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mardi 30 juin 2015

SUISSE Memoire Le suicidant aux urgences somatiques : les interventions infirmières qui améliorent la prise en charge

Le suicidant aux urgences somatiques : les interventions infirmières qui améliorent la prise en charge
May, Vanessa ; Meyer Vintilescu, Nicoleta ; Bangerter, Gilles (Dir.)
Mémoire de bachelor : Haute Ecole de Santé Vaud, 2014.

Problématique : Le suicide et les tentatives de suicides sont un enjeu majeur en termes de politique de santé. La Suisse connait entre 1300 et 1400 décès imputés chaque année à cette problématique. Ainsi, les professionnels de la santé sont de plus en plus confrontés à des patients qui ont tenté de se suicider. La prise en charge de ces patients représente un défi pour les infirmières1 des urgences qui ne savent souvent pas comment réagir et qui se sentent parfois démunies face à un patient qui ne désire plus vivre. Elles sont alors soumises à un stress qui peut affecter la qualité de la prise en charge. But : l'objectif de cette revue de littérature est de mettre en évidence des interventions qui peuvent améliorer la prise en charge des suicidants par les infirmières aux urgences et diminuer le risque de récidive. Méthode : sept articles ont été sélectionnés, à l’aide de mots-clés et de critères de sélection, dans les bases de données CINAHL et PUBMED/MEDLINE. La lecture critique de ces articles a permis de souligner plusieurs interventions possibles. Résultats : Cinq interventions ont été retenues : l'évaluation des attitudes, l'évaluation du potentiel suicidaire, la formation sur le suicide et les comportements suicidaires, la psychiatrie de liaison comme ressource et la relation d'aide. Conclusion : La mise en place d'interventions, ainsi que la prise en compte des recommandations par les infirmières, lors du premier contact avec les suicidants aux urgences, peuvent contribuer à l’amélioration de leur prise en charge et diminuent, dans une certaine mesure, le risque de récidive.
A consulter http://doc.rero.ch/record/234472?ln=fr
Publié par infosuicide à 16:39
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Libellés : SOINS INFIRMIERS, SUISSE

ETUDE-RECHERCHE FRANCE : Récurrence des tentatives de suicide chez les adolescents et contact avec les cliniciens

dans Journal of Adolescence Volume 43, August 2015, Pages 111–118
"Recurrence of suicide attempt in adolescents lost to contact early by clinicians: The 10-year REPEATERS cohort of French adolescents
Fabienne Ligier a, Francis Guillemin b, Catherine Angot c, Stéphanie Bourion d, Bernard Kabuth c
a Université de Lorraine, Université Paris Descartes, EA 4360 APEMAC, Nancy – CHU de Nancy, Hôpital d'enfants, Service de Psychiatrie pour enfants et adolescents, Nancy, France
b Université de Lorraine, Université Paries Descartes, EA 4360 APEMAC, Nancy - INSERM CIC-EC 1433 – CHU de Nancy, Service d'épidémiologie et évaluation cliniques, Nancy, France
c CHU de Nancy, Hôpital d'enfants, Service de Psychiatrie pour enfants et adolescents, Nancy, France
d Service Médico-Psychologique Régional, Centre Hospitalier de Lorquin, Lorquin, FranceAvailable online 12 June 2015

Article en anglais

Recherche pour déterminer la perte de contact précoce avec les cliniciens après une TS est un facteur de risque à long terme de récidive chez les adolescents et les facteurs associés.

Resumé :
Losing contact with adult suicide attempters in the year after the suicide attempt (SA) increases the risk of recurrence. The situation with adolescents is unknown. We aimed to determine whether being lost to contact early (LCE) by clinicians is a risk factor of long-term SA recurrence among adolescents and the associated factors. Data were collected 10 years after an index SA and a Cox model was used for analysis. Among the 249 SA patients included, 59 (24%) were LCE, the most important risk factor of SA recurrence up to 10 years (hazard ratio [HR] = 2.8 [95% confidence interval (95% CI) 1.4–5.5]; p = .016). Risk factors of being LCE were female sex (odds ratio [OR] = 2.9 [95% CI 1.1–8.2]; p = .009), a psychiatric comorbidity (OR = 2.2 [1.1–4.3]; p = .023) and no family history of suicide (OR = 2.1 [1.1–4.3]; p = .047). These results support the development of preventive actions early after an SA in an adolescent to maintain contact and care.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26073674
Publié par infosuicide à 14:53
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Libellés : ADOLESCENTS, NOTES DE LECTURE, POST-HOSPITALISATION, POST-VENTION, RECHERCHE, RECIDIVE

NOTICE ARTICLE SUISSE « aiRe d’ados » : un collectif au service des réseaux des jeunes suicidants en grandes difficultés

« aiRe d’ados » : un collectif au service des réseaux des jeunes suicidants en grandes difficultés
par Nathalie Schmid Nichols [1]   et Anne Edan [2]
[1]  Psychologue spécialiste en psychothérapie, responsable du Centre d’Etude et de Prévention du Suicide (CEPS – Unité de Crise – Service de psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent – Hôpitaux Universitaires de Genève – Fondation Children Action). CEPS – Unité de Crise Service de Psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent 20, avenue Beau-Séjour 1206 Genève Suisse nathalie.schmidnichols.at.hcuge.ch
[2] Psychiatre pour enfant, adolescents et adultes, médecin adjoint responsable de l’Unité de Crise pour Adolescents (Service de psychiatrie de l’Enfant et de l’Adolescent – Hôpitaux Universitaires de Genève – Fondation Children Action) – anne.edan@hcuge.ch

Psychothérapies 2015/2 (Vol. 35)   Pages : 146
Éditeur : Médecine & Hygiène

Le présent article présente un projet de réseau santé-social, en cours de développement sur le territoire genevois de Suisse francophone, réseau au service des jeunes en grandes difficultés et à risque suicidaire. Ce projet, inspiré de modèles français, doit maintenant être mis à l’épreuve d’une dynamique locale très riche en structures institutionnelles et que la problématique suicidaire met bien souvent en crise lorsque le jeune ne peut s’inscrire dans la prise en charge/soin qui lui est proposée. Porté par un comité de pilotage santé-social, ce dispositif maintenant va s’engager dans la pratique pour être ajusté au gré de l’expérience.



Plan de l'article
« R » comme réseau, filet de sécurité
Le paradoxe du mouvement suicidaire à l’adolescence
Un dispositif santé-social
Une loi pour les réseaux
« aiRe d’ados », « R », « ère » comme…

Rêve
Responsable
Respect
Rencontre
Un réseau divisé
Pour conclure…

Schmid Nichols Nathalie, Edan Anne, « « aiRe d’ados » : un collectif au service des réseaux des jeunes suicidants en grandes difficultés », Psychothérapies 2/2015 (Vol. 35) , p. 107-115
URL : www.cairn.info/revue-psychotherapies-2015-2-page-107.htm.
Publié par infosuicide à 13:10
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Libellés : ADOLESCENTS, SUICIDANTS - CONSOMMATION DE SOINS, SUISSE

lundi 29 juin 2015

DOCUMENT : SUICIDE ET GENES

D'apres article " Suicide – Il cache une vraie maladie"  


publié le 29/06/2015 sur http://www.science-et-vie.com/2015/06/suicide-il-cache-une-vraie-maladie/

Ouverture Suicide
Nous vous proposons de découvrir dans ce document sonore l’article « Suicide – Il cache une vraie maladie », un article de Lise Barnéoud, paru dans Science & Vie n°1171 (avril 2015) http://www.science-et-vie.com/2015/06/suicide-il-cache-une-vraie-maladie/

Publié par infosuicide à 17:13
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Libellés : GENE

BELGIQUE L’Enquête de santé par interview 2013

L’Enquête de santé par interview 2013
INSTITUT DE SANTE PUBLIQUE
Données
Numéro 313 juillet 2015 sur http://educationsante.be/article/lenquete-de-sante-par-interview-2013/


Introduction Pour mieux décider des orientations à donner à leurs politiques, les ministres responsables de la santé publique en Belgique aux niveaux fédéral, régional et communautaire ont commandité en 2013 l’organisation d’une cinquième enquête de santé. Par souci de cohérence et d’économie d’échelle, ils ont décidé de réaliser en commun cette enquête et ont pour ce faire mandaté une seule et même institution. L’organisation de cette enquête de santé publique a été confiée à l’Institut Scientifique de Santé Publique (WIV-ISP).
L’Enquête de santé s’adresse à toutes les personnes qui résident dans le pays, sans restriction d’âge ou de nationalité. Parmi les 8.850 ménages sélectionnés qui ont pu être contactés par un enquêteur, 5.049 (57%) ont marqué leur accord de participer à l’enquête.
Au total, 10.829 personnes ont été interrogées par le biais d’une interview structurée réalisée à domicile: 3.512 personnes résidant en Région flamande, 3.103 personnes résidant en Région bruxelloise et 4.214 personnes résidant en Région wallonne. Des estimations représentatives au niveau du pays et de chacune des régions peuvent être obtenues grâce à la pondération des données collectées.

