Strasbourg,
A l’occasion de la 47ème journée du Groupement d’études et de Prévention du Suicide (GEPS) , Michèle Eschlimann, Vice -Présidente du Conseil départemental du Bas-Rhin, Dr Pierre Vidailhet et Dr Dominique Mastelli, psychiatres vous invitent à un point presse
« Santé et territoires: la question du suicide chez les seniors, savoir agir sur le contexte» mardi 5 janvier 2016 à 10 h 30 à l’Hôtel du département à Strasbourg
Information presse Isabelle HUCK-Chef du Service Publication Presse Evénementiel Direction de la Communication –Conseil départemental du Bas -Rhin
03 88 76 64 42 isabelle.huck@bas- rhin.fr
Lire Invitation Point presse "Santé et territoires : la question du suicide chez les seniors, savoir agir sur le contexte"
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Pour Info de la 47ème journée du Groupement d’Etudes et de Prévention du Suicide Strasbourg du 7 au 9 janvier 2016 sur le thème "Suicide : savoir agir sur le contexte" voir http://www.geps.asso.fr/articles.php?rub=20
jeudi 31 décembre 2015
mardi 29 décembre 2015
GLOBTROTTER : A LA RENCONTRE DE LA PRÉVENTION DU SUICIDE : Bhoutan un programme national de prévention du suicide
Un programme national de prévention du suicide au Bhoutan
le Royaume du Bhoutan, est un pays d’Asie du Sud
d'après article "Actions underway to prevent suicides December 22, 2015 Sonam Pelden " *
le Premier ministre Tshering Tobgay et le ministre de la Santé Tandin Wangchuk lancent officiellement le plan d'action de prévention du suicide - 21/12/2015
Actions en cours pour prévenir les suicides
Une réponse multi-sectorielle pour sauver des vies du suicide a repris le rythme depuis le lancement du plan d'action limité dans le tempsSanté: avec environ deux appels par mois, le service d'assistance téléphonique de crise mis en place au Centre de l'aide en santé s'est occupé de 21 appels de personnes cherchant de l'aide sur la prévention du suicide au cours des 11 derniers mois.
Le service d'assistance téléphonique de crise fait parti des multiples activités qui ont été mises en œuvre après que le Conseil des ministres a approuvé le plan d'action de prévention du suicide en mai de cette année.Premier ministre Tshering Tobgay a officiellement lancé le plan de trois ans qui a six objectifs et 56 actions hier, lors de la première réunion du Comité national de pilotage de la prévention du suicide au ministère de la santé.Bien que les appels canulars restent encore un problème, le ministre de la Santé Wangchuk Tandin a dit que la ligne directe en service libre appel 112 du HHC a augmenté ses lignes téléphoniques pour établir le service d'assistance de crise et faciliter les gens à consulter un spécialiste.Le député chef adjoint du programme avec le département de la santé publique, le Dr Gampo Dorji tout en présentant l'état du plan d'action a déclaré que le personnel HHC ont déjà été formés à fournir un soutien de crise.
"Les conseils fournis par le service d'assistance téléphonique de crise a aidé à sauver 21 vies et quelques uns ont également visité le HHC pour les remercier», dit-il. Sur les 21 appelant entre 15 et 42 ans, sept sont des Hommes.
Bhoutan Rapport du suicide 2014Dr Gampo Dorji a partagé avec les membres que la prévention du suicide est maintenant incluse comme un indicateur dans les accords de résultats annuels du ministère de la santé et de l'administration locale (APA).
