jeudi 31 juillet 2025

Campagne 2025 de prévention à l’occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, le 10 septembre de STOP SUICIDE (Suisse)

Campagne 2025 de prévention à l’occasion de la Journée mondiale de prévention du suicide, le 10 septembre de STOP SUICIDE (Suisse)

"Le suicide reste la première cause de mortalité chez les 15-29 ans en Suisse. Briser le tabou qui l’entoure est donc primordial.

STOP SUICIDE célèbre cette année ses 25 ans de prévention. À cette occasion, l’association souhaite mettre en avant le message suivant : Tout le monde peut jouer un rôle dans la prévention du suicide.

À travers votre travail, vous contribuez déjà à cette mission essentielle. Nous vous proposons donc de mettre en avant l’engagement de votre organisation à travers une action simple et forte : publier une photo de votre équipe, ou d’un-e membre intéressé-e, sur vos ou ses réseaux sociaux (Instagram, LinkedIn, Facebook, X), accompagnée du message : « J’agis pour la prévention, et vous ? ».

L’objectif de cette initiative est de créer un mouvement, de faire du bruit et de sortir du silence.
Plus nous serons nombreux et nombreuses à publier une photo accompagnée de ce message le 10 septembre, plus le mouvement prendra de l’ampleur et plus de personnes seront sensibilisées à la thématique.

Votre participation est précieuse et contribuerait à visibiliser cet enjeu auprès de votre réseau, ainsi qu’à sensibiliser d’autres professionnel-les romand-es.

Si vous souhaitez participer, merci de nous faire parvenir votre photo avant le 10 septembre à : communication@stopsuicide.ch. Nous y ajouterons le visuel de la campagne avant de vous la renvoyer, prête à être publiée. Nous vous saurions également gré de relayer ce projet dans votre réseau, afin de maximiser son impact et d’élargir le nombre de participant-es."

https://stopsuicide.ch/ 

mardi 29 juillet 2025

MANIFESTATION 16/12/25 Dinan (22) « SUICIDE en établissement sanitaire ou médico-social : PREVENIR et SOUTENIR »

Journée « SUICIDE en établissement sanitaire ou médico-social : PREVENIR et SOUTENIR »

16dec 2025

Type d'évènement Journées éthiques

Détails de l'évènement

Journée bretonne sur la prévention et la postvention du suicide, organisée par le CAPPS Bretagne et l’EREB :

« SUICIDE en établissement sanitaire ou médico-social :

PREVENIR et SOUTENIR »

Mardi 16 décembre 2025

Centre de congrès de Dinan

Argumentaire

Préprogramme

9h – Café accueil

 9h30 – Prévention du suicide en Bretagne : où en sommes-nous ? 

10h15 –  Recommandations 2025 du Groupement d’Études et de Prévention du Suicide (GEPS) concernant la prévention du suicide en établissement.  

11h15 –  Pause

11h30 –  Table ronde : Faire face au suicide (en établissement) 

12h30 – Pause déjeuner

13h45 – Postvention individuelle et collective.  

14h45 – Pause

15h – Table ronde : Construire le soutien aux soignants, aux proches et personnes exposées, après un suicide

16h15 – Conclusion

 

Inscription

Modalités d’inscription en cours de construction 

Horaires

(Mardi) 9 h 00 min - 16 h 30 min(GMT+01:00)

Lieu

Centre de congrès

21 rue Victor et Hélène Basch 22100 Dinan

lundi 28 juillet 2025

Chiffres clés sur les conduites suicidaires en Occitanie MàJ juillet 2025

 Chiffres clés sur les conduites suicidaires en Occitanie

NOTICE ARTICLE Adolescence et crise suicidaire : intérêt d’une collaboration médecins généralistes et IPA en CMP

 Adolescence et crise suicidaire : intérêt d’une collaboration médecins généralistes et IPA en CMP

Source SOINS PEDIATRIE PUERICULTURE (n°344)
Auteur(s) : CORTESE-BAUER Marine, Aut. ; GIRAULT Damien, Aut. ; MOLINER Nathalie, Aut. ; JOANNES Camille, Aut. ; COUARRAZE Sébastien, Aut.
Année de publication : 2025
Pages : 39-43
Mots-clés : ADOLESCENT ; CENTRE MEDICO PSYCHOLOGIQUE ; IDEATION SUICIDAIRE ; INFIRMIER EN PRATIQUE AVANCEE ; MEDECIN GENERALISTE ; PARTENARIAT ; TENTATIVE DE SUICIDE
Résumé : Les soins de premiers recours font face à une hausse des comportements suicidaires des jeunes. Cette étude explore les attentes d’une collaboration entre les médecins généralistes et les infirmier(e)s en pratique avancée (IPA) pour la prise en charge d’adolescent(e)s en crise suicidaire par des entretiens semi-directifs et une analyse catégorielle. Cette collaboration fluidifierait les parcours de soins, améliorerait les pratiques et favoriserait les interventions précoces via les consultations avancées. [D'apr. l'éditeur]

https://santepsy.ascodocpsy.org/index.php?lvl=notice_display&id=412318

ETUDE RECHERCHE CANADA Les signes avant-coureurs d'idées suicidaires chez les jeunes échappent souvent aux adultes

d’après article Les signes avant-coureurs de suicide chez les jeunes échappent souvent aux adultes
Comme la détresse émotionnelle des jeunes passe souvent inaperçue, il serait bien d’offrir du soutien psychologique plus tôt dans les écoles

Publié: 23 July 2025 https://www.mcgill.ca*

S’appuyant sur une étude phare au cours de laquelle on a suivi des Québécois et Québécoises pendant 25 ans, de l’enfance à l’âge adulte, une équipe de recherche de l’Université McGill a cerné deux modèles d’apparition des idées suicidaires ainsi que les signes précurseurs qui, souvent, passent inaperçus.