Méthodologie

Bien que la Belgique dispose déjà de nombreuses informations en matière de santé publique, une enquête de population permet d’apporter une plus-value considérable pour les raisons suivantes:

  • elle offre une description de l’état de santé de la population dans son ensemble, et ce du point de vue des personnes qui sont elles-mêmes concernées;
  • l’information touche l’ensemble de la population, y compris les personnes qui n’ont pas recours, ou rarement, aux services de soins;
  • elle offre également la possibilité d’établir un lien entre toute une série de facteurs liés à la santé;
  • enfin, le fait de répéter l’enquête de manière périodique permet de suivre dans le temps l’évolution des indicateurs de santé et de leurs déterminants.
Les résultats de l’Enquête de santé par interview doivent être interprétés dans un cadre précis.
Tout d’abord, il existe une composante subjective (il s’agit de ce que les personnes interrogées ont bien voulu déclarer). Par ailleurs, il faut rappeler que les résultats sont extrapolés sur la population totale à partir d’un échantillon, ce qui implique une certaine marge d’erreur. Ce phénomène est lié au fait que la représentativité de l’échantillon ne peut jamais être garantie à 100%, et ce malgré tous les efforts consentis pour en améliorer la qualité. Il est lié aussi à des raisons d’ordre purement statistique.
Il est également important de mentionner que les résultats sont des estimations; ces dernières peuvent être légèrement différentes de ce qu’on aurait obtenu si on avait interrogé l’ensemble de la population. Ceci est d’autant plus vrai que le nombre de personnes sur lequel on se base pour présenter les résultats est relativement faible.
Dans l’Enquête de santé 2013, 10.829 personnes ont été interrogées par le biais d’interviews structurées à domicile durant toute l’année 2013. Ces personnes ont été choisies au hasard parmi tous les habitants du pays. Les résultats donnent donc une image représentative de la santé de la population. Toutes les personnes reprises dans le Registre national de la population faisaient partie de la base de sondage, à l’exception des personnes qui résidaient dans une institution (sauf les personnes vivant dans une maison de repos ou de repos et de soin), une communauté religieuse de plus de huit personnes ou une prison.
Le profil de l’échantillon au point de vue démographique a suivi autant que possible celui de la population totale de la Belgique. La sélection aléatoire des ménages a été faite sur la base du Registre national de la population, après stratification par région, par province et par commune (échantillonnage systématique).
L’échantillon de base était de 3.500 en Flandre, 3.500 en Wallonie et 3.000 à Bruxelles. Au sein de chaque région, le nombre de personnes sélectionnées par province était proportionnel au nombre total d’habitants de chacune d’elles.
En outre, les provinces qui le souhaitaient pouvaient contribuer au financement d’un échantillon supplémentaire pour obtenir des estimations plus précises au niveau de leur propre population. La Province du Luxembourg a fait valoir son droit en la matière en finançant 600 interviews supplémentaires. Ce qui signifie que le nombre total de participants prévus en Région wallonne était de 4.100 participants.
Le mode de sélection des villes ou des communes dans chaque province a été adapté de façon telle qu’aussi bien les grandes villes que les petites communes puissent être représentées. Dans chaque ville ou commune sélectionnée, au moins 50 personnes devaient être interrogées. Pour atteindre cet objectif, des ménages ont été sélectionnés et, au sein de chaque ménage, quatre personnes au maximum devaient être interrogées.
La personne de référence du ménage et, le cas échéant, le/la partenaire devaient toujours figurer parmi les personnes interrogées. Au final 3.512 interviews ont été réalisées en Région flamande, 4.214 en Région wallonne et 3.103 en Région bruxelloise.
Afin de produire des résultats représentatifs pour l’ensemble du pays, mais aussi au niveau de chaque région, un facteur de pondération a été attribué à chaque individu qui a participé à l’enquête. Ce facteur est calculé sur la base de la probabilité de sélection de l’individu au sein du ménage, de la commune, de la province, de la région et du trimestre au cours duquel l’interview a eu lieu.
Le but poursuivi est bien entendu d’obtenir un échantillon dont la composition soit aussi proche que possible de la composition de la population belge; il n’est cependant pas possible de réaliser un échantillon totalement représentatif. Par exemple, les personnes qui ne sont pas inscrites au niveau du Registre national de la population ne sont bien entendu pas reprises non plus dans l’échantillon. Par ailleurs, certains ménages n’ont pas pu être contactés.
Enfin, la participation à l’enquête n’étant pas obligatoire, 57% seulement des ménages qui ont pu être contactés ont accepté de participer à l’enquête. 43% des ménages contactés ont donc refusé de participer à l’enquête pour différentes raisons, le plus souvent par manque d’intérêt ou de temps.
En prévision de ces refus, et afin de produire malgré tout des résultats de qualité, des ménages de remplacement ont été sélectionnés dès le départ pour chaque ménage qui devait participer à l’enquête. Ces remplaçants ont été sélectionnés en fonction de caractéristiques similaires au ménage de départ: habiter la même commune, avec le même nombre de personnes dans le ménage et le même âge pour la personne de référence. Dès qu’un ménage s’avérait injoignable (après plusieurs tentatives de contact) ou refusait de participer, un ménage de remplacement était choisi.
Le questionnaire de l’Enquête de santé comporte trois parties:

  • la première consiste en une collecte d’un nombre de caractéristiques du ménage: sa composition, le revenu mensuel, les dépenses de santé, etc. Toutes les questions étaient posées par l’enquêteur à la personne de référence ou à son/sa partenaire;
  • la deuxième partie concerne l’état de santé et la consommation de soins des individus. Les questions étaient aussi posées par l’enquêteur à chaque membre (sélectionné) du ménage. Si la personne n’était pas en état de répondre elle-même, pour cause de maladie ou d’absence prolongée par exemple, ou si elle était âgée de moins de 15 ans, une autre personne répondait à sa place, le plus souvent un autre membre du ménage;
  • enfin, chaque participant âgé de 15 ans et plus remplissait lui-même un questionnaire concernant des sujets plus sensibles comme la santé mentale, la consommation de tabac ou d’alcool, etc.
Dans le cadre de l’Enquête de santé 2013, les informations qui concernent les deux premières parties du questionnaire ont été, pour la première fois, collectées auprès des répondants via un entretien assisté par un ordinateur (CAPI, Computer Assisted Personal Interview). Grâce à un programme développé dans l’application Blaise®, les enquêteurs n’utilisent plus les questionnaires papier comme ce fut le cas pour les enquêtes précédentes. Cette technique permet de faciliter leur travail, réduit le risque de perte des questionnaires et diminue le risque d’erreur lors de l’encodage des données.
En ce qui concerne la troisième partie (l’auto-questionnaire), il n’y a pas eu en 2013 de modification de l’approche utilisée pour la collecte de ce type de données, laquelle repose toujours sur l’utilisation de questionnaires papier.

Les principaux résultats


Santé subjective

La santé subjective est une thématique qui est très souvent abordée dans les enquêtes de santé. Ce concept repose sur l’appréciation réalisée par l’individu lui-même de sa propre situation. Il s’agit donc d’une approche totalement subjective qui semble toutefois englober tant la santé physique que la santé psychique et la vie sociale.
Un grand nombre de publications ont permis de démontrer qu’il existe un lien étroit entre la santé subjective et la présence de maladies, la consommation de soins et la mortalité.
Voici ce que cela donne :

  • 22,1 %, soit plus d’une personne sur cinq en Belgique déclarent que leur état de santé est moyen, mauvais ou même très mauvais.
  • L’appréciation de l’état de santé est toujours moins favorable chez les femmes que chez les hommes, mais la différence est plus faible que par le passé.
  • Mauvaise santé et âge avancé vont de pair.
  • Il existe un lien très clair entre état de santé et niveau social.
  • Les Flamands sont en général plus satisfaits de leur état de santé mais la différence avec la Wallonie diminue.
  • La proportion de personnes en mauvaise santé diminue lentement au fil du temps.

Maladies chroniques

Les maladies chroniques concernent en premier lieu les maladies cardio-vasculaires, le cancer, les pathologies respiratoires chroniques et le diabète. Toutefois, de nombreuses autres maladies comme les problèmes psychiques, l’arthrose, les affections rénales, etc. font également partie de ce groupe. Les maladies chroniques ont des conséquences spécifiques sur le fonctionnement au quotidien et la mesure dans laquelle il est nécessaire de faire appel aux soins de santé.
L’Enquête de santé fournit des informations sur la présence des maladies chroniques dans la population générale en se basant sur les déclarations des patients. Il ne s’agit donc pas d’un diagnostic médical. Toutefois, les données de l’enquête sont d’une grande importance, parce qu’elles fournissent des indications sur le fait que les personnes estiment être ou non atteintes d’une maladie chronique. En outre, elles sont souvent la seule source d’information sur l’ordre de grandeur des problèmes de santé dans la population générale.
Plus d’une personne sur quatre âgée de 15 ans et plus indique souffrir d’une maladie chronique, définie dans l’Enquête de santé comme une maladie de longue durée, une affection de longue durée ou un handicap.
Les maladies chroniques les plus fréquentes – tant dans la population générale que chez les personnes de 65 ans et plus – sont les douleurs au bas du dos, l’arthrose, l’hypertension artérielle ainsi que l’hypercholestérolémie.
Entre 1997 et 2013, le nombre de personnes souffrant d’hypertension artérielle, de diabète, d’arthrose et de troubles thyroïdiens a augmenté de façon systématique dans la population générale.
La plupart des maladies chroniques sont plus fréquentes chez les personnes avec un niveau d’éducation faible que chez les personnes avec un niveau d’éducation supérieur. Toutefois, l’allergie est plus fréquente chez les personnes avec un niveau d‘éducation plus élevé.
Plus d’une personne sur trois âgée de 65 ans et plus est atteinte de deux maladies chroniques au moins (multimorbidité).
Le nombre croissant de personnes qui souffrent de multimorbidité montre que des soins intégrés dans lesquels interviennent plusieurs prestataires seront de plus en plus nécessaires à l’avenir.

