d’une chronicisation de ces comportements nécessite de travailler la demande d’aide dès les urgences. Cette condition est le préalable à une alliance thérapeutique en suivi psychologique ou psychiatrique.
1– Suyemoto KL. The functions of self-mutilation. Clin Psychol Rev. 1998 ; 18(5):531-54.
2– Kuehl S, Nelson K, Collings S. Back so soon : rapid re-presentations to the emergency department following intentional self-harm. N Z Med J. 14 déc 2012 ; 125(1367):70-9
Publié le 26 Avril 2016 sur santementale.fr*
Aux urgences générales, une majorité de patients présentant des
scarifications des poignets ont été admis pour une « tentative de
suicide » (TS), terme souvent utilisé à mauvais escient dans ce
contexte, comme le montre une étude épidémiologique descriptive
multicentrique réalisée en 2015 dans 7 services d’urgences générales de
Lille et de son agglomération.À l’aide d’un questionnaire, les soignants ont interrogé les patients présentant une ou des scarifications auto-infligées datant de moins de 7 jours, isolée(s) ou associée(s) à un autre geste auto-infligé. 58 patients ont répondu. Les résultats, analysés avec l’aide de la Fédération régionale de recherche en psychiatrie et santé mentale (F2RSM) Nord-Pas-de-Calais, évoquent une prépondérance féminine jeune (moins de 36 ans), dont le geste de scarification apparaît non prémédité et réactionnel à une situation de perte symbolique, sans désir de mort significativement associé. Cela peut être un contexte de deuil, de séparation, de difficultés financières, familiales, professionnelles, scolaires ou conjugales. Or, une majorité de ces patients ont été admis pour « TS par scarification », essentiellement des femmes, et une autre partie pour « TS par phlébotomie », surtout des hommes. Cette différence d’attribution entre hommes et femmes, et cette indifférenciation entre tentative de suicide et automutilation procèdent probablement des représentations des soignants sur l’autoagressivité. L’attaque du corps semble questionner une forme de tentative de contenance psychique, lorsque les mots sont insuffisants ou absents (1). Par ailleurs, cette étude montre que pour plus de la moitié des patients, il s’agit d’une récidive de scarification. La douleur infligée au corps, souvent répétée, permet ainsi de pallier les angoisses envahissantes. Il est donc important de considérer ce geste comme une tentative d’apaisement d’une souffrance psychique, afin de proposer au patient une écoute et une aide sécurisantes, laissant progressivement la place aux mots.
Une orientation vers une prise en charge spécifique, du fait de la souffrance psychique et d’un risque élevé de récidive et d’aggravation du geste autoagressif (2), paraît indiquée. Le désamorçage d’une chronicisation de ces comportements nécessite de travailler la demande d’aide dès les urgences. Cette condition est le préalable à une alliance thérapeutique en suivi psychologique ou psychiatrique.
1– Suyemoto KL. The functions of self-mutilation. Clin Psychol Rev. 1998 ; 18(5):531-54.
2– Kuehl S, Nelson K, Collings S. Back so soon : rapid re-presentations to the emergency department following intentional self-harm. N Z Med J. 14 déc 2012 ; 125(1367):70-9
- Les scarifications aux urgences : quelle menace suicidaire ? L. Matina, EPSM Val de Lys Artois, St-Venant, CL Charrel, F2RSM. Poster à télécharger sur http://www.santementale5962.com/nos-travaux/les-themes-d-etude-et-de-recherche/suicide-et-tentative-de-suicide/les-communications-26/article/les-scarifications-aux-urgences
GUADELOUPE Enquête sur les représentations sociales liées à la maladie mentale
SAINT-CLAUDE - Santé mentale en Guadeloupe : on en sait davantage
France-Antilles Guadeloupe 28.04.2016
Y. J. L. guadeloupe.franceantilles.fr*
Avec 34% de la
population concernée, soit près de 100 000 personnes de plus de 18 ans,
les troubles psychiques sont fréquents, aussi bien dans notre région que
dans l'Hexagone. (Illustration DR)
Réalisée
en Guadeloupe il y a deux ans, à la demande de l'ARS, une enquête
décrit les représentations sociales liées à la maladie mentale. Les
résultats seront restitués ce vendredi après-midi à l'Urma.
Ce vendredi, de 14 heures à 18h30, à
l'amphithéâtre de l'Université régionale des métiers de l'artisanat
(Urma), Cité de la connaissance, que les élus, décideurs et acteurs
du champ de la santé mentale, institutions, associations (de
famille, d'usagers, de personnes en situation de handicap, etc.),
professionnels du sanitaire, du médico-social, du social, médecins
généralistes étudiants en soins infirmiers, étudiants
socio-éducatifs, scolaires, et le grand public, pourront tout
savoir sur l'état de la santé mentale en Guadeloupe.