Les idées suicidaires sont de plus en plus courantes chez les jeunes, mais leur installation et les symptômes de santé mentale qui, souvent, les précèdent sont mal compris, expliquent les scientifiques.

Publiée dans la revue JAMA Psychiatry, cette étude consiste en une analyse des données de l’Étude longitudinale du développement des enfants du Québec, l’une des rares études – il n’y en a qu’une seule autre dans le monde – au cours desquelles on a suivi un grand groupe de jeunes et recensé régulièrement leurs pensées suicidaires.

La plupart des 1 600 jeunes participants n’ont jamais eu ou ont rarement eu des idées suicidaires. Deux profils distincts se dégagent cependant parmi ceux qui ont fait état de pensées suicidaires : environ 7 % ont commencé à avoir pareilles idées au début de l’adolescence (entre 12 et 13 ans), tandis que 5 % ont commencé à en avoir à l’âge adulte (entre 20 et 25 ans).

Dans le groupe qui a commencé tôt à avoir des pensées suicidaires, beaucoup avaient montré des signes de troubles mentaux pendant l’enfance : comportements perturbateurs (symptômes externes généralement visibles) ainsi que dépression et anxiété (symptômes internes souvent plus difficiles à détecter).

« Il est frappant de constater que les parents et les enseignants ont souvent remarqué les problèmes de comportement des enfants, mais pas leur détresse émotionnelle », souligne l’auteure principale de l’étude, Marie-Claude Geoffroy, professeure agrégée au Département de psychiatrie de l’Université McGill, chercheuse au Centre de recherche de l’Hôpital Douglas et titulaire de la Chaire de recherche du Canada en santé mentale et prévention du suicide chez les jeunes.

En revanche, les participants dont les pensées suicidaires s’étaient manifestées au début de l’âge adulte n’avaient généralement présenté que des symptômes internes, apparus à l’adolescence.

« Lorsque ces signes sont pris au sérieux, on peut intervenir sans délai pour protéger le développement des enfants », précise Charles-Édouard Notredame, co-auteur de l’étude et psychiatre de l’enfant et de l’adolescent au Centre hospitalier universitaire de Lille.

Un soutien adapté à l’âge, comme les programmes de santé mentale dans les écoles, pourrait nous permettre d’intervenir chez les enfants et les adolescents de façon particulièrement efficace et au bon moment, soit avant que les pensées suicidaires ne s’installent, ajoute-t-il.

Le suicide est la deuxième cause de décès chez les jeunes et les jeunes adultes au pays, selon les données du gouvernement du Canada.

« Les idées suicidaires chez les jeunes sont encore trop souvent considérées comme une simple “phase”, explique la Pre Geoffroy. Or, nos résultats font ressortir la nécessité de mettre en place sans délai des mesures de prévention du suicide ».


L’étude

L’article « Mental Health Antecedents and Correlates of 2 Distinct Developmental Pathways to Suicidal Ideation », par Marie-Claude Geoffroy, Sasha MacNeil, Vincent Paquin et coll. a été publié dans la revue JAMA Psychiatry.

L’étude a été financée par les ministères de la Santé, de la Famille, de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur du Québec, la Fondation Lucie et André Chagnon, l’Institut de la statistique du Québec, le Fonds de recherche du Québec, le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada et les Instituts de recherche en santé du Canada.

Si vous-même ou un de vos proches êtes en détresse, vous pouvez obtenir de l’aide. Au Canada, appelez ou textez le 988 pour joindre en tout temps la Ligne d’aide en cas de crise de suicide, dont les services sont offerts en français et en anglais. Pour obtenir de l’aide adaptée aux jeunes, contactez Jeunesse, J’écoute au 1 800 668-6868, textez PARLER au 686868 ou rendez-vous sur jeunessejecoute.ca.

https://www.mcgill.ca/newsroom/fr/channels/news/les-signes-avant-coureurs-de-suicide-chez-les-jeunes-echappent-souvent-aux-adultes-366080 

lundi 21 juillet 2025

AUTOUR DE LA QUESTION Directives anticipées en psychiatrie - mon GPS

Directives anticipées en psychiatrie - mon GPS

Mise à jour : 11/07/2025

Fiche UNAFAM Savoie : Crise – Urgence psychiatrique – risque suicidaire. Que Faire ? Qui consulter ? à destination des aidants familiaux

CRISE - URGENCE PSYCHIATRIQUE - RISQUE SUICIDAIRE QUI APPELER ? Quelles informations données ?