Outre d'orienter les agents de santé des districts à travers le pays sur les rôles de prévention du suicide, le secrétariat du National Suicide Prevention Program (NSPP) du ministère de la santé et de la Police royale du Bhoutan a également développé un registre national des suicides pour améliorer la tenue des dossiers.Le registre est dans sa phase finale et est actuellement testé à Samtse, Bajothang in Wangdue et Chukha, dit le Dr Gampo Dorji .Le Bhoutan peut se prévaloir à l'échelle mondiale d’être parmi les 30 premiers pays à avoir un tel plan d'action en place, mais son taux de décès par suicide n'est pas loin derrière.Dr Gampo Dorji a souligné que le taux de décès par suicide du pays en 2013 était de 14 pour 100.000 habitants est plus élevé que la moyenne mondiale de neuf à dix décès.les Dossiers avec la police montrent qu'un total de 314 cas de suicide dont 54 tentatives de suicide ont été signalés jusqu'à cette année depuis 2013. Sur ce total, 92 étaient au-dessous de 24 ans.Lyonpo Tandin Wangchuk, qui est le président du comité, a déclaré que le gouvernement est préoccupé par le nombre croissant des cas de suicide particulièrement parmi les jeunes. "Au Bhoutan, le décès par suicide se classe parmi les six principales causes de mortalité après les maladies alcooliques du foie et d'autres maladies non transmissibles ," at-il dit.Il a dit que les membres du comité de direction ont été soigneusement sélectionnés compte tenu de la pertinence et le rôle de leadership qu'ils peuvent jouer dans la prévention du suicide dans le pays."Compte tenu de l'importance des enjeux et des responsabilités de santé publique qu'on nous a accordée en tant que membres, il est de notre rôle de fournir un encadrement, orientation, conseil et élan de la réponse multisectorielle à la prévention nationale du suicide dans le pays."Une des dispositions institutionnelles pour mettre en œuvre efficacement les plans complets de prévention du suicide est de mettre en place des unités de médecine légale dans tous les hôpitaux de références régionaux.Dr Gampo Dorji a souligné la préoccupation des erreurs de classification du suicide comme l'homicide, compte tenu du manque de formation des personnels de santé qui participent à de tels cas. Il dit que la pratique actuelle dans le traitement des cas de tentative de suicide traite l'ecchymose seulement mais pas les causes derrière l'acte.La Mise en place d'un protocole standard pour améliorer les soins pour les personnes qui tentent de se suicider ou s''auto-mutilent sera l'une des mesures prises ainsi que réduire l'accès aux moyens de se suicider tel que la réglementation des pesticides.
Pour améliorer la résilience de la communauté et le soutien de la société pour la prévention du suicide dans les communautés, y compris les écoles et les institutions, le plan d'action doit obligatoirement orienter les enseignants sur les questions de santé mentale et des suicides .Au cours de la récente visite de Gyalyum Sangay Choden Wangchuck aux écoles, Dr Gampo Droji dit que le suicide était le principal sujet que les étudiants voulaient parler.
Les membres du comité ont également informés que le Dratshang (Commission for the Monastic Affairs of Bhutan) et le ministère de la santé auraient à piloter des approches bouddhistes et techniques psychothérapeutiques modernes en counseling de problèmes d' alcool et de toxicomanie dans l'unité psychiatrique JDWNRH et l'hôpital Trashigang.Lyonchoen Tshering Tobgay a assuré le soutien de l'Etat aux membres du comité pour la mise en œuvre du plan d'action. «Le suicide est un sujet de préoccupation et pour un pays de 700.000 personnes, même une seule vie perdue est une de trop."
* http://www.kuenselonline.com/actions-underway-to-prevent-suicides/
le Royaume du Bhoutan, est un pays d’Asie du Sud
d'après article "Actions underway to prevent suicides December 22, 2015 Sonam Pelden " *
le Premier ministre Tshering Tobgay et le ministre de la Santé Tandin Wangchuk lancent officiellement le plan d'action de prévention du suicide - 21/12/2015
Actions en cours pour prévenir les suicides
Une réponse multi-sectorielle pour sauver des vies du suicide a repris le rythme depuis le lancement du plan d'action limité dans le tempsSanté: avec environ deux appels par mois, le service d'assistance téléphonique de crise mis en place au Centre de l'aide en santé s'est occupé de 21 appels de personnes cherchant de l'aide sur la prévention du suicide au cours des 11 derniers mois.
Le service d'assistance téléphonique de crise fait parti des multiples activités qui ont été mises en œuvre après que le Conseil des ministres a approuvé le plan d'action de prévention du suicide en mai de cette année.Premier ministre Tshering Tobgay a officiellement lancé le plan de trois ans qui a six objectifs et 56 actions hier, lors de la première réunion du Comité national de pilotage de la prévention du suicide au ministère de la santé.Bien que les appels canulars restent encore un problème, le ministre de la Santé Wangchuk Tandin a dit que la ligne directe en service libre appel 112 du HHC a augmenté ses lignes téléphoniques pour établir le service d'assistance de crise et faciliter les gens à consulter un spécialiste.Le député chef adjoint du programme avec le département de la santé publique, le Dr Gampo Dorji tout en présentant l'état du plan d'action a déclaré que le personnel HHC ont déjà été formés à fournir un soutien de crise.
"Les conseils fournis par le service d'assistance téléphonique de crise a aidé à sauver 21 vies et quelques uns ont également visité le HHC pour les remercier», dit-il. Sur les 21 appelant entre 15 et 42 ans, sept sont des Hommes.
Bhoutan Rapport du suicide 2014Dr Gampo Dorji a partagé avec les membres que la prévention du suicide est maintenant incluse comme un indicateur dans les accords de résultats annuels du ministère de la santé et de l'administration locale (APA).
