Recherche Canada Date de sortie publique: 9-Mai-2013
Source http://www.stmichaelshospital.com/media/detail.php?source=hospital_news/2013/20130509_hn
l'occasion dans le système de soins de santé pour atteindre les jeunes qui envisagent le suicide
TORONTO, le 9 mai 2013- plus de 80 pour cent des jeunes qui meurent par
suicide ont eu une forme de contact avec le système de soins de santé
dans l'année précédant leur mort, selon une nouvelle étude de l'Hôpital
St. Michael.
"Cela suggère qu'il ya beaucoup de possibilités de prévention», a
déclaré le Dr Anne Rhodes, un chercheur de l'Unité de
recherche sur les études du suicide de l'hôpital.
«La plupart de ces jeunes ont été vus par un médecin externe ou sont
allés à un service d'urgence où ils auraient pu potentiellement bénéficié
d'une intervention."
Parmi ceux vus par un médecin externe, la moitié des jeunes hommes et
67,5 pour cent des jeunes femmes étaient là pour des raisons liées à la santé mentale.
"puisque tous n'ont pas été vus pour des raisons de santé mentale, les
avantages potentiels du dépistage et des interventions préventives dans ce cadre sont sous-estimés", écrivent les auteurs.
L'étude a porté sur les données de 724 jeunes âgés de 10 à 25 ans
vivant en Ontario qui sont morts par suicide entre Avril 2003 et Décembre
2007.
Dr Rhodes et ses collègues ont étudié qui, parmi ces jeunes avaient eu une
visite chez le médecin en consultation externe, visite des services
d'urgence ou de séjour d'hospitalisation dans l'année précédant
leur mort et la manière dont les résultats diffèrent selon le sexe.
L'article a été publié dans la Revue canadienne de psychiatrie
L'étude a révélé que les jeunes femmes avaient plus consulté des médecins de
soins ambulatoires et des services d'urgence que les
jeunes hommes et les visites étaient plus proches de leur date de leur
décès.
Les données de l'Institute for Clinical Evaluative Sciences ont été utilisé.
INFO +++
Original Research : Sex Differences in Suicides Among Children and Youth: The Potential Impact of Help-Seeking Behaviour The Canadian Journal of Psychiatry May 2013, Volume 58, Number 5
Anne E Rhodes, PhD; Saba Khan, MPH; Michael H Boyle, PhD; Lil Tonmyr,
PhD; Christine Wekerle, PhD; Deborah Goodman, PhD; Jennifer Bethell,
PhD; Bruce Leslie, MSW; Hong Lu, PhD; Ian Manion, PhD
Correspondence: Dr Anne E Rhodes, Suicide Studies Research Unit, St
Michael’s Hospital, 30 Bond Street, 2 Shuter Wing, Suite 2010f, Toronto,
ON M5B 1W8; Research Scientist, The Suicide Studies Research Unit,
Keenan Research Centre, Li Ka Shing Knowledge Institute, St Michael’s
Hospital, Toronto, Ontario; Associate Professor, Department of
Psychiatry, Dalla Lana School of Public Health, Faculty of Medicine,
University of Toronto, Toronto, Ontario; Adjunct Scientist, The
Institute for Clinical Evaluative Sciences, Toronto, Ontario; rhodesa@smh.ca or anne.rhodes@ices.on.ca
Objective: To describe sex differences in health service use among children and youth who died by suicide.
Method: This is a retrospective study of children and youth (aged
10 to 25 years) living in Ontario who died by suicide between April 1,
2003, and December 31, 2007. Coroner records were individually linked to
outpatient physician visit, emergency department (ED) presentation, and
inpatient stay administrative health care records for 724 people (192
girls and 532 boys). Only 77 (10.6%) were aged 10 to 15 years. The
health services types used, number of contacts made, and the last
contact were compared in boys and girls.
Results: About 80% of subjects had contact with the health care
system in the year before their death, typically to an outpatient
physician and (or) the ED. However, not all were seen for mental health
reasons. Girls had more outpatient physician and ED contact than boys
and closer in time to their death. Further, girls were more likely than
boys to have contact in more than one setting. Still, boys and girls did
not differ in their use of an outpatient psychiatrist, some ED
presentations, and in the nature and number of inpatient stays.
Conclusions: While most people were seen by an outpatient
physician and (or) in the ED in the year before their death, not all
received mental health care. Further research is needed to determine
whether boys and girls who died by suicide differ from their peers in
their health service use to guide preventive interventions.
Key Words: suicide, adolescent, child, sex distribution, mental health services
Received July 2012, revised, and accepted September 2012.
CanJPsychiatry 2013;58(5):274–282
Article en entier consultable http://journal.cpha.ca/index.php/cjph/article/view/3187/2635