Pays de la Loire Pensées suicidaires et tentatives de suicide. Chiffres-clés

 Pensées suicidaires et tentatives de suicide. Chiffres-clés


Santé des jeunes en Pays de la Loire #1

3 juillet 2025 https://www.orspaysdelaloire.com*

Pensées suicidaires et tentatives de suicide. Chiffres-clés

Ces "chiffres-clés" sur les pensées suicidaires et les tentatives de suicide chez les adolescents des Pays de la Loire ont été réalisés dans le cadre du projet régional qui a pour objectif de recueillir et analyser des données sur l’état de santé des jeunes ligériens et leurs déterminants, afin d’élaborer avec les acteurs des territoires une stratégie d’actions de prévention.

Télécharger l’infographie

En savoir plus sur le projet

 

Ce travail est cofinancé par le Fonds social européen (FSE+) et le Conseil départemental de la Mayenne. Il a été réalisé dans le cadre du projet "Santé des jeunes" et de l’activité de centre ressources régional en observation de la santé, cofinancé par l'ARS et le Conseil régional Pays de la Loire.

https://www.orspaysdelaloire.com/lactualite-de-lors/pensees-suicidaires-et-tentatives-de-suicide-chiffres-cles 

MàJ Diplomes universitaires recensés en France sur la question du suicide et de sa prevention

POST EN COURS Mises à jour à venir
(Universités, n'hésitez pas à nous signaler vos DU ou DIU en lien avec la question du suicide et de sa prévention) 

 2025-2026

 

DIU Étude et prise en charge des conduites suicidaires
Universités d'Angers, Nantes et Rennes
en savoir plus https://formations.univ-brest.fr/fr/index/sciences-technologies-sante-STS/du-ou-diu-sante-ZN/diu-etude-et-prise-en-charge-des-conduites-suicidaires-LVMHKK56.html

 

 D.I.U. de SUICIDOLOGIE : penser, comprendre, traiter et prévenir les conduites suicidaires
- Faculté de médecine Paris-Saclay au Kremlin-Bicêtre, Centre hospitalier le Vinatier à Lyon, Centre Hospitalier Charles-Perrens à Bordeaux
https://www.medecine.universite-paris-saclay.fr/formations/formation-continue/les-diplomes-duniversite-du-et-diu/diu-de-suicidologie-penser-comprendre-traiter-et-prevenir-les-conduites-suicidaires

ou https://sante.u-bordeaux.fr/application/files/1217/3997/8245/DIU_SUICIDOLOGIE.pdf 


 

***

 HISTORIQUE 


2023-2024

Angers, Brest, Nantes et Rennes
DIPLÔME INTER-UNIVERSITAIRE
L’ÉTUDE ET LA PRISE EN CHARGE DES CONDUITES SUICIDAIRES
https://medecine.univ-nantes.fr/formation-continue/diu-etude-et-prise-en-charge-des-conduites-suicidaires
Ou
 
 ****
Bordeaux, Lyon, Paris
O
uverture du DIU de suicidologie dirigé par les Prs Marie Tournier (Bordeaux), Emmanuel Poulet et Edouard Leaune (Lyon) et
Fabrice JOLLANT (Paris-Saclay). Le DIU accueillera durant 1 an un maximum de 45 étudiants francophones pour une cinquantaine d'intervenants. Il vise une formation multidisciplinaire théorique de haut niveau en suicidologie combinée à une formation pratique à l'évaluation et l'intervention de crise suicidaire.
Il est ouvert à tous les professionnels de santé (médecins, infirmiers, psychologues, etc) ainsi qu'aux intervenants bénévoles sur justification d'une activité dans le domaine.
Les inscriptions peuvent se faire à Bordeaux, Lyon ou Paris-Saclay (15 étudiants par site).
Programme
Le lien pour Paris-Saclay: https://www.medecine.universite-paris-saclay.fr/formations/formation-continue/les-diplomes-duniversite-du-et-diu/diu-de-suicidologi

2022 
Angers, Brest, Nantes et Rennes :
Angers DIU L'étude et la prise en charge des conduites suicidaires
https://formations.univ-angers.fr/fr/offre-de-formation/diplome-d-universite-3eme-cycle-DUC3/sciences-technologies-sante-STS/diu-l-etude-et-la-prise-en-charge-des-conduites-suicidaires-MDUSU_1.html
Rennes
Diplôme inter-universitaire - Étude et prise en charge des conduites suicidaires
prochaine rentrée Novembre 2022 https://formations.univ-rennes1.fr/diplome-inter-universitaire-etude-et-prise-en-charge-des-conduites-suicidaires
Brest
https://nouveau.univ-brest.fr/formation-continue-alternance/sites/formation-continue-alternance.nouveau.univ-brest.fr/files/2021-11/fcs_diu_etude_conduites_suicidaires_-_fiche_formation.pdf
Nantes
https://medecine.univ-nantes.fr/medias/fichier/prog-etude-et-pec-des-conduites-suicidaires-diu_1647962502193-pdf?ID_FICHE=2041536&INLINE=FALSE 