Outre d'orienter les agents de santé des districts à travers le pays sur les rôles de prévention du suicide, le secrétariat du National Suicide Prevention Program (NSPP) du ministère de la santé et de la Police royale du Bhoutan a également développé un registre national des suicides pour améliorer la tenue des dossiers.Le registre est dans sa phase finale et est actuellement testé à Samtse, Bajothang in Wangdue et Chukha, dit le Dr Gampo Dorji .Le Bhoutan peut se prévaloir à l'échelle mondiale d’être parmi les 30 premiers pays à avoir un tel plan d'action en place, mais son taux de décès par suicide n'est pas loin derrière.Dr Gampo Dorji a souligné que le taux de décès par suicide du pays en 2013 était de 14 pour 100.000 habitants est plus élevé que la moyenne mondiale de neuf à dix décès.les Dossiers avec la police montrent qu'un total de 314 cas de suicide dont 54 tentatives de suicide ont été signalés jusqu'à cette année depuis 2013. Sur ce total, 92 étaient au-dessous de 24 ans.Lyonpo Tandin Wangchuk, qui est le président du comité, a déclaré que le gouvernement est préoccupé par le nombre croissant des cas de suicide particulièrement parmi les jeunes. "Au Bhoutan, le décès par suicide se classe parmi les six principales causes de mortalité après les maladies alcooliques du foie et d'autres maladies non transmissibles ," at-il dit.Il a dit que les membres du comité de direction ont été soigneusement sélectionnés compte tenu de la pertinence et le rôle de leadership qu'ils peuvent jouer dans la prévention du suicide dans le pays."Compte tenu de l'importance des enjeux et des responsabilités de santé publique qu'on nous a accordée en tant que membres, il est de notre rôle de fournir un encadrement, orientation, conseil et élan de la réponse multisectorielle à la prévention nationale du suicide dans le pays."Une des dispositions institutionnelles pour mettre en œuvre efficacement les plans complets de prévention du suicide est de mettre en place des unités de médecine légale dans tous les hôpitaux de références régionaux.Dr Gampo Dorji a souligné la préoccupation des erreurs de classification du suicide comme l'homicide, compte tenu du manque de formation des personnels de santé qui participent à de tels cas. Il dit que la pratique actuelle dans le traitement des cas de tentative de suicide traite l'ecchymose seulement mais pas les causes derrière l'acte.La Mise en place d'un protocole standard pour améliorer les soins pour les personnes qui tentent de se suicider ou s''auto-mutilent sera l'une des mesures prises ainsi que réduire l'accès aux moyens de se suicider tel que la réglementation des pesticides.
Pour améliorer la résilience de la communauté et le soutien de la société pour la prévention du suicide dans les communautés, y compris les écoles et les institutions, le plan d'action doit obligatoirement orienter les enseignants sur les questions de santé mentale et des suicides .Au cours de la récente visite de Gyalyum Sangay Choden Wangchuck aux écoles, Dr Gampo Droji dit que le suicide était le principal sujet que les étudiants voulaient parler.
Les membres du comité ont également informés que le Dratshang (Commission for the Monastic Affairs of Bhutan) et le ministère de la santé auraient à piloter des approches bouddhistes et techniques psychothérapeutiques modernes en counseling de problèmes d' alcool et de toxicomanie dans l'unité psychiatrique JDWNRH et l'hôpital Trashigang.Lyonchoen Tshering Tobgay a assuré le soutien de l'Etat aux membres du comité pour la mise en œuvre du plan d'action. «Le suicide est un sujet de préoccupation et pour un pays de 700.000 personnes, même une seule vie perdue est une de trop."
* http://www.kuenselonline.com/actions-underway-to-prevent-suicides/
Formation "Repérage de la crise suicidaire en Vaucluse". 2016
Formation "Repérage de la crise suicidaire en Vaucluse".
3 sessions de formation de 3 jours, au choix :
07-08 avril et 09 juin 2016 - Avignon (Maison des Adolescents)
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "enfants, ados et jeunes"
26-27 mai et 07 juillet 2016 - Lieu à préciser
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "population générale et population vieillissante"
08-09 septembre et 08 décembre 2016 - Lieu à préciser
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "population générale et population vieillissante"
Public : Professionnels de l’éducation, du social, de la santé, de la justice, travaillant auprès des personnes âgées, des publics jeunes, des personnes détenues ou sous main de justice, etc.
Afin d’améliorer la prise en charge de la crise suicidaire en Provence-Alpes-Côte d’Azur, les Comités départementaux d’éducation pour la santé (CoDES) de chaque département proposent aux acteurs de proximité, des formations au repérage de la crise suicidaire, à l’écoute et à l’orientation, financées par l’Agence régionale de santé de Paca.
