samedi 4 octobre 2025

Webinaire de l’EPA 2025 | Evaluation et prise en charge des crises suicidaires

Webinaire de l’EPA 2025 | Evaluation et prise en charge des crises suicidaires

Publié le 26 septembre 2025 https://www.fondation-fondamental.org/*

Le 10 septembre 2025, l’European Psychiatric Association (EPA), en collaboration avec le Congrès français de psychiatrie et la Société espagnole de psychiatrie et de santé mentale, organisait un webinaire sur l’évaluation et la prise en charge des crises suicidaires aux urgences.

Modéré par Philippe Courtet (Université de Montpellier, CHU de Montpellier) et Ana González-Pinto (CIBERSAM, Université du Pays basque), ce webinaire réunissait plusieurs experts internationaux dont Vincent Jardon (CHU de Lille), Aistė Lengvenytė (CHU Lapeyronie, Montpellier) et Emilie Olié (Université de Montpellier) et Pilar Sáiz (Université d’Oviedo).

Ils ont partagé des recommandations pour mieux prendre en charge les personnes en crise suicidaire : comment évaluer les risques, assurer leur sécurité immédiatement (plans de protection, décisions partagées, recours possible à la kétamine) et organiser un suivi à long terme pour prévenir les rechutes et soutenir leur rétablissement. Ces conseils pratiques visent à améliorer la sécurité et le soin des patients en situation de crise.

 

MANIFESTATION 15/10/25 Café - Cauzette Condac(16)

Café Cauzette


Contacts :  preventionsuicide16@ch-claudel.fr

Infos pratiques  
Café-débat
Du 15 octobre 2025 au 15 octobre 2025
14h à 17h

31 route de Confolens 16700 CONDAC
Télécharger le programme des SISM de votre territoire
DESCRIPTION DE L'ÉVÉNEMENT

Café Cauzette – Mercredi 15 octobre, de 14h à 17h
☕ Thème : Prévention du suicide

Le Café Cauzette d’Emmaüs Ruffec accueille une intervention du RETS-3114 sur la prévention du suicide, animée par la coordination en prévention du suicide et promotion de la santé du Centre Hospitalier Camille Claudel, et le DAC 16.

Un temps d’échange libre et accessible à tous, pour s’informer, poser des questions et mieux comprendre les ressources disponibles, notamment le dispositif national 3114.

📍 Emmaüs Ruffec – 31, route de Confolens, 16700 Condac
🕑 Mercredi 15 octobre – de 14h à 17h
🎟️ Gratuit – Tout public

Un moment de partage et de sensibilisation, dans un cadre convivial et solidaire.
ORGANISATEUR PRINCIPAL

Centre Hospitalier Camille Claudel
LISTE DES PARTENAIRES

3114 ; DAC 16 (Dispositif d'Appui à la Coordination de la Charente)
SERRA Bénédicte
Source https://www.semaines-sante-mentale.fr/chercher-un-evenement/cafe-cauzette-2/


AUTOUR DE LA QUESTION Santé publique France lance un nouveau site pour aider chacun à prendre soin de sa santé mentale

Santé publique France lance un nouveau site pour aider chacun à prendre soin de sa santé mentale

Publié le

 Santé et prévention

Dans le cadre de la Grande Cause Nationale 2025, Santé publique France lance un site internet dédié à la santé mentale : santementale-info-service.fr. Conçu pour le grand public, il donne des clés pour comprendre la santé mentale, apprendre à en prendre soin au quotidien, identifier les signes de souffrance psychique et trouver une aide appropriée en cas de besoin pour soi ou pour un proche.

Pourquoi un site dédié à la santé mentale ?

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) définit la santé mentale comme un état de bien-être mental permettant de faire efficacement face aux difficultés de la vie. Elle appelle par ailleurs tous les pays à sensibiliser davantage les populations sur les questions de la santé mentale.

En France, la mission d’assurer une communication pérenne sur la santé mentale à destination du grand public est confiée à Santé publique France (SPF). C’est dans ce cadre qu’a été conçu santementale-info-service.fr, un site national de référence sur la santé mentale pour sensibiliser, informer, prévenir et orienter chacun.