***

Nice : Diplôme d’Université SUICIDOLOGIE Université cote d'azur
https://univ-cotedazur.fr/formation/offre-de-formation/du-suicidologie

*** 

PARIS :

- DU Européen « SUICIDE – Sujet et conduites suicidaires. Tendance, Risque, Prévention et Prise en charge »  Diplôme Universitaire proposé par la SFU-Paris, en coopération avec l’Hôpital Lariboisière et la Cellule d’Urgence Médico-Psychologique de Paris et de la zone Île de France Septembre 2022
https://sfu-paris.fr/evenement/du-europeen-suicide-2022/

 
Paris Cité
DU Suicidologie : comprendre, évaluer et prévenir le risque suicidaire chez l'adolescent et l'adulte
Ce DU est suspendu pour l'année 2021/2022 pour une réouverture
fin 2023-début 2024 et sera transféré à l'université Paris-Saclay
https://odf.u-paris.fr/fr/offre-de-formation/diplome-d-universite-du-diu-1/sciences-technologies-sante-STS/du-suicidologie-comprendre-evaluer-et-prevenir-le-risque-suicidaire-chez-l-adolescent-et-l-adulte-JI33006I.html


 

 


Gérer et accompagner les situations de suicide ou de tentatives de suicide d’un agent public hospitalier : Jurisclasseur du CNG #2

 Gérer et accompagner les situations de suicide ou de tentatives de suicide d’un agent public hospitalier : Jurisclasseur du CNG #2 21 juillet 2025

Le CNG vient de publier le Jurisclasseur #2, un guide à destination des gouvernances hospitalières, portant sur la gestion et l’accompagnement des situations de suicide ou de tentative de suicide d’un agent public hospitalier, y compris la question de leur imputabilité au service.

Téléchargez le guide 


 
 
Source CNG  Centre national de gestion des praticiens hospitaliers >> pour en savoir plus 

CANADA Les personnes transgenres et la prévention du suicide

Les personnes transgenres et la prévention du suicide


Les personnes transgenres se heurtent à des facteurs de stress uniques et sont plus nombreuses que les personnes cisgenres à être victimes de discrimination et de harcèlement.

Publié avec la collaboration de ASCM Alberta et CSP: Juillet 2025  https://commissionsantementale.ca/*


Termes clés
  • Le terme « TRANSGENRE » désigne les personnes dont l’identité de genre ne correspond pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance (Veale et coll., 2015).
  • L’IDENTITÉ DE GENRE désigne la conception personnelle de sa place
    sur le continuum du spectre de genre (femme ou homme, homme et
    femme, ou ni homme ni femme) (Commission ontarienne des droits
    de la personne, sans date).
  • Bon nombre d’autres termes sont utilisés pour décrire l’identité de
    genre, notamment « genre queer », « non binaire » et « au genre fluide ».

Les personnes transgenres se heurtent à des facteurs de stress uniques et sont plus nombreuses que les personnes cisgenres à être victimes de discrimination et de harcèlement. Une détérioration de leur santé mentale peut en découler et elles sont plus susceptibles d’envisager le suicide (Kingsbury et coll., 2022).

Les personnes trangenres sont 2x plus susceptibles de songer au suicide et de faire une tentative de suicide que les personnes lesbiennes, gaies ou bisexuelles (McNeil et coll., 2017)

Pourquoi les personnes transgenres sont-elles plus à risque?

Le nombre de personnes transgenres souffrant de détresse psychologique est
nettement supérieur à celui de la population générale. Leur identité de genre n’est pas en cause, mais plutôt les facteurs de stress uniques auxquels elles sont confrontées, notamment le stress lié à l’appartenance à un groupe minoritaire et à la stigmatisation. L’ensemble de ces expériences et de ces facteurs de stress peuvent accroître le risque de suicide (Valentine et Shipherd, 2018).

STIGMATISATION

La stigmatisation à l’égard des personnes transgenres peut prendre diverses formes. Cette source de stress peut comprendre des facteurs externes comme la discrimination, les préjugés et la violence, ainsi que des facteurs internes comme la dissimulation d’identité intériorisée (Lick et coll., 2013).

STIGMATISATION INDIVIDUELLE

Les personnes qui appartiennent à des groupes stigmatisés et minoritaires peuvent dissimuler leur véritable identité, même à elles-mêmes. Il s’agit d’une forme de stigmatisation intériorisée à l’égard de soi-même qui s’explique par une exposition à la stigmatisation du monde extérieur (Puckett et Levitt, 2015).

STIGMATISATION FAMILIALE

Lorsque la famille et les amis n’acceptent pas l’identité de genre d’une personne, la situation peut être extrêmement bouleversante pour la personne concernée et engendrer de l’isolement, des symptômes de dépression et du désespoir (Dickey et coll., 2016).

STIGMATISATION STRUCTURELLE

La stigmatisation structurelle se manifeste par des lois et des politiques qui créent des inégalités ou qui ne protègent pas les personnes transgenres contre la discrimination.
Il peut s’agir notamment de politiques qui compliquent l’accès à des soins d’afrmation de genre. Les personnes transgenres peuvent également être victimes de discrimination en milieu de travail, dans le milieu universitaire ou au sein des services sociaux et de santé (Hatzenbueheler et coll., 2024).