3 sessions de formation de 3 jours, au choix :
07-08 avril et 09 juin 2016 - Avignon (Maison des Adolescents)
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "enfants, ados et jeunes"
26-27 mai et 07 juillet 2016 - Lieu à préciser
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "population générale et population vieillissante"
08-09 septembre et 08 décembre 2016 - Lieu à préciser
Formation des professionnels intervenant auprès de publics "population générale et population vieillissante"
Public : Professionnels de l’éducation, du social, de la santé, de la justice, travaillant auprès des personnes âgées, des publics jeunes, des personnes détenues ou sous main de justice, etc.
Afin d’améliorer la prise en charge de la crise suicidaire en Provence-Alpes-Côte d’Azur, les Comités départementaux d’éducation pour la santé (CoDES) de chaque département proposent aux acteurs de proximité, des formations au repérage de la crise suicidaire, à l’écoute et à l’orientation, financées par l’Agence régionale de santé de Paca.
Programme en cours d'élaboration
Recherche etude France : Performance au Iowa Gambling Task chez les personnes âgées avec une histoire de vie avec des actes suicidaires
Titre original : Iowa Gambling Task Performance in Elderly Persons with a Lifetime History of Suicidal Acts
Marilyn Wyart, MD a, , , Isabelle Jaussent, PhD b, c, Karen Ritchie, PhD b, c, Mocrane Abbar, MD a, Fabrice Jollant, MD PhD a, d, Philippe Courtet, MD PhD b, c, e
a Academic Hospital (CHU) Nimes, France
b Université Montpellier 1, Montpellier, France
c Inserm U1061, Montpellier, France
d McGill Group for Suicide Studies, Douglas Mental Health University Institute, McGill University, Montreal (Quebec), Canada
e CHU Montpellier, Hôpital Lapeyronie, Department of Emergency Psychiatry and Post Acute Care, CHU Montpellier, France
Received 25 March 2015, Revised 22 November 2015, Accepted 16 December 2015, Available online 24 December 2015
Sujet le Suicide chez les personnes âgées est un problème majeur de santé publique. La présente étude cherche à mieux comprendre les mécanismes de vulnérabilité suicidaire chez les personnes âgées, en se concentrant sur la prise de décision à haut risque. Cette affaiblissement de cette caractéristique été largement étudié dans la tentative de suicide des adolescents et d'âge moyen, mais moins souvent chez les personnes âgées.
Les participants étaient âgés de 65 ans et plus. Trente-cinq personnes avec une histoire de vie avec des tentatives de suicide et troubles dépressifs comparés à 52 personnes avec des antécédents de troubles dépressifs mais sans actes suicidaires dans le passé, et 43 sujets témoins.Le Iowa Gambling Task a été utilisé comme une mesure de la prise de décision basée sur la valeur.Résultats. Prenant en compte l'âge, le sexe et scores sur l'échelle de dépression Beck, aucune différence dans les performances de prise de décision a été trouvé entre les trois groupes. Toutefois, le groupe des suicidants présentaient une hétérogénéité significative ceux utilisant des moyens violents ayant une plus mauvaise performance que les suicidants utilisant des moyens non violents.ConclusionsCette étude ne confirme pas l'hypothèse d'un rôle significatif d'une pauvre performance au Iowa Gambling Task comme un marqueur général de comportement suicidaire chez les personnes âgées, mais souligne son association avec le sous-type spécifique des suicidants violents. Combiné avec les résultats précédents entre les autres groupes d'âge, il suggère que l'affaiblissement de IGT peut être un marqueur de vulnérabilité des risques à des actes suicidaires violents. Les Études prospectives futures devraient évaluer si cela pourrait représenter un marqueur de risque de suicide.http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S106474811500319X
Marilyn Wyart, MD a, , , Isabelle Jaussent, PhD b, c, Karen Ritchie, PhD b, c, Mocrane Abbar, MD a, Fabrice Jollant, MD PhD a, d, Philippe Courtet, MD PhD b, c, e
a Academic Hospital (CHU) Nimes, France
b Université Montpellier 1, Montpellier, France
c Inserm U1061, Montpellier, France
d McGill Group for Suicide Studies, Douglas Mental Health University Institute, McGill University, Montreal (Quebec), Canada
e CHU Montpellier, Hôpital Lapeyronie, Department of Emergency Psychiatry and Post Acute Care, CHU Montpellier, France
Received 25 March 2015, Revised 22 November 2015, Accepted 16 December 2015, Available online 24 December 2015
Sujet le Suicide chez les personnes âgées est un problème majeur de santé publique. La présente étude cherche à mieux comprendre les mécanismes de vulnérabilité suicidaire chez les personnes âgées, en se concentrant sur la prise de décision à haut risque. Cette affaiblissement de cette caractéristique été largement étudié dans la tentative de suicide des adolescents et d'âge moyen, mais moins souvent chez les personnes âgées.