Limitations fonctionnelles de longue durée

16% de la population âgée de 65 ans et plus indique devoir rester à la maison en raison de limitations fonctionnelles ou même d’être en permanence dans un fauteuil ou de devoir rester au lit.
Un peu moins de la moitié de la population âgée de 65 ans et plus indique avoir des difficultés à exécuter ou ne peut plus du tout exécuter au moins une activité de base.
Plus d’un quart de la population âgée de 65 ans et plus indique avoir des difficultés à exécuter ou ne peut plus du tout exécuter au moins une activité de la vie quotidienne.
Un peu moins de la moitié de la population âgée de 65 ans et plus indique avoir des difficultés à exécuter ou ne peut plus du tout exécuter au moins une tâche domestique.
En règle générale, les femmes indiquent avoir plus souvent des limitations fonctionnelles que les hommes (surtout en ce qui concerne les limitations fonctionnelles sévères).
La relation entre l’âge et les limitations fonctionnelles de longue durée est très évidente: à partir de 75 ans surtout, on constate une forte augmentation du pourcentage de personnes avec des limitations fonctionnelles de longue durée.
Chez les personnes de 65 ans et plus, on constate un gradient social évident dans la fréquence des limitations fonctionnelles: la prévalence des limitations est toujours plus élevée parmi les personnes peu instruites que parmi les plus instruites.

Bien-être et vitalité

Dans l’Enquête de santé, l’état de bien-être (ou de mal-être) psychologique est évalué par le biais d’un questionnaire à 12 items représentant une série de symptômes commune à l’ensemble des troubles psychopathologiques, sans diagnostic précis. Un score plus élevé indique un degré de mal-être plus important. L’indicateur relatif aux difficultés psychologiques présenté est établi à partir d’un seuil de deux symptômes ou plus de ce questionnaire, une définition conseillée pour les études sur la population générale. Un seuil de quatre symptômes ou plus laisse suspecter une psychopathologie.
L’échelle de vitalité comprend quatre items mesurant le niveau d’énergie vitale (versus de fatigue/d’épuisement) des individus. Les indicateurs représentent soit le score moyen d’énergie vitale, soit la proportion de personnes ayant un niveau optimal d’énergie.
L’état de bien-être et le niveau d’énergie vitale de la population âgée de 15 ans et plus se sont détériorés en Belgique au cours des cinq dernières années.
En 2013, un tiers de la population de 15 ans et plus éprouve des difficultés psychologiques, telles que se sentir stressé(e) ou tendu(e), être malheureux(se) ou déprimé(e) ou ne pas pouvoir dormir à cause de ses soucis.
Les femmes plus que les hommes sont confrontées à ce type de difficultés psychologiques. Elles manifestent aussi en moyenne un niveau d’énergie inférieur à celui des hommes.
Les difficultés psychologiques et un moindre niveau d’énergie vitale sont plus courants dans la population d’âge actif (de 25 à 55 ou 65 ans).
Les personnes issues des classes sociales les plus défavorisées connaissent davantage des difficultés psychologiques et un moindre degré d’énergie vitale.
Les indicateurs de bien-être psychologique et d’énergie vitale affichent des résultats plus favorables en Flandre que dans les deux autres régions du pays.

Troubles émotionnels

Dans l’Enquête de santé, les ‘troubles émotionnels’ recouvrent les troubles dépressifs, anxieux et/ou du sommeil. Le questionnaire utilisé pour évaluer ces affections ne permet pas de poser un diagnostic, mais donne une indication sur la problématique en jeu à partir de la présence et de la sévérité des symptômes spécifiques recensés.
Les résultats portent sur la proportion de personnes qui présentent un ensemble de symptômes suffisamment intenses pour que ces individus soient considérés comme ayant le trouble défini.
Il apparaît que:

  • 10% de la population de 15 ans et plus éprouve des manifestations anxieuses, 15% présente les signes d’un trouble dépressif et 30% rapporte des troubles du sommeil;
  • la prévalence de ces troubles au sein de la population de 15 ans et plus a fortement augmenté au cours de ces cinq dernières années, et ce, dans toutes les régions du pays;
  • en 2013, la prévalence des troubles émotionnels au sein de la population de 15 ans et plus a sensiblement augmenté parmi les jeunes de 15-24 ans, qui semblaient relativement préservés auparavant;
  • les femmes sont plus nombreuses que les hommes à connaître des troubles émotionnels;
  • les personnes moins scolarisées sont plus vulnérables face aux troubles émotionnels;
  • les habitants de la Flandre sont moins nombreux à connaître des troubles d’ordre émotionnels que les habitants des deux autres régions du pays.
Par ailleurs, les troubles du comportement alimentaire (anorexie-boulimie, non différenciées) sont mesurés pour la première fois par le biais d’un instrument de dépistage à cinq items (SCOFF). Ce trouble est considéré comme étant probablement présent si le répondant cumule au moins deux parmi les cinq symptômes. Ces troubles apparaissent plus fréquemment parmi les jeunes femmes de 15 à 34 ans, les personnes moins instruites et vivant en ville.

Comportements suicidaires

Les comportements suicidaires et le suicide accompli constituent un problème important de santé publique et leur prévention est devenue une priorité selon l’OMS. Le taux de suicide en Belgique, parmi les plus élevés d’Europe, est estimé à 18 pour 100 000 habitants en 2010. Une tentative de suicide est le principal facteur de risque de suicide ultérieur dans la population générale.
Les idées suicidaires et tentatives de suicide récentes (<12 mois) concernent autant les hommes que les femmes (au sein de la population âgée de 15 ans et plus).
L’âge critique pour les idées suicidaires et tentatives de suicide se situe entre 45 et 54 ans.
Les idées suicidaires ne sont pas liées au niveau d’éducation, mais le passage à l’acte le serait: les personnes avec un niveau universitaire sont moins nombreuses à avoir tenté de mettre fin à leurs jours, que ce soit au cours de leur vie ou des 12 derniers mois.
La région flamande obtient des chiffres plus favorables que les deux autres pour les indicateurs de parasuicide au cours de l’existence, mais les différences régionales ne sont plus observées pour les pensées et tentatives de suicide récentes (< 12 mois).
Le nombre de tentatives de suicide au cours des 12 derniers mois rapporté en 2013 n’a pas augmenté par rapport à 2004 et 2008.

Consommation de médicaments psychotropes

La prise de somnifères et/ou de calmants - utilisés pour le traitement de l’anxiété, du stress et des troubles du sommeil - n’est pas sans risque. En effet, ces substances peuvent entraîner une accoutumance et une dépendance, et peuvent provoquer des troubles de la mémoire ou de la concentration, ainsi qu’une altération des fonctions psychomotrices augmentant le risque de chutes ou d’accidents.
D’autres médicaments psychotropes qui ne sont pas sans danger sont les antidépresseurs. Leur utilisation adéquate doit reposer sur une évaluation clinique rigoureuse et un suivi clinique vigilant, vu les effets indésirables qui peuvent survenir.
La consommation de médicaments psychotropes dans la population âgée de 15 ans et plus se base dans l’Enquête de santé sur la consommation rapportée de sédatifs (somnifères ou tranquillisants) et d’antidépresseurs au cours des deux semaines ayant précédé l’enquête.
Dans la population âgée de 15 ans et plus, les femmes (20%) sont plus nombreuses que les hommes (12%) à consommer des médicaments psychotropes, qu’il s’agisse de sédatifs ou d’antidépresseurs.
La consommation de psychotropes augmente considérablement avec l’âge. Ainsi, chez les personnes âgées de 75 ans et plus, environ 40% des femmes et 26% des hommes ont recours à des tranquillisants ou des somnifères.
La prise de médicaments psychotropes est plus fréquente dans les ménages à plus faibles niveaux d’éducation.
Les citoyens wallons (10%) sont proportionnellement plus nombreux que les citoyens des deux autres régions (7%) à consommer des antidépresseurs.
Au niveau national, l’utilisation d’antidépresseurs a progressé au cours de ces 15 dernières années, passant de 3,9% de consommateurs en 1997 à 7,6% en 2013.
Entre 2004 et 2013, l’utilisation de sédatifs (somnifères et tranquillisants) est restée stable chez les Flamands et a même reculé chez les Bruxellois et les Wallons.