STIGMATISATION PUBLIQUE

Ce type de stigmatisation des personnes transgenres est liée au manque de connaissances et de compréhension du grand public concernant l’identité de genre, la fluidité de genre et les personnes transgenres (ce qui peut entraîner de l’isolement et de la discrimination).

STIGMATISATION INTERSECTIONNELLE

Il est question d’intersectionnalité lorsqu’une personne appartient à plus d’un groupe social ou s’y identifie. Les personnes qui vivent l’intersectionnalité ressentent les effets de l’identification à leurs différents groupes (Turan et coll., 2019). Par exemple, la discrimination que peut subir une personne transgenre blanche peut être moindre que celle dont peut être victime une personne transgenre noire, qui peut subir une discrimination fondée sur la race en plus d’une discrimination de genre. Tout effort de prévention du suicide visant à soutenir les personnes en situation d’intersectionnalité doit tenir
compte du caractère complexe de cette question.

EXPÉRIENCE DE LA DISCRIMINATION (TRANSPHOBIE)

La transphobie désigne le rejet de l’identité transgenre et le refus de reconnaître qu’elle est réelle et valide (TransActual, 2024). Elle peut se manifester sous la forme de harcèlement physique ou verbal, ou d’une agression physique ou sexuelle. La transphobie peut être perpétrée à l’échelle individuelle, institutionnelle ou sociale (voir « Stigmatisation structurelle » ci-dessus).

STRESS LIÉ À LA TRANSITION

Une personne qui a choisi de faire la transition médicale vers le genre auquel elle s’identife peut éprouver du stress en lien avec cette transition. Bon nombre de facteurs de stress y sont associés, notamment la perturbation de l’existence, des réactions négatives potentielles de la part des amis, de la famille et des employeurs, ainsi que des risques liés à la transition médicale et à la parfois longue période nécessaire pour la réaliser (Dickey et coll., 2016)

LACUNES EN MATIÈRE D’ACCÈS À DES SOINS DE SANTÉ ET DE SANTÉ MENTALE D’AFFIRMATION DE GENRE

Les personnes transgenres sont souvent victimes de discrimination dans les établissements de soins de santé, alors que l’accès aux soins de santé est vital pour elles, surtout celles qui ont besoin de soins spécialisés dans le cadre d’une transition
médicale (Taylor et coll., 2020).

ITINÉRANCE

Les jeunes 2ELGBTQIA+ sont largement surreprésentés dans la population des jeunes itinérants en Amérique du Nord (McCann et Brown, 2021). Le système des refuges doit favoriser des espaces sûrs pour tous les jeunes, et le personnel doit être initié aux questions relatives à la culture, à la terminologie, aux besoins, à l’homophobie et à la transphobie des jeunes 2ELGBTQIA+ (Abramovich et coll., 2022).

2 sur 3
Les deux tiers des personnes transgenres de 14 à 18 ans ont
sérieusement songé au suicide au
cours des années précédentes
(Veale et coll., 2017)

https://commissionsantementale.ca/resource/les-personnes-transgenres-et-la-prevention-du-suicide/ 

OFFRE CNRS Postdoctorat - analyse internationale des suicides en lien avec le travail d’une perspective de justice sociale H/F

Postdoctorat - analyse internationale des suicides en lien avec le travail d’une perspective de justice sociale H/F

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :

Date Limite Candidature : lundi 11 août 2025 

Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler

Informations générales

Intitulé de l'offre : Postdoctorat - analyse internationale des suicides en lien avec le travail d’une perspective de justice sociale H/F
Référence : UMR5114-SOPPIE-002
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PESSAC
Date de publication : lundi 21 juillet 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 36 mois
Date d'embauche prévue : 1 octobre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : à partir de 2991.58 euros brut en fonction de l'expérience professionnelle
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : 1 à 4 années
Section(s) CN : 36 - Sociologie et sciences du droit


Missions

Nous recherchons un(e) chercheur(e) en post doctorat pour rejoindre une équipe de recherche internationale et interdisciplinaire qui entreprend « une analyse internationale des suicides en lien avec le travail d’une perspective de justice sociale ». Ce projet de recherche financé par le Wellcome Trust vise à approfondir la compréhension des causes et des contextes du suicide lié au travail dans trois contextes nationaux : Royaume-Uni, France et Canada. Il s’appuie sur une perspective de justice sociale qui s’intéresse aux questions de justice, de reconnaissance, d’équité, de responsabilité et de prévention, tant pour les personnes suicidaires que pour les familles endeuillées.
Vous serez recruté(e) en post doctorat et participera activement à la réalisation d’un programme de recherche qualitative, y compris l’identification de cas, les entretiens, l’analyse de recherche, l’analyse de documents, l’analyse de données. Vous contribuerez plus largement aux activités de recherche et aux résultats, y compris les publications, les rapports, les conférences, mais aussi les publications des résultats en ligne et dans certains réseaux sociaux. Vous serez amené à voyager pour réaliser des entretiens, assister à des conférences internationales ou à des réunions de l’équipe de recherche. Il s’agit d’un projet basé sur l’action et nous cherchons à utiliser les résultats de nos recherches pour soutenir le changement de politique afin d’améliorer les expériences vécues.