Les participants étaient âgés de 65 ans et plus. Trente-cinq personnes avec une histoire de vie avec des tentatives de suicide et troubles dépressifs comparés à 52 personnes avec des antécédents de troubles dépressifs mais sans actes suicidaires dans le passé, et 43 sujets témoins.Le Iowa Gambling Task a été utilisé comme une mesure de la prise de décision basée sur la valeur.Résultats. Prenant en compte l'âge, le sexe et scores sur l'échelle de dépression Beck, aucune différence dans les performances de prise de décision a été trouvé entre les trois groupes. Toutefois, le groupe des suicidants présentaient une hétérogénéité significative ceux utilisant des moyens violents ayant une plus mauvaise performance que les suicidants utilisant des moyens non violents.ConclusionsCette étude ne confirme pas l'hypothèse d'un rôle significatif d'une pauvre performance au Iowa Gambling Task comme un marqueur général de comportement suicidaire chez les personnes âgées, mais souligne son association avec le sous-type spécifique des suicidants violents. Combiné avec les résultats précédents entre les autres groupes d'âge, il suggère que l'affaiblissement de IGT peut être un marqueur de vulnérabilité des risques à des actes suicidaires violents. Les Études prospectives futures devraient évaluer si cela pourrait représenter un marqueur de risque de suicide.http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S106474811500319X
MANIFESTATION MARTINIQUE 4/01/2016 réunion d'information SOS SOUFFRANCE ET CRISE EN MARTINIQUE
Dans le cadre des actions de prévention du suicide réunion d'information
" SOS SOUFFRANCE ET CRISE EN MARTINIQUE" le 4/01/2016
Présentation programme
Lettre bénévoles
IRLANDE, DUBLIN Des étudiants posent nus sur un calendrier dans le cadre d'une campagne d'une association de prévention du suicide
D’après article : Ces étudiants posent nus pour lutter contre le fléau du suicide
Publié le mardi 29 décembre 2015 jactiv.ouest-france.fr*
Le calendrier est vendu au prix de 10€. L'intégralité des fonds ira à l'association de prévention contre le suicide des jeunes en Irlande. © UCDSU
Plusieurs étudiants de l’université nationale de Dublin se sont mobilisés pour venir en soutien d’une association de prévention contre le suicide des jeunes en Irlande (YSPI). Leur action ? Se mettre à nu dans un calendrier afin de récolter des fonds mais aussi de montrer qu’il est important d’aimer son corps tel qu’il est.
En Irlande, le taux de suicide chez les jeunes est le troisième plus élevé de l’Union Européenne. Le stress des études, la dépression et les pressions extérieures sont les principales causes qui font commettre l’irréparable chez les jeunes.
S’aimer soi-même et ne pas avoir honte de son corps
De ce fait, ces étudiants irlandais ont décidé d’apporter leur soutien à une cause qui les touche. Ils ont posé devant un photographe afin de sortir un calendrier de charité. Si certains se sont mis à nus, d’autres posent avec un équipement pour un saut de parachute.
Le calendrier est vendu 10 €, plus de 1 000 unités ont d’ores et déjà été écoulées. Le directeur de l’université-collège de Dublin espère récolter 100 000 € avec l’initiative. L’intégralité des fonds ira à l’YSPI, l’association de prévention.
* http://jactiv.ouest-france.fr/actualites/spotted/ces-etudiants-posent-nus-pour-lutter-contre-fleau-suicide-57750
Complément info d'après articles "UCDSU Charity Calendar 2016"
https://ucdsu.yspi.eu/sponsor-a-friend/ucdsu-charity-calendar-2016
et "UCDSU Launch Skydive Challenge"
http://www.universityobserver.ie/news/ucdsu-launch-skydive-challenge/
L'union des étudiants de l'University de Dublin (UCD Students 'Union) souhaite lever 100.000 € pour un organisme de bienfaisance, Youth Suicide Prevention Ireland (YSPI). Ils ont recruté 530 étudiants pour ce défi dans le cadre d'une grande campagne avec plusieurs actions dont l'organisation de sauts en parachute et plus récemment un calendrier de nus.
Ils ont recueilli plus de 10 000 € à ce jour et espèrent recueillir encore 30.000 € par la vente par les participants de la campagne et sur les boutiques du campus de 3000 calendriers pour € 10. Tous les profits iront à YSPI pour réduire le suicide chez les jeunes en Irlande grâce à un programme d'enseignement fondé sur The Four Steps to Help, fourni gratuitement aux écoles secondaires à travers le pays.
YSPI a été fondée en 2007 comme il n'y avait pas d'organismes de bienfaisance nationaux axés spécifiquement sur les problèmes et les questions du suicide et de l'automutilation chez les jeunes en Irlande. Ils ne reçoivent aucune aide de l'Etat et sont totalement dépendants des dons du public.