Ce site ressource a 3 objectifs majeurs de santé publique :

  • promouvoir la santé mentale et le bien-être psychique ;
  • prévenir le mal-être, les troubles psychiques et les conduites à risques associées ;
  • lutter contre la stigmatisation des personnes concernées par un trouble psychique.

Un site fiable, pratique et accessible

Le site santementale-info-service.fr a été conçu pour répondre aux besoins d'informations identifiés par SPF à travers des enquêtes auprès de la population. Il a été coconstruit avec un panel d’utilisateurs afin d’adapter les contenus et les fonctionnalités aux attentes et réalités du public cible.

Ses contenus, fondés sur des données scientifiques et validés par des experts et acteurs du champ de la santé mentale, garantissent une information fiable et de qualité. Il sera régulièrement évalué et mis à jour.

Le site est pensé pour être accessible à tous, grâce à de l’information vulgarisée, des exemples concrets, une identité visuelle chaleureuse et des parcours simples et clairs pour une navigation fluide.

Les contenus sont présentés sous des formats variés pour rendre l’information plus et pratique et attractive : quiz, des vidéos de professionnels de santé et outils pratiques (journal du sommeil à télécharger, exercices de cohérence cardiaque ou encore audios de relaxation).

Avec des contenus fiables et pédagogiques, le site offre un espace rassurant et inclusif pour que chacun puisse s’informer et trouver des ressources de façon autonome et facile grâce à un découpage en 5 rubriques :

  • comprendre la santé mentale (définition et repères) ;
  • en prendre soin (conseils et exercices) ;
  • repérer les signes auxquels faire attention ;
  • comment aider un proche qui va mal ;
  • trouver de l’aide pour soi ou pour un proche (ressources pratiques et contacts).

Une campagne de promotion pour accompagner le lancement du site

Pour accompagner le lancement du site santementale-info-service, une campagne de communication 100 % digitale est déployée du 29 septembre au 23 novembre 2025 via des bannières, des vidéos diffusées dans les lieux de santé (pharmacies, maisons de santé, cliniques, etc.), et des posts sponsorisés sur les réseaux sociaux.

Des affiches sont également disponibles à la commande pour les lieux accueillant du public. Au-delà de faire connaître le site, la campagne vise à inciter les Français à s’informer sur la santé mentale et à la préserver avec ce message central : « On a tous une santé mentale et on peut en prendre soin ».

Quelques données clés sur la santé mentale

Les troubles de santé mentale les plus courants en France sont :

  • les troubles dépressifs ;
  • les troubles anxieux ;
  • les troubles psychotiques ;
  • les troubles des conduites alimentaires ;
  • les troubles addictifs ;
  • les comportements à risque.

Treize millions de personnes présentent chaque année un trouble psychique, sans distinction de milieu social ou d’âge, enfants et adolescents sont concernés.

Trois millions de personnes vivent avec des troubles psychiques sévères (données SPF) et les Français sont, collectivement, les plus gros consommateurs de psychotropes du monde : plus d’un quart d’entre eux consomment des antidépresseurs, somnifères, anxiolytiques ou autres médicaments psychotropes (données Epi-Phare).

La pandémie de Covid-19 a entraîné une augmentation significative des troubles anxieux et dépressifs. Au cours de la première année de la pandémie, la prévalence mondiale de l’anxiété et de la dépression a augmenté de 25 %, selon l’OMS.

Les médecins sont invités à relayer l’existence du site santementale-info-service.fr auprès de leurs patients lorsque cela leur semblera pertinent.

Journée mondiale de la santé mentale

Instaurée en 1992 par la Fédération mondiale pour la santé mentale (WFMH), cette journée est soutenue par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle a lieu chaque année le 10 octobre et est un moment clé pour sensibiliser chacun à l’importance de prendre soin de sa santé mentale.

En 2025, le thème de la Journée mondiale de la santé mentale est l’accès aux services de santé mentale en cas de catastrophes et d'urgences.