Activités

Vous participerez à la réalisation d’entretiens avec des participants à la recherche qui ont été confrontés à la suicidalité ou au deuil découlant d’un suicide. Vous travaillerez avec l’équipe pour analyser les données qualitatives et quantitatives en France et pour préparer des articles de recherche et des rapports. Vous contribuerez également à une analyse comparative des différents systèmes concernant les causes et les conséquences du suicide lié au travail.
Vous soutiendrez également nos publications en ligne et dans certains réseaux sociaux. Vous contribuerez à l’interaction avec les décideurs politiques et les parties prenantes au niveau national et international. Vous participerez à la diffusion des résultats de la recherche par des moyens créatifs, diversifiés et percutants qui impliquent différents groupes socio-économiques et culturels et un large éventail de parties prenantes.


Compétences

Nous recherchons un(e) chercheur(e) ayant une solide expérience des méthodes de recherche qualitative, idéalement dans un domaine de recherche sensible ou tenant compte des traumatismes des personnes interrogées. Le profil requière également une capacité d’adaptation au milieu dans lequel le ou al chercheur(e) se trouve.
Compétences Essentielles
Expérience de la recherche qualitative et interdisciplinaire dans un domaine de recherche sensible, acquise par le biais d’un doctorat ou d’une expérience équivalente.
Expérience de la conduite d’entretiens avec des participants à la recherche sur des sujets sensibles.
Expérience de la collecte, de l’organisation et de l’analyse de données.
Preuve de la contribution à la recherche et à l’érudition par le biais de publications ou d’une autre expérience de projet pertinente.
Capacité à recueillir et à utiliser des données pour la recherche, en les analysant à l’aide de méthodes qualitatives.
Excellentes compétences en matière de relations interpersonnelles et de communication, tant à l’écrit qu’à l’oral, et capacité à communiquer efficacement avec un large éventail de parties prenantes.
Excellentes compétences en matière de gestion des données et d’organisation.
Expérience de la production de résultats sur le web et dans les médias sociaux
Connaissance et expérience de la gestion des données et des obligations liées au GDPR.
Engagement en faveur d’une culture de recherche positive et favorable et des principes d’égalité, de diversité et d’inclusion.
Parfaite maîtrise du français (C2)
Maître de l’anglais oral et écrit niveau C1
Compétences souhaitable
Expérience vécue de la suicidalité par le biais d’une expérience personnelle, professionnelle ou de deuil.
Expérience de la recherche sur le suicide
Expérience de la recherche sur le lieu de travail ou des études sur le travail
Expérience de la collecte et de l’analyse de données
Expérience de travail avec des partenaires externes tels que des décideurs politiques, des syndicats, des associations caritatives et des groupes de campagne.
Expérience de travail sur des projets transnationaux


Contexte de travail

Ce poste offre une opportunité exceptionnelle de collaborer avec une équipe de chercheurs interdisciplinaire et transnationale, d’acquérir une expérience pratique avec des méthodologies de pointe et de contribuer à une recherche « impactante » qui fait le lien entre la recherche académique et la politique du monde réel.
Vous travaillerez à Bordeaux au sein de la CIECST (Chaire internationale d’études comparées de la santé au travail ) au COMPTRASEC (Centre de droit comparé du travail et de la sécurité sociale UMR5114) sous la direction scientifique de Loïc Lerouge (Directeur de recherche au CNRS). Cela signifie que vous ferez partie d’un centre de recherche et de son équipe permettant de nombreuses interactions sociales et scientifiques. Vous travaillez en étroite collaboration avec l’équipe de recherche du projet de recherche international comprenant la Porteuse principale (PI), la Professeure Sarah Waters de l’Université de Leeds, et les autres co-porteurs, la Docteure China Mills (Healing Justice London), et le Professeur Steven Bittle (Université d’Ottawa, Canada), ainsi que deux autres assistants de recherche et un coordinateur de projet.


Contraintes et risques

Basé à Bordeaux, l’idéal serait que la personne recrutée puisse résider dans les environs.
Le poste nécessite aussi de se déplacer au niveau national à la fois pour rencontrer les personnes interrogées, mais aussi au niveau international pour participer aux réunions de l’équipe quand elles sont en présentiel et à la diffusion des résultats.

https://emploi.cnrs.fr/Offres/CDD/UMR5114-SOPPIE-002/Default.aspx

 

Soigner la crise psychique en dispensant pendant 4 à 6 semaines des soins intensifs à domicile. C’est le principe du dispositif RéCrEA (Résolution de la crise en ambulatoire) proposé par le Centre hospitalier Saint-Jean-de-Dieu Lyon (69)

 Lyon

Soignée à domicile pour une crise suicidaire : « J’allais mieux en parlant »

Sylvie Montaron Le Progrès (Lyon)18 juil. 2025

Soigner la crise psychique en dispensant pendant 4 à 6 semaines des soins intensifs à domicile. C’est le principe du dispositif RéCrEA (Résolution de la crise en ambulatoire) proposé par le Centre hospitalier Saint-Jean-de-Dieu. Grâce à cette prise en charge, Eva a échappé à l’hospitalisation, renoué avec les traitements et refait des projets.