Le président de UCD Students' Union 2015/16 Marcus O'Halloran dit que ce calendrier, quoique controversé, aide une bonne cause : «Nous organisons un calendrier nu de Noël et un saut en parachute dans le cadre de notre campagne de collecte de fonds pour la prévention du suicide des jeunes en Irlande. Nous avons été accusé d'être hors message, mais toutes nos idées sont géré par YSPI et ils sont d'accord avec nos méthodes. Nous voulons attirer l'attention sur ce que nous faisons. Nous avons besoin de l'attention pour obtenir ensemble autant d'argent. Un organisime de bienfaisance comme YSPI a un réel besoin pour avoir des ressources non fournies par le gouvernement. Nous voulons aider à étendre et développer leur programme Schools Visit, et programme Four Steps to Help"
Les Calendriers coûtent € 10 plus frais de port € 2 et 100% du coût des € 10 du calendrier va directement à YSPI
Publié le mardi 29 décembre 2015 jactiv.ouest-france.fr*
Le calendrier est vendu au prix de 10€. L'intégralité des fonds ira à l'association de prévention contre le suicide des jeunes en Irlande. © UCDSU
Plusieurs étudiants de l’université nationale de Dublin se sont mobilisés pour venir en soutien d’une association de prévention contre le suicide des jeunes en Irlande (YSPI). Leur action ? Se mettre à nu dans un calendrier afin de récolter des fonds mais aussi de montrer qu’il est important d’aimer son corps tel qu’il est.
En Irlande, le taux de suicide chez les jeunes est le troisième plus élevé de l’Union Européenne. Le stress des études, la dépression et les pressions extérieures sont les principales causes qui font commettre l’irréparable chez les jeunes.
S’aimer soi-même et ne pas avoir honte de son corps
De ce fait, ces étudiants irlandais ont décidé d’apporter leur soutien à une cause qui les touche. Ils ont posé devant un photographe afin de sortir un calendrier de charité. Si certains se sont mis à nus, d’autres posent avec un équipement pour un saut de parachute.
Le calendrier est vendu 10 €, plus de 1 000 unités ont d’ores et déjà été écoulées. Le directeur de l’université-collège de Dublin espère récolter 100 000 € avec l’initiative. L’intégralité des fonds ira à l’YSPI, l’association de prévention.
* http://jactiv.ouest-france.fr/actualites/spotted/ces-etudiants-posent-nus-pour-lutter-contre-fleau-suicide-57750
Complément info d'après articles "UCDSU Charity Calendar 2016"
https://ucdsu.yspi.eu/sponsor-a-friend/ucdsu-charity-calendar-2016
et "UCDSU Launch Skydive Challenge"
http://www.universityobserver.ie/news/ucdsu-launch-skydive-challenge/
L'union des étudiants de l'University de Dublin (UCD Students 'Union) souhaite lever 100.000 € pour un organisme de bienfaisance, Youth Suicide Prevention Ireland (YSPI). Ils ont recruté 530 étudiants pour ce défi dans le cadre d'une grande campagne avec plusieurs actions dont l'organisation de sauts en parachute et plus récemment un calendrier de nus.
Ils ont recueilli plus de 10 000 € à ce jour et espèrent recueillir encore 30.000 € par la vente par les participants de la campagne et sur les boutiques du campus de 3000 calendriers pour € 10. Tous les profits iront à YSPI pour réduire le suicide chez les jeunes en Irlande grâce à un programme d'enseignement fondé sur The Four Steps to Help, fourni gratuitement aux écoles secondaires à travers le pays.
YSPI a été fondée en 2007 comme il n'y avait pas d'organismes de bienfaisance nationaux axés spécifiquement sur les problèmes et les questions du suicide et de l'automutilation chez les jeunes en Irlande. Ils ne reçoivent aucune aide de l'Etat et sont totalement dépendants des dons du public.
Le président de UCD Students' Union 2015/16 Marcus O'Halloran dit que ce calendrier, quoique controversé, aide une bonne cause : «Nous organisons un calendrier nu de Noël et un saut en parachute dans le cadre de notre campagne de collecte de fonds pour la prévention du suicide des jeunes en Irlande. Nous avons été accusé d'être hors message, mais toutes nos idées sont géré par YSPI et ils sont d'accord avec nos méthodes. Nous voulons attirer l'attention sur ce que nous faisons. Nous avons besoin de l'attention pour obtenir ensemble autant d'argent. Un organisime de bienfaisance comme YSPI a un réel besoin pour avoir des ressources non fournies par le gouvernement. Nous voulons aider à étendre et développer leur programme Schools Visit, et programme Four Steps to Help"
Les Calendriers coûtent € 10 plus frais de port € 2 et 100% du coût des € 10 du calendrier va directement à YSPI
jeudi 24 décembre 2015
SUISSE Travail de Bachelor : L’infirmier en psychiatrie face au suicide de patients
L’infirmier en psychiatrie face au suicide de patients
Jérôme ARELLANO & Andreia MORAIS
Bachelor of Science HES-‐SO en Soins Infirmiers
Travail de Bachelor présenté à la Haute Ecole de la Santé La Source
LAUSANNE 2015
Résumé
But A travers cette revue partielle de littérature, nous souhaitons explorer les différents types d’impacts que peuvent induire le décès par suicide d’un patient dans un contexte de psychiatrie, au sein des membres d’une équipe soignante. Nous désirons également amener des pistes de réflexions concernant la mise en place d’interventions pour faire face à cet évènement.