L’occasion de rappeler qu’en cas d’idées suicidaires, il existe le 31 14, numéro national de prévention du suicide, accessible 24 heures sur 24, 7 jours sur 7 partout en France. Les appels sont gratuits et confidentiels.

Lire aussi Le dispositif Mon soutien psy

 

https://www.ameli.fr/medecin/actualites/sante-publique-france-lance-un-nouveau-site-pour-aider-chacun-prendre-soin-de-sa-sante-mentale 

ECHANGES DEBAT CRITIQUE USA Les conditions médicales peuvent-elles augmenter le risque de suicide ?

Les conditions médicales peuvent-elles augmenter le risque de suicide ?
d'apres article "
Can Medical Conditions Elevate Suicide Risk?" https://www.keckmedicine.org/*

Initialement publié le 29 septembre 2025

Les responsables cliniques en santé mentale de Keck Medicine de l'USC discutent des stratégies de gestion des risques.

En reconnaissance du Mois de sensibilisation à la prévention du suicide et d'autres célébrations à venir en matière de santé mentale , Keck Medicine de l'USC présente une série de blogs mettant en évidence l'approche de Keck Medicine en matière de prévention du suicide.

Le risque suicidaire est souvent lié aux troubles mentaux, mais d'autres facteurs de santé peuvent l'accroître. Keck Medicine of USC intègre la psychiatrie et le travail social aux soins de santé, offrant ainsi une prise en charge complémentaire aux patients présentant des besoins importants en santé mentale.

Le psychiatre de Keck Medicine, Steven Siegel, MD, PhD , s'est entretenu avec deux responsables cliniques de santé mentale de Keck Medicine, Charles Manchee, MD , et Kel Loftis, DSW, LCSW, sur la manière dont la santé physique et psychosociale se croisent avec le risque de suicide.


Dr Siegel : Le risque suicidaire est souvent lié à la dépression, mais des problèmes médicaux peuvent également l’accroître. Que doivent savoir les patients et leurs familles à ce sujet ?

Dr Manchee : Des recherches montrent que le risque de suicide augmente avec certains problèmes de santé, notamment les traumatismes crâniens, les troubles du sommeil et le VIH/sida. Plus récemment, des études suggèrent que ce n’est pas le nombre de problèmes de santé, mais l’effet de la restriction d’activité qui est lié à un risque accru, en particulier chez les moins de 60 ans.

Il est donc important que les patients, les familles et les prestataires de soins aient des discussions claires sur les objectifs du traitement et la qualité de vie tout au long de l’évolution de toute maladie.

Parler à un médecin de vos pensées suicidaires et de ce qui est important pour vous peut être essentiel au traitement.

Dr Loftis : C’est un point crucial, et nos travailleurs sociaux le soutiennent, en particulier pour les patients les plus vulnérables. Les travailleurs sociaux des hôpitaux et des programmes accompagnent les patients dans leurs difficultés liées à la maladie et les aident à obtenir le soutien dont ils ont besoin pour mieux atteindre leurs objectifs de traitement et maintenir leur qualité de vie.

Les travailleurs sociaux sont souvent parmi les premiers à remarquer les difficultés émotionnelles d'un patient. Nous sommes formés pour reconnaître les signes de détresse et aider les patients à accéder aux ressources en santé mentale. Nous offrons un espace sûr et dénué de jugement aux patients et à leurs familles pour exprimer leurs craintes et leurs incertitudes qui, autrement, resteraient inexprimées. Cet engagement précoce nous permet d'orienter les patients vers des services de conseil, des groupes de soutien ou des soins psychiatriques avant qu'une crise ne survienne.


Dr Siegel : Pouvez-vous nous en dire plus sur la manière dont nos travailleurs sociaux travaillent avec ces patients vulnérables ?