Douleur physique

La douleur physique est une dimension importante du bien-être général. Elle a un impact négatif considérable sur la qualité de vie, tant du point de vue physique et social que sur le plan mental. En dehors de son impact social, la douleur physique présente également un impact économique important. À cet égard, la reconnaissance de la douleur en tant que problème de santé publique est cruciale.
Dans la population âgée de 15 ans et plus, les femmes éprouvent plus de douleurs physiques que les hommes.
Plus une population est vieillissante, plus la prévalence des problèmes de douleur est élevée.
Les personnes moins instruites souffrent davantage de douleur physique que les plus instruites.
La prévalence de la douleur physique est plus faible en région flamande qu’en région wallonne et en région bruxelloise.
Outre les limitations physiques qu’elle impose, la douleur physique présente également des conséquences négatives pour la santé mentale.

Qualité de vie liée à la santé

La qualité de vie liée à la santé (QdVS) est un concept complexe et multidimensionnel qui va au-delà des indicateurs traditionnels de morbidité et de mortalité pour mesurer l’impact de l’état de santé sur la qualité de vie. Ce concept a initialement été développé pour des objectifs économiques. En effet, la QdVS permet une meilleure rationalisation des soins de santé grâce à l’intégration de cet indicateur dans les analyses médico-économiques. Mais en plus de son utilisation économique, ce concept est de plus en plus utilisé actuellement pour décrire la QdVS au niveau de la population.
En 2013, l’Enquête de santé belge a intégré pour la première fois le EQ-5D, une échelle de qualité de vie standardisée, développée par un groupe européen. Il s’agit d’un questionnaire simple et rapide qui permet d’évaluer l’impact de l’état de santé sur la qualité de vie selon cinq dimensions: mobilité, autonomie personnelle, activités courantes, douleurs/gêne et anxiété/dépression.
Dans la population âgée de 15 ans et plus, les hommes rapportent une meilleure qualité de vie liée à la santé (QdVS) que les femmes.
Le niveau de QdVS diminue avec l’âge.
Les personnes plus instruites rapportent une meilleur QdVS que les moins instruites.
La QdVS est meilleure en Flandre qu’à Bruxelles et en Wallonie.

Arrêt de travail pour cause de problèmes personnels de santé

L’arrêt de travail pour cause de maladie est une problématique qui occupe une place de plus en plus importante dans l’actualité socioéconomique belge et européenne. De nombreuses causes possibles sont évoquées pour expliquer l’absentéisme et elles concernent principalement le contexte social comme le régime de sécurité sociale, les caractéristiques de l’activité professionnelle, comme la charge de travail et des facteurs individuels comme l’âge et l’état de santé. Dans l’Enquête de santé, l’attention est uniquement axée sur les problèmes personnels de santé qui sont la cause d’un arrêt de travail.
L’arrêt de travail pour cause de maladie est un problème fréquent: 36% des hommes actifs et 44% des femmes actives sont absents du travail pour cause de maladie au moins une fois sur une base annuelle.
Il ne présente en règle générale aucun lien avec l’âge. La fréquence relativement élevée (au moins une fois) de l’absence des jeunes femmes actives constitue une exception.
En moyenne, les hommes actifs sont en arrêt de travail pour cause de maladie huit jours par an; chez les femmes actives, il s’agit en moyenne de 15 jours.
Chez les femmes, la moyenne du nombre de jours d’arrêt de travail pour maladie est la plus élevée dans la tranche d’âge des 15 à 34 ans; chez les hommes le nombre moyen est le plus élevé dans la tranche d’âge des 55 à 64 ans.

Référence

Van der Heyden J., Charafeddine R. (éd.) Enquête de santé 2013. Rapport 1: Santé et Bien-être. Résumé des principaux résultats
Le rapport complet avec l’analyse des résultats, de même que le rapport succinct, peuvent être consultés sur le site web de l’Enquête de santé à l’adresse http://his.wiv-isp.be/fr.
 


HISIA, le site web interactif

Les chercheurs et le public peuvent effectuer eux-mêmes certaines analyses via le site web interactif de l’Enquête de santé, à l’adresse http://hisia.wiv-isp.be. Les procédures à suivre pour réaliser des analyses sont expliquées sur le site.
L’utilisation de ce site est très simple et ne nécessite pas de connaissance approfondie en statistique. Le type d’analyses pouvant être effectuées est toutefois limité. Il s’agit essentiellement de prévalence, de distribution ou de moyennes pour une série d’indicateurs et ce en fonction de deux ou trois paramètres (comme l’âge, le sexe, etc.).
Les résultats obtenus sont pondérés pour être représentatifs de la population belge; par contre, ils ne sont pas standardisés pour l’âge ou pour le sexe.
Publié par infosuicide à 15:36
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Libellés : BELGIQUE

AUSTRALIE ETUDE identifier les moyens de prévenir les suicides masculins

Les hommes sont plus susceptibles de parler des pensées suicidaires avec des proches qu avec un médecin, d'après une étude du Black Dog Institute
D'après article "Men more likely to talk about suicidal thoughts with loved ones than doctor, Black Dog Institute study finds" Par Adrienne Francis
http://www.abc.net.au/news/2015-06-25/suicide-study-by-black-dog-institute-looks-to-assist-men/6571258  25/06/2015

Une étude nationale australienne a trouvé que les hommes sont plus susceptibles de discuter des idées suicidaires avec des connaissances de confiance comme la famille, des amis ou des partenaires qu'avec des cliniciens de la santé.

La recherche de l'Institut Black Dog sans but lucratif vise à identifier les moyens de prévenir les suicides masculins, qui représentent environ 75 pour cent du chiffre total australien.

Le chercheur principal et psychologue clinicien le docteur Michael joueur dit que l'étude a montré que beaucoup d'hommes avaient besoin d'aide, mais ne l'obtenaient pas.

«Les hommes veulent réellement de l'aide," at-il dit.

"Malheureusement, nous ne disposons pas d'un dialogue ou d'opportunités vraiment bons pour que les hommes parlent de leur santé mentale.

"Cela remonte à la maniere dont nous avons été élevés.

"Nous n'avons pas eu vraiment de bons modèles qui ont montré des moyens adéquats pour faire face aux problèmes de santé mentale."

Le taux de suicide est le double de ce que l'autoroute est, pourtant, nous n'avons pas des annonces à la télévision comme nous disposons pour les décès sur la route.
Dr Michael Player, Black Dog Institute

Dans le cadre de l'étude de l'institut, 35 hommes qui avaient tenté de prendre leur propre vie dans les six à 18 derniers mois, ainsi que 47 amis et membres de la famille d'hommes dans cette situation, ont été interrogés en face-à-face.

Les personnes interrogées étaient d'une variété de milieux urbains et régionaux à l'échelle nationale.

Il y avait aussi une enquête en ligne sur l'ensemble de l'Australie menée dans le cadre de la recherche qualitative.

«Nous cherchions comment interrompre une tentative de suicide, ce qui a aidé les hommes et ce qui a gardé en sécurité", a déclaré le Dr Player.

le Non-jugement, la discussion honnête fonctionnent mieux

Dr Michael Player a dit qu'ils ont trouvaient que  la majorité des hommes voulait une intervention pour prévenir le suicide, mais qu'ils ne voulaient pas demander de l'aide.

les Moyens pour aider les hommes à risque de suicide identifiés par l'étude de Black Dog Institute

Pour interrompre une humeur se développant en spirale, les hommes de l'enquête ont parlé de l'importance de:

  • Être écouté avec un esprit ouvert sans jugement
  • des Activités de liaison comme le camping et la pêche, avec une occasion de parler à quelqu'un de confiance et être respectédes Activités physiques spontanées
  • restituer à travers un travail bénévole un sentiment de contribution et de connectivité

les Hommes ont suggéré que la famille et les amis pourraient interrompre une humeur se développant en spirale par:

  • Organiser des activités pour «la faire sortir de leur tête»
  • Donner aux hommes des commentaires positifs sur leur valeur et créer un sanctuaire où les hommes peuvent parler des sentiments pénibles
  • Augmenter leur connectivité sociale
  • Normaliser la détresse

Des stratégies spécifiques recommandées pour les amis et la famille des hommes à risque:

  • Fixer de petits objectifs réalisables et les encourager à faire plus de choses pour eux-mêmes afin de contribué à bâtir une dynamique positive
  • Certains hommes ont décrits une simple visite d' amis ou de la famille comme une interruption utile de la pensée négative
  • Aide professionnelle
  • Le renforcement des compétences dans la régulation des émotions et la construction d'un vocabulaire pour aider les hommes à parler des sentiments

La prévention du suicide pour les hommes à risque de suicide aiguë implique des mesures plus traditionnelles:

  • Des admissions involontaires en établissements de santé mentale
  • retrait des moyens de se nuire
  • Ne pas laisser de côté
  • Explorer et parler de l'impact de son suicide sur les autres

"Il est clair sur le papier - que les hommes veulent à accepter l'aide" at-il dit.