Dans le but de nous aider à explorer plus en profondeur cette problématique, nous nous sommes basés sur trois concepts théoriques : les émotions, le déni , ainsi que le coping et les mécanismes de défense . Notre question de recherche est la suivante : « Suite à une tentative ou à un suicide de patient hospitalisé en psychiatrie, quels sont les impacts pour les infirmiers 1 et quelles interventions mettre en place pour y faire face
http://doc.rero.ch/record/257875/files/TB_Arellano_J._Morais_A._2015.pdf?version=1
Jérôme ARELLANO & Andreia MORAIS
Bachelor of Science HES-‐SO en Soins Infirmiers
Travail de Bachelor présenté à la Haute Ecole de la Santé La Source
LAUSANNE 2015
Résumé
But A travers cette revue partielle de littérature, nous souhaitons explorer les différents types d’impacts que peuvent induire le décès par suicide d’un patient dans un contexte de psychiatrie, au sein des membres d’une équipe soignante. Nous désirons également amener des pistes de réflexions concernant la mise en place d’interventions pour faire face à cet évènement.
Dans le but de nous aider à explorer plus en profondeur cette problématique, nous nous sommes basés sur trois concepts théoriques : les émotions, le déni , ainsi que le coping et les mécanismes de défense . Notre question de recherche est la suivante : « Suite à une tentative ou à un suicide de patient hospitalisé en psychiatrie, quels sont les impacts pour les infirmiers 1 et quelles interventions mettre en place pour y faire face
http://doc.rero.ch/record/257875/files/TB_Arellano_J._Morais_A._2015.pdf?version=1
mardi 22 décembre 2015
BOUCHES DU RHONE Offre de formations 6,7/04 et 27 04/2016 18,19/05 et 27/05/2016
Repérage de la crise suicidaire et prise en charge de la souffrance psychique
Offre de formations pour Bouches-du-Rhône 6,7/04 et 27 04/2016 18,19/05 et 27/05/2016
Deux formations organisées sur 3 jours (2 jours consécutifs et une journée à distance des deux premières)
Ces formations élaborées, animées et évaluées par des intervenants de chaque territoire contribuent à une dynamique territoriale et à une meilleure connaissance des réseaux de prise en charge. Elles suivront le protocole national du Pr Jean Louis Terra déjà mis en œuvre en région PACA.
Une formation "population générale et personnes vieillissantes"
- Lieu à définir: 6,7/04 et 27/04/2016
Une formation "adolescents-jeunes"
- Lieu à définir : 18,19/05 et 27/05/2015
Objectif général de la formation
Améliorer le repérage et la prise en charge de la crise suicidaire et de la souffrance psychique.
Compétences visées
A l’issue de la formation, chaque stagiaire sera en capacité de mobiliser des compétences spécifiques en matière de repérage et de prise en charge de la crise suicidaire et de connaître et utiliser les réseaux de prévention et de prise en charge de la crise suicidaire.
Objectifs pédagogiques
Travailler sur les représentations des professionnels et améliorer leurs connaissancessur les notions de crise suicidaire et de souffrance psychique.
Former les participants à l’utilisation de pratiques et d’outils de repérage de la crise suicidaire.
Échanger sur les pratiques professionnelles et développer des connaissances concernant les lieux de prise en charge et les modes de fonctionnement de ces structures.
Publics
Professionnels pluridisciplinaires (professionnels de l’éducation, de la santé, du social) travaillant auprès des adolescents, des jeunes, des adultes et des personnes âgées en situation de vulnérabilité.
Acteurs
Deux formateurs formés dans le cadre de la stratégie nationale d'action face au suicide.
Dr Boh KOUROUMA - Docteur en psychiatrie – Hôpital Henri Guérin – Pierrefeu du var et Mylène BAUDRY – Formatrice permanente au CODES 83
Formations gratuites pour ses participants car organisées dans le cadre d’un projet régional, financé par l’Agence Régionale de Santé PACA.