Dans la symbolique des couleurs, le bleu est associé à l’apaisement. C’est la couleur dont s’est parée Eva (1) ce mercredi : du serre-tête au pantalon, en passant par les colliers et un léger maquillage. « Ils ont réussi à ce que je prenne soin de moi, que je me remaquille. Comme je ne travaille pas, je ne faisais plus d’effort », raconte cette grande brune dans les locaux de RéCrEA (Résolution de la Crise En Ambulatoire), une structure du Centre hospitalier Saint Jean de Dieu, basée à Oullins.

« Ils », ce sont les infirmiers de l’unité mobile de RéCrEA qui se sont rendus chaque jour pendant un mois au domicile d’Eva pour l’aider à surmonter la crise suicidaire qu’elle a traversée il y a quelques semaines. « J’avais déjà eu des pensées suicidaires il y a 3-4 ans, j’avais même avalé de la Javel », précise cette patiente diagnostiquée bipolaire il y a 25 ans. « Je me traite en pointillé parce que j’avais trop d’effets secondaires : je dormais trop, j’avais toujours faim, je grossissais… », précise-t-elle.

Mais Eva continue à aller au CMP (centre médico-psychologique). C’est là qu’elle parle de ses pensées suicidaires et qu’elle est orientée vers RéCrEA alors qu’elle redoutait d’être hospitalisée, craignant notamment la violence. Assez désociabilisée, Eva a d’abord du mal à ouvrir sa porte aux infirmiers : « ça faisait beaucoup de monde chez moi. C’était compliqué mais, on a appris à se connaître. »

« Je me sentais écoutée »

Elle accepte les médicaments. « Ça m’a permis de me recentrer dans mes pensées. Mais, ce qui a été efficace surtout, c’est le dialogue. J’ai pu me confier à eux ; ça m’a déchargé du poids sur mes épaules. J’arrivais à aller mieux juste en parlant. Je me sentais écoutée, pas prise pour une imbécile. Ça m’a impressionné. Mon entourage disait : « On ne te reconnaît pas. Tu es une autre personne », raconte Eva.

L’agoraphobe parvient à retourner faire ses courses avec les infirmiers. Cependant, au bout de 4 semaines, la bascule des soins à domicile vers l’hôpital de jour d’Oullins échoue. Retour aux soins intensifs. « Il a fallu du temps mais les pensées suicidaires ne sont plus là… Les infirmiers m’ont permis de reprendre confiance. Ils m’ont re-stimulée, re-sociabilisée », poursuit Eva, qui se rend désormais régulièrement à l’hôpital de jour où elle apprécie les activités artistiques, les jeux psychoéducatifs, le jardin…

« On n’a pas l’impression d’être à l’hôpital. Il n’y a pas de blouse blanche », sourit Eva qui loue la disponibilité des soignants - « on a 4 infirmiers pour 8 patients ».

Sa prise en charge à RéCrEA a permis à Eva de retrouver « une dynamique que je n’avais plus dans ma vie ». Elle refait des projets : faire de la gym, voir du monde… Son regard sur la maladie mentale a changé. « Avant de venir ici, j’imaginais qu’il n’y avait que des gens agités mais je n’ai vu personne dans ce cas », reconnaît-elle avant d’ajouter : « On s’imagine des gens disjonctés mais ce sont juste des gens en souffrance. Ce n’est pas une tare. Je trouve que le regard de la société devrait changer. On met trop des étiquettes sur les gens. »

(1) Prénom d’emprunt à la demande de la personne

ETUDE RECHERCHE Notice article Sex differences in lifetime suicide attempts in retired older adults between 2000 and 2021 in France: results from six national surveys.

 Helen-Maria Vasiliadis, Christophe Leon, Mathilde Husky. Sex differences in lifetime suicide attempts in retired older adults between 2000 and 2021 in France: results from six national surveys. Social Psychiatry and Psychiatric Epidemiology, 2025, ⟨10.1007/s00127-025-02921-4⟩. ⟨hal-05156409⟩

PURPOSE: The aim of this study was to examine sex differences in the prevalence of lifetime suicide attempts in retired older adults aged between 65 and 75 years across six national surveys in France. METHODS: This secondary data analysis draws on data from six cross-sectional surveys (2000, 2005, 2010, 2014, 2017 and 2021) from the Health Barometer ran by Public Health France which included representative samples of the general population of metropolitan France. The current study sample included retired older adults aged 65 to 75 years across all surveys (n = 18,120). Prevalence differences and ratios between waves with corresponding 95% CI were reported. Analyses were stratified by sex. Multivariable analyses were also carried out to ascertain the independent association between sex, living alone, education, income level, and region of residence urbanicity in relation to the presence of a lifetime suicide attempt. Analyses were weighted according to sampling weights based on the probability of inclusion in the study to ensure that the sample was representative of the French general population. RESULTS: There has been an increase in lifetime suicide attempts among retired older adults over the past two decades, with women consistently reporting a higher prevalence of lifetime suicide attempts than men over all time periods. Compared with the early 2000s, a stronger association between socio-demographic factors and lifetime suicide attempts was found two decades later. CONCLUSIONS: The study findings highlight the need for public health programs to focus on populations at risk of social exclusion, such as those living alone and those with low incomes. Future studies are needed to further confirm the increasing trends in lifetime suicide attempts and their associated factors. 