"Mais par la bonne personne, en qui ils ont confiance et la respecte."

Dr Player, qui est un psychologue clinicien dans le système de santé publique de Sydney, a déclaré qu'il y avait un bel équilibre à trouver entre aider et être intrusif.

"Mais si vous remarquez quelque chose, vous devez poser la question,» dit-il.

"Nous avons souvent constaté que le déclencheur pour une tentative était quelque chose qui pris isolement était vraiment très mineur, mais était juste une partie d'un train de contraintes ou d'événements désagréables sur une période de temps.

"Vous devez regarder la chronicité de l'humeur en détresse, l'isolement de quelqu'un et les stratégies de faire face comme l'évitement et indifférence"

Ce qui Aggrave le problème, de nombreux amis et membres de la famille sont réticents ou ont peur d'interroger les hommes sur leurs pensées de suicide.

"Pas de jugement, être honnête et ouvert, l'appeler, peut aider," a déclaré le Dr Player.

"Le fait d'être directe et ouvrir un espace pour qu'un homme parle sera suffisant pour provoquer une réaction positive."

Dr Player a déclaré que les hommes interrogés ont déclaré se sentir nettement mieux après avoir parlé de leur pensée suicidaire, en opposition au sentiment de se sentir à un plus grand risque d'automutilation.

"Quatre-vingt-deux pour cent des personnes qui se trouvaient dans l'étude avait effectivement une amélioration de l'humeur après avoir pris réellement part à l'étude," il a dit.

"Ce ne fut pas un point négatif qui a rendu les gens déprimés, ce qui était une conclusion très positive que nous espérons sera traduite à d'autres recherches.

"Tout le monde a souligné qu'il faut continuer à persister, même si il semble que l'homme ne veut pas."

Hôpital, le dépistage du suicide par la médecine générale est recommandé


L'Institut Black Dog dit que l'étude a mis en évidence combien le travail a été nécessaire pour mieux cibler les programmes pour les hommes à risque de suicide.

Photo: Dr Michael player de l'Institut Black Dog dit que les hommes ont tendance à transformer leur douleur émotionnelle en douleur physique. (Fourni: Noir Institut Dog)

Dr Player dit que les hommes affichent souvent des signes d'adaptation inutiles comme boire, la violence, la consommation de drogues et d'autres automutilations.

"Les hommes ont tendance à transformer leur douleur émotionnelle dans la douleur physique qui est quelque chose qu'ils se sentent plus aptes à traiter,» dit-il.

"Les hommes donnent souvent des signes d'alerte subtiles, et ils ont tendance à avoir des signes avant-coureurs autodestructeurs comme l'extériorisation des comportements comme l'isolement et plus d'irritabilité.

"Nous devons donc dépister les blessures auto-infligées ou des blessures à la suite de la prise de risque ou de l'automutilation ou des choses comme ça."

Dr player a déclaré que les résultats suggèrent que les hommes doit etre examiné plus proactivement par les hôpitaux et les autorités sanitaires.

«Nous devons être plus proactifs sur le dépistage du suicide des hommes quand ils se présentent à un médecin ou aux services d'urgence avec ce genre de comportements d'extériorisation," at-il dit.

la prévention de suicide est une cause peu «populaire»

Dr Player a exprimé sa frustration quant au manque de débat national sur la prévention du suicide, par rapport à d'autres grandes questions sociales comme la violence conjugale et familiale.

"Malheureusement, nous avons quelques-suicides de grande envergure ou il y a un peu de projecteur sur une courte période de temps, mais la prévention ne semble pas retenir l'intérêt des gens," at-il dit.

"Le taux de suicide est le double de ce que le la route est, pourtant, nous n'avons pas des annonces à la télévision que nous disposons pour les décès de la route."

Beyond Blue de the Movember Foundation assure le financement 100.000 dollars pour la recherche qualitative.

Il dit que l'étude a été publiée en open-source Journal PLOS1, car il offre un examen et  l'édition chronologie rapide et était disponible pour tout le monde.

***
Référence étude citée


What Interrupts Suicide Attempts in Men: A Qualitative Study
Michael J. Player, Judy Proudfoot, Andrea Fogarty, Erin Whittle, Michael Spurrier, Fiona Shand, Helen Christensen, Dusan Hadzi-Pavlovic, Kay Wilhelm Black Dog Institute, Sydney, Australia Michael J. Player, Judy Proudfoot, Andrea Fogarty, Erin Whittle, Michael Spurrier, Fiona Shand, Helen Christensen Centre for Research Excellence in Suicide Prevention, Sydney, Australia Michael J. Player, Judy Proudfoot, Andrea Fogarty, Erin Whittle, Fiona Shand, Helen Christensen, Dusan Hadzi-Pavlovic Faculty of Medicine, University of New South Wales, Sydney, Australia Kay Wilhelm Faces in the Street, O’Brien Centre, St Vincent’s Hospital, Darlinghurst, Sydney, Australia
Corresponding Author
Email: m.player@unsw.edu.au
http://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0128180
Published: June 19, 2015
Publié par infosuicide à 14:05
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Libellés : AUSTRALIE, GENRE

COURS EN LIGNE LA CRISE SUICIDAIRE

Intervenir auprès d’une  personne  en crise suicidaire  Professeur Jean-Louis Terra
Centre hospitalier Le Vinatier Laboratoire « Santé, Individu, Société » EA SIS 4129
Universités Lyon 1 Docteur Christophe Pigache – Docteur Gilbert Souweine
G.SOUWEINE et C.PIGACHE - DOCUMENT powerpoint
http://spiralconnect.univ-lyon1.fr/spiral-files/download?mode=inline&data=4306449

Publié par infosuicide à 11:39
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Libellés : REPERAGE EVALUATION CRISE SUICIDAIRE, RESSOURCES DOCUMENTAIRE

CANADA L'Association des hôpitaux de l'Ontario commence son travail sur la prévention du suicide

L'Association des hôpitaux de l'Ontario commence son travail sur la prévention du suicide

source http://www.newswire.ca/fr/story/1563099/l-association-des-hopitaux-de-l-ontario-commence-son-travail-sur-la-prevention-du-suicide

TORONTO, le 26 juin 2015 /CNW/ - Le groupe d'étude sur les normes en matière de prévention du suicide nouvellement créé par l'Association des hôpitaux de l'Ontario (OHA) a commencé aujourd'hui son travail visant à élaborer des normes obligatoires en matière de prévention du suicide pour les hôpitaux de l'Ontario. L'OHA a été mandatée plus tôt cette année par le ministère de la Santé et des Soins de longue durée pour élaborer ces nouvelles normes obligatoires.
« Les hôpitaux de l'Ontario s'engagent à protéger les patients tout en prodiguant des soins de qualité supérieure », a déclaré le Dr Ian Dawe, président du groupe d'étude sur les normes en matière de prévention du suicide, médecin-chef au Centre des sciences de la santé mentale Ontario Shores, et chef de l'unité de santé mentale et des dépendances au RLISS du Centre-Est. « Alors que des politiques rigoureuses sont déjà en place pour évaluer et surveiller le risque de suicide, les hôpitaux de l'Ontario sont des chefs de file en matière de soins aux patients et s'engagent à analyser régulièrement nos processus afin de s'assurer que nous respectons les normes les plus élevées en matière de sécurité des patients et de soins. »
Le groupe d'étude de l'OHA étudiera les politiques et protocoles pour la prévention du suicide qui sont actuellement en vigueur dans les hôpitaux de l'Ontario et examinera les pratiques exemplaires appliquées partout dans le monde. D'ici 2016, il aura établi de nouvelles normes cohérentes qui pourront être appliquées à l'échelle de la province pour réduire le nombre de personnes qui meurent par suicide pendant qu'elles reçoivent des soins à l'hôpital.
L'amélioration des services et des soins destinés aux personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale et de dépendance fait partie du Plan d'action en matière de soins de santé, Priorité aux patients du gouvernement et de la Stratégie ontarienne globale de santé mentale, Esprit ouvert, esprit sain.
Selon le ministère de la Santé et des Soins de longue durée, environ 30 % des Ontariens connaîtront un problème de santé mentale ou de toxicomanie au cours de leur vie, et un Ontarien sur 40 présentera un grave problème de santé mentale.
« Le suicide est un acte extrêmement tragique et dévastateur pour la famille et les amis du patient, ainsi que pour les fournisseurs de soins », a affirmé Anthony Dale, président-directeur général, Association des hôpitaux de l'Ontario. « La sécurité des patients est la priorité absolue des hôpitaux de l'Ontario et nous travaillons constamment avec ceux-ci pour améliorer les soins prodigués. »
L'OHA collabore étroitement avec le gouvernement depuis un certain nombre d'années pour améliorer les soins en santé mentale. En 2011, l'Institut canadien pour la sécurité des patients et l'OHA ont publié un document pour aider les organismes de soins de santé canadiens à normaliser le processus d'évaluation du risque de suicide en leur présentant un cadre de travail et en créant un inventaire d'outils d'évaluation fréquemment utilisés.
Les membres du groupe d'étude sur les normes en matière de prévention du suicide comprennent les suivants :
  • Dr Ian Dawe, médecin-chef, Centre des sciences de la santé mentale Ontario Shores et chef de l'unité de santé mentale et des dépendances, RLISS du Centre-Est (président du groupe d'étude de l'OHA);
  • Margaret Doma, directrice, Risques, Affaires légales et médicales, Centre de soins de santé St-Joseph, Hamilton;
  • Dre Jennifer Brasch, professeure agrégée, Département de psychiatrie et de neurosciences comportementales, Université McMaster;
  • Ann Pottinger, directrice, Qualité, sécurité des patients et risque, Centre de toxicomanie et de santé mentale (CAMH);
  • Dr David Koczerginski, chef de psychiatrie, directeur médical, Santé mentale et dépendances, William Osler Health System
  • Beth Hamer, éducatrice et experte-conseil auprès du personnel infirmier, Centre de santé mentale Waypoint
  • Dr Paul Links, président/chef, Département de psychiatrie, St. Joseph's Health Care, London et London Health Sciences Centre
  • Mark Henick, chef des programmes, La santé mentale au travail, Association canadienne pour la santé mentale, Ontario
  • Dr Simon Hatcher, Services de santé Royal Ottawa
  • Penny Knapp, fondatrice de Survivor of Suicide Loss - au Canada et dans le monde
  • Dre Mary Ann Mountain, directrice en santé mentale communautaire, St. Joseph's Care Group, Thunder Bay
  • Paivi Kattilakoski, spécialiste en matière d'agrément, Agrément Canada
L'OHA
L'Association des hôpitaux de l'Ontario (OHA) est la voix des hôpitaux publics de l'Ontario. Fondée en 1924, l'OHA vise à bâtir un système de soins de santé solide, innovateur et viable pour tous les citoyens de l'Ontario, par la promotion des droits, l'éducation et l'établissement de partenariats.