Dr Loftis : L’hôpital Keck de l’USC et l’hôpital oncologique Norris de l’USC disposent de plusieurs travailleurs sociaux spécialisés qui s’occupent de groupes de patients spécifiques présentant des besoins psychosociaux complexes. Nous avons collaboré avec différentes spécialités médicales pour identifier les populations où les besoins psychosociaux et de santé mentale sont généralement plus importants. Actuellement, nous disposons de travailleurs sociaux dédiés à la mucoviscidose, aux tumeurs cérébrales, aux cancers chez les adolescents et les jeunes adultes, aux transplantations d’organes, aux dons d’organes de donneurs vivants et aux situations de crise. Ces travailleurs sociaux s’ajoutent aux travailleurs sociaux de nos unités hospitalières.

Ces programmes permettent à nos travailleurs sociaux de comprendre en profondeur les difficultés rencontrées par les patients, comme l'isolement lié à la mucoviscidose ou les changements d'identité liés aux traitements contre le cancer. En établissant des relations de confiance, nous aidons les patients à se sentir entendus, compris et soutenus. Dans bien des cas, cette confiance s'étend aux proches, qui portent souvent leurs propres peurs et anxiétés. Inclure les familles dans les discussions sur les stratégies d'adaptation, les soins et la résilience constitue un autre volet de la prévention du suicide.

En tant que travailleurs sociaux interdisciplinaires, nous collaborons avec les équipes de psychiatrie, de soins infirmiers, de soins palliatifs, d'aumônerie et d'autres équipes cliniques. Ensemble, nous élaborons des plans de soins individualisés qui tiennent compte des besoins médicaux et émotionnels des patients.

Dr Siegel : Comment la douleur chronique affecte-t-elle le risque de suicide ?

Dr Manchee : De nombreux facteurs liés à la douleur semblent être liés à l’association entre douleur chronique et risque suicidaire. Ces facteurs vont de l’effet de la douleur sur le sommeil à la façon dont elle altère notre perception de notre santé mentale.

La douleur est ressentie simultanément sur les plans physique, émotionnel et psychologique. Il a été démontré que des aspects psychologiques importants de la douleur, tels que l'échec, le désespoir et le sentiment d'être un fardeau, contribuent au lien entre douleur chronique et suicide. Il est important de noter que ces mêmes aspects psychologiques de la douleur peuvent être traités par divers programmes de prise en charge de la douleur chronique, notamment la thérapie cognitivo-comportementale ou d'autres formes de psychothérapie.


Dr Siegel : Les hôpitaux Keck de l’USC, Norris Cancer Hospital et Arcadia Hospital de l’USC ne disposent pas d’unités psychiatriques, mais des services de psychiatrie sont disponibles. Comment vos équipes accompagnent-elles les patients dans ces établissements ?

Dr Manchee : L'équipe de consultation et de liaison en psychiatrie accompagne nos médecins experts d'autres spécialités en évaluant et en prenant en charge les besoins comportementaux et émotionnels des patients. Cette assistance prend de nombreuses formes, notamment l'évaluation directe des patients présentant un risque suicidaire aigu. Nous collaborons avec le patient, sa famille et l'équipe soignante pour caractériser le risque suicidaire du patient et identifier les facteurs médicaux et psychologiques contributifs. Nous nous efforçons de minimiser les risques et d'identifier les méthodes permettant d'améliorer le bien-être du patient. Nous collaborons également avec les travailleurs sociaux spécialisés en santé mentale et les travailleurs sociaux de l'unité afin de proposer une psychothérapie ou un soutien émotionnel au chevet du patient et de planifier les soins après sa sortie.


Dr Siegel : De quoi d’autre nos patients devraient-ils se souvenir à propos du risque de suicide et des problèmes médicaux ?

Dr Loftis : N’attendez pas d’être dépassé par la situation pour demander de l’aide. Si vous vivez avec une maladie grave ou constatez des changements dans votre santé mentale, nous vous encourageons à demander de l’aide. Vous n’êtes pas seul.