https://hal.science/hal-05156409v1 

 

jeudi 17 juillet 2025

MàJ : Veille stratégique de l’Observatoire National du Suicide réalisée par Monique Carrière, DREES-MiRe, Ministère des Solidarités et de la Santé

L’essentiel de l’actualité documentaire consacrée au suicide

Le sommaire de la veille se présente sous la forme d’une carte mentale proposant sept champs sémantiques (Prévention, Effet de la crise et Inégalités sociales, Groupes à risque, Psychiatrie & Santé mentale, Facteurs psychosociaux, Colloques/Formation, Étonnant).

Miroir des concepts apparus au fur et à mesure du processus de recherche bibliographique, depuis la création de l’Observatoire, elle permet d’avoir un aperçu rapide des champs sémantiques relatifs au suicide, jugés prioritaires par les membres...

https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/etudes-et-statistiques/la-drees/observatoire-national-du-suicide-ons/article/veille-strategique-de-l-observatoire-national-du-suicide

Veille stratégique ONS n°54 du 11 Juillet 2025 

 

Veille stratégique ONS n°54 du 17 avril 2025
Veille stratégique ONS n°53 du 6 février 2025
 
Veille stratégique ONS n°52 du 29 novembre 2024
Veille stratégique ONS n°51 du 5 septembre 2024 
Veille stratégique ONS n°50 du 27 juin 2024
Veille stratégique ONS n°49 du 24 avril 2024
Veille stratégique ONS n°48 du 8 février 2024
Veille stratégique ONS n°47 du 24 novembre 2023
Veille stratégique ONS n°46 du 6 septembre 2023

Veille stratégique ONS n°45 du 7 juillet 2023
Veille stratégique ONS n°44 du 26 mai 2023

Veille stratégique ONS n°43 du 24 mars 2023
Veille stratégique ONS n°42 du 20 janvier 2023

Veille stratégique ONS n°41 du 25 novembre 2022
Veille stratégique ONS n°40 du 29 septembre 2022
Veille stratégique ONS n°39 du 3 juin 2022
Veille stratégique ONS n°38 du 25 mars 2022
Veille stratégique ONS n37 du 3 février 2022
 
Veille stratégique ONS n°36 (26 novembre 2021)
Veille stratégique ONS n°35 (22 octobre 2021)
Veille stratégique ONS n°34 (7 septembre 2021) 
Veille stratégique ONS n°33 (30 juillet 2021)

Veille stratégique ONS n°32 (17 juin 2021)
Veille stratégique ONS n°31 (30 avril 2021)

Veille stratégique ONS n°30 (31 mars 2021)
Veille stratégique ONS n°29 (04 février 2021)

Veille stratégique ONS n°28 / (15 décembre 2020)
Veille stratégique ONS n°27 / (9 novembre 2020)
Veille stratégique ONS n°26 / (15 octobre 2020)
Veille stratégique ONS N°25 / (10 septembre 2020)
Veille Stratégique ONS N°24 / (10 juillet 2020)
Veille Stratégique ONS N°23 / (11 juin 2020)
Veille Stratégique ONS N°22 / (30 Avril 2020)
Veille Stratégique ONS N°21 / (26 mars 2020)
Veille Stratégique ONS N°20 / (7 février 2020)
Veille Stratégique ONS N°19/ (13 décembre 2019)
Veille Stratégique ONS N°18/ (28 novembre 2019)
Veille Stratégique ONS N°17 (24 octobre 2019)
Veille Stratégique ONS N°16 (19 septembre 2019)
Veille Stratégique ONS N°15 (22 août 2019)
Veille Stratégique ONS N°14 (11 juillet 2019)
Veille Stratégique ONS N°13 (28 juin 2019)
Veille Stratégique ONS N°12 (16 mai 2019)
Veille Stratégique ONS N°11 (11 avril 2019)
Veille Stratégique ONS N°10 (14 mars 2019)
Veille Stratégique ONS N°9 (14 février 2019)
Veille Stratégique ONS N°8 (18 janvier 2019)
Veille stratégique ONS N°7 (28 décembre 2018)
Veille stratégique ONS n°6 (14 décembre 2018)
Veille stratégique ONS n°5 (29 novembre 2018)
Veille stratégique ONS n°4 (19 novembre 2018)
Veille stratégique ONS n 3 (26 octobre 2018)
Veille stratégique ONS n°2 (15 Octobre 2018)
Veille stratégique ONS n°1 (1er octobre 2018)


Vous pouvez également consulter et télécharger les veilles stratégiques sur le site Web de l’Observatoire National du Suicide à l’adresse suivante :
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr/article/veille-strategique-de-lobservatoire-national-du-suicide

Page ONS : Observatoire National du Suicide ONS

Source : CARRIERE, Monique (DREES/SEEE/MIRE)