Document d'information de l'OHA : groupe d'étude sur les normes en matière de prévention du suicide
  • L'Association des hôpitaux de l'Ontario (OHA) élabore actuellement de nouvelles normes en matière de prévention du suicide afin d'améliorer les soins prodigués aux patients dans les hôpitaux.
  • En mai 2015, le ministère de la Santé et des Soins de longue durée a demandé à l'OHA d'élaborer de nouvelles normes en matière de prévention du suicide destinées aux hôpitaux de l'ensemble de l'Ontario. La première réunion du groupe d'étude sur les normes en matière de prévention du suicide a eu lieu le 26 juin 2015.
  • Le groupe d'étude de l'OHA, présidé par le Dr Ian Dawe, éminent spécialiste en santé mentale, veillera à établir des pratiques médicales sécuritaires pour les patients présentant un risque, en examinant les pratiques exemplaires et en travaillant avec des patients et des personnes qui ont été touchées par le suicide. Il examinera les politiques et protocoles actuels des hôpitaux pour la prévention du suicide et l'évaluation des patients, puis établira des normes d'ici 2016.
  • Selon le ministère de la Santé et des Soins de longue durée, environ 30 % des Ontariens connaîtront un problème de santé mentale ou de toxicomanie au cours de leur vie, et un Ontarien sur 40 présentera un grave problème de santé mentale.
  • Selon Statistique Canada, 3 500 personnes se sont suicidées en 2006 au Canada.
  • À l'échelle mondiale, l'Organisation mondiale de la Santé a signalé une hausse du taux de suicide depuis 1950, jusqu'à 268 % chez les hommes de 15 à 24 ans. En outre, un plus grand nombre de gens ont été hospitalisés pour une tentative de suicide, soit 23 000 hospitalisations au Canada en 2001, selon l'Institut canadien d'information sur la santé.
  • L'amélioration des services et des soins destinés aux personnes aux prises avec des problèmes de santé mentale et de dépendance fait partie du Plan d'action en matière de soins de santé, Priorité aux patients du gouvernement et de la Stratégie ontarienne globale de santé mentale, Esprit ouvert, esprit sain, et l'OHA est fière d'aider le gouvernement à transformer le système de santé mentale.
  • En novembre dernier, le gouvernement de l'Ontario a annoncé la deuxième phase de sa Stratégie de santé mentale. Il a créé le Conseil consultatif pour le leadership en santé mentale et en lutte contre les dépendances et offre un soutien accru aux partenaires communautaires des services en santé mentale dans le continuum de soins.
  • S'appuyant sur ce plan, en février, le gouvernement a annoncé l'octroi de 28 millions de dollars aux organismes de santé mentale et de lutte contre les dépendances afin de fournir des soins « plus près du domicile ». La phase suivante de cette stratégie comprend 138 millions de dollars sur trois ans destinés aux agences communautaires afin de financer les améliorations aux services de santé mentale et de lutte contre les dépendances par l'intermédiaire des RLISS.
  • L'OHA collabore étroitement avec le gouvernement depuis un certain nombre d'années pour améliorer les soins en santé mentale. En 2011, l'Institut canadien pour la sécurité des patients et l'OHA ont publié Guide d'évaluation du risque de suicide : Une ressource pour les organismes de santé pour aider les organismes de soins de santé canadiennes à normaliser le processus d'évaluation du risque de suicide en leur présentant un cadre de travail et en créant un inventaire d'outils d'évaluation fréquemment utilisés.
SOURCE Association des hôpitaux de l'Ontario
Renseignements : Michelle MacLeod, Spécialiste, Affaires publiques, 416-205-1588, mmacleod@oha.com
Publié par infosuicide à 11:31
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Libellés : EPP, MESURE PREVENTIVE, POLITIQUE PREVENTION, RECOMMANDATIONS

RETOUR SUR MANIFESTATION LES REGIONS EN ACTION DOLO (22)


Le suicide n'est « ni une tare, ni héréditaire et on peut agir »

Dolo - 27 Juin
http://www.ouest-france.fr/le-suicide-nest-ni-une-tare-ni-hereditaire-et-peut-agir-3520796
  • Pour Jean-Yves Ropers et Marylène Gour, « des ressources existent ».
    Pour Jean-Yves Ropers et Marylène Gour, « des ressources existent ». | 

Le suicide était le sujet de la conférence-débat qui se déroulait jeudi soir, au manoir du Lou. Initiée par Misaco (mission d'accompagnement de collectifs sur la prévention du suicide et de la souffrance psychique) du pays de Dinan.
Elle a informé sur les personnes et lieux ressources qui existent actuellement et s'est appuyée sur le film de Juliette Warlop Partir, revenir ou l'ambiguïté de la vie.
Les témoignages des soignants, des patients et des familles ont été teintés de pudeur. En filigrane, la souffrance, la honte, la culpabilité et la complexité d'un mal-être. Comment prendre à bras-le-corps, cette problématique ? Comment gérer des situations où le cas par cas prime et donne toute sa complexité au sujet ?
Repérer, alerter et guider
Marylène Gour et Jean-Yves Ropers, cadres de santé, ont fait part de leurs expériences. L'important est de « repérer » la personne suicidaire, les changements importants que l'on constate chez elle. Il faut oser tendre la main. « N'hésitez pas à poser la question : as-tu des envies suicidaires ? ».
Le milieu rural, de par sa configuration, génère plus de suicides du fait qu'il y est plus « difficile d'aller chercher de l'aide. » L'isolement fait augmenter les risques de suicides.
À noter aussi qu'il y a plus de suicides chez les hommes, sans doute en raison des codes de l'éducation donnée aux petits garçons.
Comme l'expriment les médecins dans le film, les raisons profondes du suicide peuvent être psychiques ou dues à un accident de la vie.
Ces spécialistes soulignent que ces « maladies de l'esprit donnent des douleurs insupportables. »
Un mort par suicide ce sont sept personnes touchées
En France, le suicide reste un sujet tabou, vecteur de non-dits et d'interdits. La parole permet de se libérer tant au niveau des personnes en proie à des idées suicidaires qu'au niveau des endeuillés.
À ce propos, Jean-Yves Ropers a lancé un appel afin de trouver un lieu pour que les familles de défunt puissent « déposer leurs émotions », sachant qu'un suicide impacte sept autres personnes et que peu de structures existent pour les accueillir après une telle épreuve.
Les deux en Bretagne sont à Lannion et Rennes. Cette démarche permet aux proches de parler, d'échanger avec des professionnels et entre eux et de pouvoir continuer à vivre plus sereinement.
En France, les morts accidentés de la route sont trois fois moins nombreux que les suicidés et pourtant peu de choses sont faites pour endiguer les suicides.
Misaco, contacter Sarah Lecorps, tél. 02 96 87 42 46 ou par courriel : sarah.lecorps@pays-de-dinan.org
Publié par infosuicide à 11:27
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Libellés : REGION BRETAGNE, RETOURS MANIFESTATION/ACTES/COLLOQUES

vendredi 26 juin 2015

autour de la question : Barometre Risques psychosociaux

Risques psychosociaux : le burn-out pose question dans les entreprises
Publié le 22/06/2015 par Marion Perroud
http://www.chefdentreprise.com/Thematique/rh-management-1026/Breves/Risques-psychosociaux-burn-out-pose-question-dans-entreprises-256592.htm 

Si les cas d'arrêt maladie pour cause de dépression se stabilisent, 40% d'entre eux ont occasionné des déclarations d'accident du travail ou de maladie professionnelle en 2015, contre seulement 7% en 2014, révèle le dernier baromètre Atequacy-Singer, publié le 17 juin 2015.