Je rappelle souvent aux patients et à leurs familles que rechercher du soutien est un signe de force, et non de faiblesse. Les travailleurs sociaux, les psychiatres et toute l'équipe de Keck Medicine s'engagent à vous accompagner. Nous tenons à ce que les patients et leurs familles sachent qu'un soutien est disponible à chaque étape de la maladie : pour aborder des sujets difficiles, gérer des difficultés pratiques ou aborder des problèmes de santé mentale. Plus tôt nous intervenons, plus efficacement nous pouvons mettre en place un soutien susceptible de réduire les risques et d'améliorer le bien-être général.


À propos des experts :

Le Dr Siegel est vice-président du département de santé comportementale de l'Université de Californie du Sud, directeur de la santé mentale de Keck Medicine (USC) et président du département de psychiatrie et des sciences du comportement de la Keck School of Medicine (USC). Le Dr Manchee est professeur adjoint de clinique au département de psychiatrie et des sciences du comportement de la Keck School et directeur médical des services de psychiatrie de liaison et de consultation à l'hôpital Keck (USC), à l'USC Norris Cancer Hospital et à l'USC Arcadia Hospital. Le Dr Loftis est docteur en travail social et directeur des services sociaux de Keck Medicine.

https://www.keckmedicine.org/blog/can-medical-conditions-elevate-suicide-risk/ 

OUVRAGE Les conduites suicidaires : prévenir, accompagner et prendre en charge

Les conduites suicidaires : prévenir, accompagner et prendre en charge

Auteur(s) Philippe Courtet (Auteur), Emilie Olié (Auteur)
Editeur(s) Elsevier Masson
Date de parution : 10/09/2025
Collection(s) Psychiatrie

Quatrième de couverture :

Les monographies en Psychiatrie sont des ouvrages de référence sur les troubles psychiatriques et les grandes problématiques de la discipline. Elles permettent aux praticiens d'approfondir et d'actualiser leurs connaissances, en exposant les données fondamentales actuelles et leurs applications dans la pratique clinique.

Les conduites suicidaires constituent un enjeu majeur de santé publique ; les dernières avancées scientifiques ont considérablement enrichi la compréhension de leurs déterminants, améliorant les stratégies de prévention et de prise en charge. Ce livre propose une approche multidisciplinaire du phénomène suicidaire. Rédigé par des experts de renom, il explore les dimensions conceptuelles, cliniques, biologiques, psychologiques, sociales et thérapeutiques du suicide, en s'appuyant sur les données les plus récentes et les pratiques fondées sur les preuves.

Les progrès issus des neurosciences, des sciences sociales et de la psychologie cognitive permettent de mieux comprendre les trajectoires suicidaires et d'identifier les moments clés où intervenir. En parallèle, la reconnaissance du rôle des facteurs environnementaux et sociaux (adversité précoce, urbanicité, précarité, isolement), des troubles psychiatriques et de certaines pathologies somatiques souligne la nécessité d'approches intégratives, individualisées et centrées sur la personne.

L'ouvrage traite aussi la question des populations vulnérables, des outils d'évaluation du risque suicidaire, des modalités spécifiques de prise en charge, ainsi que des perspectives de recherche, des innovations numériques et des enjeux éthiques et sociétaux. Il se conclut par une réflexion sur la postvention et la manière dont nos sociétés abordent et représentent le suicide.

Conçu dans une perspective clinique, scientifique et pratique, ce guide, étayé de témoignages de personnes concernées, met à la disposition des professionnels des fiches pratiques téléchargeables, facilitant le travail quotidien. Il s'adresse à tous les professionnels impliqués dans la prévention et la prise en charge des conduites suicidaires : psychiatres, psychologues, médecins, soignants, travailleurs sociaux, chercheurs et étudiants.

Points clés

  • Une approche pluridisciplinaire, intégrant neurosciences, psychologie, sociologie, épidémiologie et sciences humaines.
  • Des outils pour l'évaluation, la prévention et la prise en charge, ainsi que des innovations thérapeutiques.
  • Des outils pratiques à destination des cliniciens : fiches récapitulatives, modèles de safety plan et de cartes ressources, témoignages.
source https://www.icigrandsboulevards.fr/product/1985089/courtet-philippe-les-conduites-suicidaires-prevenir-accompagner-et-prendre-en-charge