Cet après-midi-là, il sera procédé à la
restitution de l'enquête « Santé mentale en population générale
(SMPG)-Images et réalités » qui a été réalisée en Guadeloupe début
2014, à la demande de l'Agence régionale de santé (ARS), qui l'a
financée. Elle a été coordonnée par le Centre hospitalier de
Montéran (CHM) et son département d'information et de recherche
médicale (DIRM), et réalisée grâce à l'implication des équipes du
CHM, du CHU et de l'IFSI (Institut de formation en soins
infirmiers). Cette enquête décrit les représentations sociales
liées au « fou » , au « malade mental » , au « dépressif » et aux
différents modes d'aides et de soins ; mais aussi la fréquence des
principaux troubles mentaux parmi les adultes en population
générale.
L'AFFAIRE DE TOUS
Plus que jamais, la santé mentale doit être
l'affaire de tous, et pas seulement des professionnels de santé,
généralistes ou spécialistes. Elle relève d'une politique globale,
pour améliorer les représentations sociales des troubles
psychiques, leur dépistage précoce, la réduction des inégalités
d'accès aux soins, le maintien ou le renforcement des liens
thérapeutiques et sociaux.
Avec 34% de la population concernée, soit
près de 100 000 personnes de plus de 18 ans, les troubles
psychiques sont fréquents, aussi bien dans notre région que dans
l'Hexagone. Ils donnent lieu à une importante consommation
médicamenteuse (25,1% des personnes), principalement des
anxiolytiques.
Il faut noter l'importance des troubles
dépressifs, avec 11,5% de la population, soit près de 35 000
personnes, dont beaucoup sont mal ou pas soignées. Or, ces troubles
peuvent être graves, avec notamment 9% de risque suicidaire, soit
27 000 personnes (et 28% de risque suicidaire chez les personnes
déprimées). Les troubles psychiques touchent particulièrement
certaines fractions de la population, qui doivent bénéficier d'une
attention particulière, et notamment les femmes et les
jeunes...
Utile pour la définition des besoins en
santé mentale et nécessaire à l'évaluation des perceptions
relatives à la santé mentale, cette recherche multicentrique se
présente comme un outil d'aide à l'élaboration des politiques
locales et nationales de santé mentale.
Un programme chargé
Entre l'accueil, à 14 heures, et le
cocktail de clôture, à 18 h 30, les invités auront droit, tout au
long de l'après-midi, à de nombreuses interventions. Les discours
protocolaires, on n'y échappera pas ; mais ce qui devrait plutôt
attirer l'attention, ce sera bien sûr la restitution des résultats
de l'enquête, prévue à 15 heures. On parlera de méthodologie,
d'expérience de terrain, des représentations de la santé mentale en
Guadeloupe, des troubles psychiques en Guadeloupe : quelle ampleur,
pour quelle population, avec quels parcours de soins. Et puis, ces
troubles psychiques repérés par le MINI (Mini international
Neuropsychiatric Interview), autant que ces troubles psychiques
dans le Baromètre santé, ces troubles anxieux et ces troubles de
l'humeur... Le risque suicidaire fait aussi partie du programme des
interventions, au même titre que l'alcool et autres drogues, et les
troubles psychotiques. Et on n'oublie pas cette table ronde prévue
à 17 heures, avec pour thème : Quelles solutions, quelles priorités
pour la santé mentale en Guadeloupe ?
USA MOBILISATION CITOYENNE Une équipe USA de rugby contribue à amasser des fonds pour un organisme de bienfaisance de prévention du suicide
Chaque année, l'équipe amateur de 3 eme division au USA, THE NASHVILLE GRIZZLIES RFC joue pour un organisme de bienfaisance de choix, et cette année, le bénéficiaire est la Tennessee Suicide Prevention Network..
THE NASHVILLE GRIZZLIES RFC est un club de rugby masculin de 3 eme Division USA de Rugby. C'est un groupe de diversité ethnique et culturelle, d'hommes gays et hétérosexuels de 19-50 ans.
«Nous
sommes très chanceux d'avoir dans le Tennessee une organisation qui
travaille avec toutes les personnes, y compris la communauté LGBTQ, de
promouvoir les ressources en santé mentale et de la formation de la
prévention du suicide», explique Jon Glassmeyer, président du comité
d'organisation de la Coupe Bingham.
Source info twitter @PlanetRomeo
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