Alors que le projet de loi sur le dialogue social replace sous le feu des projecteurs l'éventuelle requalification du burn-out comme maladie d'origine professionnelle, quelle est la situation réelle des entreprises ? Le second baromètre de la gestion des risques professionnels, publié le 17 juin 2015 par Atequacy (conseil en optimisation RH) et le cabinet d'avocats en droit social Singer, s'est de nouveau penché sur la question.
Les cas d'arrêts maladie pour cause de dépression n'ont que légèrement augmenté entre 2014 et 2015 (de 35% à 38%). À la différence de l'année dernière, où la quasi-totalité de ces situations (93%) n'a fait l'objet que d'arrêts maladie "classiques", la tendance évolue notablement en 2015. Les cas d'arrêt maladie pour cause de dépression ont en effet débouché dans plus d'un cas sur quatre (26%) sur une déclaration d'accident du travail. 15% d'entre eux ont de même fait l'objet d'une déclaration de maladie professionnelle (contre 6% en 2014).

Des procédures prises au sérieux

Face à des salariés de mieux en mieux informés, les entreprises semblent elles aussi s'emparer davantage de la question des accidents du travail et des maladies professionnelles. En 2015, près des trois quarts d'entre elles font valoir systématiquement ou majoritairement leur droit de réserve (outil de contestation) quand elles estiment que l'accident de travail ou la maladie professionnelle (AT/MP) n'est pas liée au travail. Elles n'étaient que 34% en 2014. Et ce, alors même que la part des sondés estimant avoir le temps et les moyens suffisant pour cette gestion diminue cette année.
De même, plus de la moitié des employeurs se déplace régulièrement à la CPAM pour étudier les pièces du dossier en fin d'instruction contre seulement 16% en 2014.
Si la grande majorité affirme maîtriser les tenants et aboutissants de la procédure de l'instruction des dossiers AT/MP (93%), les sondés éprouvent néanmoins dans plus d'un cas sur quatre des difficultés à remplir les questionnaires de maladie professionnelle (+8 points sur un an), jugés trop éloignés des réalités du terrain.

Méthodologie :

Questionnaire téléphonique réalisé du 27/4/2015 au 03/06/2015 auprès de 200 entreprises (directions et opérationnels dans les domaines RH, Sécurité et Retraite) de tous secteurs confondus de plus de 50 salariés (dont 71% de PME de 50 à 250 salariés) en France métropolitaine.
Publié par infosuicide à 14:33
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Libellés : DEPRESSION, SUICIDE ET TRAVAIL

NOTICE ARTICLE FRANCE Les jeunes LGBT face au risque : suicide et pratiques addictives


Les jeunes LGBT face au risque: suicide et pratiques addictives
J.-M. Firdion a, F. Beck b *
a Centre Maurice Halbwachs, UMR8097, Equipe de Recherche sur les Inégalités Sociales (ERIS), 48 boulevard Jourdan, 75014 Paris, France 
b OFDT, 3 avenue du Stade de France, 93218 Saint Denis La Plaine cedex, France 
Archives de Pédiatrie, 05/2015, Vol. 22, hors série n° 2, p.124-125

ABSTRACT
Les jeunes des minorités sexuelles présentent des risques élevés pour les comportements suicidaires et la consommation de drogue (licite et illicite). La violence des discriminations homophobes et le rejet des jeunes ne se conformant pas aux stéréotypes de genre semblent des facteurs déterminants pour expliquer ce phénomène qui touche surtout les plus jeunes. 

Plan

Les jeunes LGBT face au risque suicide et pratiques addictives
Des tentatives de suicide plus fréquentes parmi les jeunes LGBT
La « non-conformité » de genre
La violence des discriminations homophobes
LGBT et addiction
 
http://www.em-consulte.com/article/986271/article/les-jeunes-lgbt-face-au-risque-suicide-et-pratique


Publié par infosuicide à 14:21
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Libellés : NOTES DE LECTURE, ORIENTATION SEXUELLE, RECHERCHE

jeudi 25 juin 2015

JMPS 10 septembre 2015 Clermont Ferrand



Les PEP 43 participent à la 13ème journée mondiale de prévention du suicide .Les PEP 43 seront présents à la 13ème journée mondiale de prévention du suicide qui aura lieu le 10 septembre 2015, à Vulcania - Clermont-Ferrand.
Le thème de cette journée: "souffrances au travail, précarité, chômage : quelles pratiques préventives ?" 
Pour en savoir pus, cliquez sur le lien suivant : 

13ème journée mondiale de prévention du suicide
Publié par infosuicide à 15:03
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Étude des suicides au centre hospitalier psychiatrique Alpes Isère de 1998 à 2012 : comment améliorer la prévention ?

Étude des suicides au centre hospitalier psychiatrique Alpes Isère de 1998 à 2012 : comment améliorer la prévention ?
Émilie Santarelli 1
1 Grenoble 1 - UFR Médecine

Résumé : OBJECTIF : L’objectif principal est d’étudier les suicides au Centre Hospitalier Alpes Isère (CHAI) pour améliorer la prévention du suicide dans les établissements psychiatriques. MATÉRIEL ET MÉTHODES : Il s’agit d’une enquête rétrospective unicentrique qualitative, réalisée à l’aide de l’analyse de dossiers. Les patients identifiés comme suicidés par l’établissement, pendant une hospitalisation ou au décours de celle-ci, de 1998 à 2012, ont été recensés. Leur dossier a été étudié avec une grille de lecture, afin d’extraire des données démographiques, les circonstances du suicide, l’évaluation du potentiel suicidaire et les démarches mises en œuvre. Les caractéristiques des patients suicidés au CHAI ont été comparées à celles retrouvées dans d’autres études. Enfin, des propositions d’amélioration ont été rédigées à l’aide de recommandations. RÉSULTATS : 15 suicides ont été répertoriés. Il s’agit le plus souvent d’hommes (11), isolés, ayant des antécédents de tentative(s) de suicide(s), schizophrènes ou souffrant de dépression sévère, angoissés et insomniaques, hospitalisés sous contrainte et se suicidant par pendaison, la première semaine ou à la fin du séjour. CONCLUSION : Le nombre de suicide recensé est faible. Les dossiers patients étaient peu renseignés. Les facteurs de risque de suicide durant les hospitalisations décrits dans la littérature concordent avec ceux de notre échantillon. Les principales propositions d’amélioration portent sur la prévention du suicide : suppression des moyens, formation du personnel, communication entre les intervenants, évaluation précise du potentiel suicidaire et mesures de protection en maintenant l'alliance thérapeutique.

Type de document :  Mémoires  Human health and pathology. 2015
Domaine :   Sciences du Vivant [q-bio] / Médecine humaine et pathologie

http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01164491/document

source info http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01164491
Publié par infosuicide à 11:45
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Libellés : HOSPITALISATION, RECHERCHE, REGION AUVERGNE RHONE-ALPES, SUICIDE EN INSTITUTION

mardi 23 juin 2015

MANIFESTATION 25 juin Mordelles (35)

Oser la parole autour du suicide
22 juin 2015
Ouest France
Rennes Centre

Parler du suicide n'est pas quelque chose de facile. C'est pourtant un sujet que va aborder un collectif d'associations au cours d'une soirée d'échange.
Pour parler simplement et efficacement du suicide, un sujet aussi grave que préoccupant, c'est à la troupe Quidam qu'a été confiée l'entrée en matière d'un temps de discussions organisé jeudi. Rien n'a été laissé au hasard pour dépasser les tabous, les non-dits.
« Il nous a fallu une année de réflexion et d'écriture, avec les membres du collectif Vivre son deuil Bretagne, pour préparer cette conférence sur la question du deuil après suicide et de l'accompagnement des proches, indique Loïc Cheneau, metteur en scène de la compagnie Quidam. L'humour et la tendresse pour aborder cette thématique sensible permettront d'engager les échanges entre des personnes ressources et le public. »
Des associations pour répondre aux besoins
Le suicide est une réalité dont on parle peu. Le sujet soulève beaucoup de pourquoi et suscite de nombreuses remises en cause de la part des proches qui peuvent parfois ressentir de la honte et de la culpabilité.
« La plupart sont démunis par rapport à un acte qu'ils ne comprennent pas », expliquent Huguette Legal, présidente de Jusqu'à la mort accompagner la vie (Jalmalv). La violence de l'acte pour celui qui découvre est un vrai choc, souvent suivi de conséquences difficilement soutenables, comme l'autopsie ou l'enquête judiciaire et la suspicion qui va avec », ajoute Françoise Mohaër, bénévole.
Pourtant, des ressources sont accessibles et c'est un peu l'objet de cette soirée de les faire connaître au travers des associations impliquées dans cette démarche. Leurs objectifs se rejoignent et visent, entre autres, à diminuer le niveau de stress et l'impact de la crise, à favoriser le processus de deuil.
Le domaine d'intervention des associaitons s'adressent à l'entourage immédiat (famille, amis, collègues, connaissances), mais aussi aux collectivités et au milieux scolaires touchés par un suicide.
Les associations présentes au temps d'échanges de jeudi sont La Brise (02 23 21 01 07), Dialogue et solidarité (08 00 49 46 27), Le geste et le regard (02 99 41 62 42) et Jusqu'à la mort accompagner la vie (02 23 25 29 90).
Jeudi 25 juin, à 15 h, à La Longère à Mordelles, et à 20 h 30, à la Maison des associations, cours des Alliés. Contact : tél. 02 99 53 48 82. Gratuit.
Ouest France
Publié par infosuicide à 17:49
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Libellés : MANIFESTATIONS/FORMATIONS

Une soirée sur la prévention du suicide, le 25 juin au Lou (22)

Une soirée sur la prévention du suicide, le 25 juin au Lou
22 juin 2015 - Ouest France
Lamballe

Touché par les phénomènes suicidaires, un collectif de prévention de la souffrance psychique et du suicide s'est créé en 2012 dans le pays de Dinan, pour faire face à cette problématique.
« Misaco » (mission d'accompagnement de collectifs sur la prévention du suicide et de la souffrance psychique), est composé d'acteurs locaux, professionnels de la santé ou du social, élus et bénévoles, confrontés à ce sujet et volontaires pour agir préventivement et collectivement.
Différentes actions favorisent le repérage, l'orientation et la prise en charge des personnes en souffrance psychique avec des rencontres régulières des membres du réseau, formations, soirées de sensibilisation auprès du grand public, outils de communication.
« C'est l'affaire de tous »
« Partant du postulat que la prévention de la souffrance psychique et du risque suicidaire est l'affaire de tous, nous cherchons à sensibiliser la population à cette problématique et organisons une nouvelle soirée ciné-débat sur ce thème le jeudi 25 juin. Cette soirée gratuite débutera par la projection du film Partir, revenir ou l'ambiguïté de la vie, de Juliette Warlop. S'en suivra un débat animé par des professionnels qui répondront aux questions du public », explique Pauline Lefaucheur, chargée de prévention.
À travers cette soirée, il s'agit à la fois de sensibiliser la population sur la prévention de la souffrance psychique et du risque suicidaire (idées reçues et représentations, facteurs de risques et signes d'alerte) mais aussi et surtout de leur permettre d'identifier les aides et les ressources existantes sur le territoire en la matière.
Jeudi 25 juin, ciné-débat, à 20 h, au manoir du Lou.
Publié par infosuicide à 17:47
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Libellés : MANIFESTATIONS/FORMATIONS

Diplome universitaire DU Le suicide : étude théorique et clinique 2016 Paris 7

DU Le suicide : étude théorique et clinique 2016
Télécharger la brochure au format PDF : cliquer ici

en savoir plus http://www.shc.univ-paris-diderot.fr/spip.php?article667
Publié par infosuicide à 16:21
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Libellés : MANIFESTATIONS/FORMATIONS

MANIFESTATION LE PALAIS (56) 30 JUIN 2015


Souffrance psychique. Comment la prévenir
article du 20 juin 2015 sur sur http://www.letelegramme.fr/morbihan/le-palais/souffrance-psychique-comment-la-prevenir-20-06-2015-10674584.php
Le collectif Misaco (Mission d'accompagnement de collectifs autour de la souffrance psychique et du phénomène suicidaire) constitué en 2008 à Belle-Ile-en-Mer, se mobilise chaque année pour la prévention en proposant des animations. Cette année, les membres du collectif ont souhaité renforcer l'information et la sensibilisation sur ce thème auprès des professionnels en organisant une soirée articulée autour de trois temps : présentation du réseau Misaco, intervention spécifique sur la crise suicidaire, table ronde autour de l'intervention et la prise en charge des situations d'urgence. Cette rencontre se déroulera le mardi 30 juin prochain, à 20 h, à la salle Arletty, au Palais.

Publié par infosuicide à 15:18
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Libellés : MANIFESTATIONS/FORMATIONS

Jeunes dans l’Orne. Une écoute mobile pour les ados en mal-être

Jeunes dans l’Orne. Une écoute mobile pour les ados en mal-être
Orne - 22 Juin http://www.ouest-france.fr/une-ecoute-mobile-pour-les-ados-en-mal-etre-3503925

Jean-Yves Vourc’h, coordonnateur départemental d’Ado 61 ; Radica Roye, infirmière ; Nathalie Laplante, psychologue ; et le Dr Hood, médecin référent. | Julien Belaud/Ouest-France

Julien BELAUD.

La méthode de Maison des adolescents de l’Orne sera récompensée par un prix national de 7500 €, mercredi à Paris.

Dans l’Orne, la Maison des adolescents n’attend pas que les jeunes en mal-être poussent sa porte. Elle va à eux. Les quatre locaux d’accueil, à Alençon, Flers, Argentan et L’Aigle, disposent chacun d’une équipe mobile de trois professionnels : une infirmière, un éducateur et un psychologue. « Pour rencontrer un ado, on se déplace dans son école, à son domicile, dans un café, selon son choix, explique Radica Roye, infirmière. Ils sont collégiens ou lycéens, en rupture familiale ou scolaire, souffrent de troubles du comportement ou de tendances suicidaires. »

Cette manière d’apprivoiser l’ado vaut au centre psychothérapique de l’Orne, porteur de la Maison de des adolescents, la première place d’un prix national. Créé par la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France, le prix Hélioscope-GMF récompense les actions exemplaires de coopération entre différents métiers et services hospitaliers. « Dans l’Orne, nous faisons collaborer l’adolescent, sa famille, les partenaires de santé, sociaux, médico-sociaux, éducatifs et judiciaires, afin de briser la spirale de l’échec et éviter l’hospitalisation », détaille Jean-Yves Vourc'h, coordonnateur départemental.

Environ 600 jeunes Ornais, collégiens ou lycéens, ont ainsi été suivis l’an dernier. Ils ont auparavant été signalés par leur entourage : famille, amis, professeurs…

À Alençon : 10, rue du Moulin-de-Lancrel. Contact (équipe mobile) : 02 33 80 71 47.

À Flers : 2, rue Pierre-Lemière, quartier Saint-Sauveur, ou au CMPEA, rue Jacques-Prévert. Contact : 02 33 64 55 95.

À Argentan : ruelle des Fossés-de-la-Boucherie. Contact : 02 33 67 92 74.

À L'Aigle : 2, rue Marcel-Guiet. Contact : 02 33 24 82 55.
Publié par infosuicide à 15:15
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Libellés : ADOLESCENTS, PRESENTATION STRUCTURE RESSOURCE, REGION NORMANDIE

AUTOUR DE LA QUESTION La souffrance psychique en lien avec le travail

La souffrance psychique en lien avec le travail chez les salariés actifs en France entre 2007 et 2012, à partir du programme MCP.  BEH n°23/2015
23/06/2015

Imane Khireddine1 (i.khireddine@invs.sante.fr), Audrey Lemaître1, Julie Homère1, Julie Plaine1, Loïc Garras1,
Marie-Christine Riol2, Madeleine Valenty1 et le Groupe MCP 2012*
1 Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice, France
2 Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi (Direccte) d’Auvergne, Clermont-Ferrand, France
Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice, France

http://www.invs.sante.fr/beh/2015/23/2015_23_2.html

Résumé
Introduction –
La souffrance psychique en lien avec le travail prend de plus en plus d’importance dans les pathologies d’origine professionnelle. Or, celle-ci ne figure dans aucun tableau de maladie professionnelle reconnue par les différents régimes de sécurité sociale.
Méthode –
À partir des données issues du Programme de surveillance des maladies à caractère professionnel (MCP), les taux annuels de prévalence de la souffrance psychique en lien avec le travail ont été calculés pour la période 2007 à 2012. Des régressions logistiques univariées et multivariées ont été réalisées pour tester l’association entre la souffrance psychique en lien avec le travail et l’âge, la catégorie sociale et le secteur d’activité.
Résultats –
Le taux de prévalence de la souffrance psychique liée au travail était 2 fois plus élevé chez les femmes que chez les hommes, quelle que soit l’année (3,1% chez les femmes contre 1,4% chez les hommes en 2012). Ce taux a augmenté sur la période 2007-2012, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. L’âge et la catégorie sociale étaient fortement associés à la souffrance psychique, contrairement au secteur d’activité.
Discussion-conclusion –
L’augmentation des taux de prévalence de la souffrance psychique en lien avec le travail sur la période 2007-2012 s’accompagne d’une dégradation constatée des conditions de travail et d’une médiatisation croissante de cette problématique. Les secteurs d’activité semblent impactés par la souffrance psychique au travers de leur pyramide sociodémographique.
http://www.invs.sante.fr/beh/2015/23/pdf/2015_23_2.pdf


Publié par infosuicide à 15:10
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