Contact : Martyna ZIOLKOWSKA - m.ziolkowska@codes83.org
04 94 89 47 98
Source : http://www.codes83.org/a/258/reperage-de-la-crise-suicidaire-et-prise-en-charge-de-la-souffrance-psychique/
Offre de formations pour Bouches-du-Rhône 6,7/04 et 27 04/2016 18,19/05 et 27/05/2016
Deux formations organisées sur 3 jours (2 jours consécutifs et une journée à distance des deux premières)
Ces formations élaborées, animées et évaluées par des intervenants de chaque territoire contribuent à une dynamique territoriale et à une meilleure connaissance des réseaux de prise en charge. Elles suivront le protocole national du Pr Jean Louis Terra déjà mis en œuvre en région PACA.
Une formation "population générale et personnes vieillissantes"
- Lieu à définir: 6,7/04 et 27/04/2016
Une formation "adolescents-jeunes"
- Lieu à définir : 18,19/05 et 27/05/2015
Objectif général de la formation
Améliorer le repérage et la prise en charge de la crise suicidaire et de la souffrance psychique.
Compétences visées
A l’issue de la formation, chaque stagiaire sera en capacité de mobiliser des compétences spécifiques en matière de repérage et de prise en charge de la crise suicidaire et de connaître et utiliser les réseaux de prévention et de prise en charge de la crise suicidaire.
Objectifs pédagogiques
Travailler sur les représentations des professionnels et améliorer leurs connaissancessur les notions de crise suicidaire et de souffrance psychique.
Former les participants à l’utilisation de pratiques et d’outils de repérage de la crise suicidaire.
Échanger sur les pratiques professionnelles et développer des connaissances concernant les lieux de prise en charge et les modes de fonctionnement de ces structures.
Publics
Professionnels pluridisciplinaires (professionnels de l’éducation, de la santé, du social) travaillant auprès des adolescents, des jeunes, des adultes et des personnes âgées en situation de vulnérabilité.
Acteurs
Deux formateurs formés dans le cadre de la stratégie nationale d'action face au suicide.
Dr Boh KOUROUMA - Docteur en psychiatrie – Hôpital Henri Guérin – Pierrefeu du var et Mylène BAUDRY – Formatrice permanente au CODES 83
Formations gratuites pour ses participants car organisées dans le cadre d’un projet régional, financé par l’Agence Régionale de Santé PACA.
Contact : Martyna ZIOLKOWSKA - m.ziolkowska@codes83.org
04 94 89 47 98
Source : http://www.codes83.org/a/258/reperage-de-la-crise-suicidaire-et-prise-en-charge-de-la-souffrance-psychique/
EUROPE : Présentation du réseau ADOCARE Les soins psychiatriques pour adolescents en Europe: situation actuelle, recommandations et lignes directrices
Les soins psychiatriques pour adolescents en Europe: situation actuelle, recommandations et lignes directrices par le réseau ADOCARE *
E. Coppens - I. Vermet - J. Knaeps - M. De Clerck
I. De Schrijver - J.P. Matot - Ch. Van Audenhove
Bruxelles
Décembre 2015
* ADOCARE: contrat de service avec la Commission européenne en vue de mettre en œuvre une action préparatoire liée à la création d’un réseau européen d’experts en soins adaptés aux adolescents souffrant de troubles psychiatriques, contrat de service SANCO/2013/C1/005 - S12.668919
http://www.cresam.be/IMG/pdf/adolescent_mental_health_care_in_europe_french.pdf
E. Coppens - I. Vermet - J. Knaeps - M. De Clerck
I. De Schrijver - J.P. Matot - Ch. Van Audenhove
Bruxelles
Décembre 2015
* ADOCARE: contrat de service avec la Commission européenne en vue de mettre en œuvre une action préparatoire liée à la création d’un réseau européen d’experts en soins adaptés aux adolescents souffrant de troubles psychiatriques, contrat de service SANCO/2013/C1/005 - S12.668919
http://www.cresam.be/IMG/pdf/adolescent_mental_health_care_in_europe_french.pdf
lundi 21 décembre 2015
BRETAGNE APPEL A PROJET 2016
APPELS A PROJETS
L’Agence Régionale de Santé de Bretagne (ARS) lance pour 2016 un appel à projets régional pour le financement des actions de prévention et promotion de la santé.
L’ensemble des actions et des dispositifs de santé publique financés par l’ARS relèvent du Fond d’Intervention Régional (FIR) créé en 2012.
L’appel à projets 2016 marque la cinquième année de mise en œuvre du Projet Régional de Santé (PRS) et des objectifs prioritaires définis dans le Plan Stratégique Régional de Santé (PSRS) :
Objectif 1.1« Promouvoir des comportements favorables à la santé »
Objectif 1.2 « Promouvoir l’égalité devant la santé »
Objectif 1.3 « Prévenir l’exposition de la population aux facteurs de risques environnementaux »
Il s’inscrit également dans le cadre de la mise en œuvre du PRSE (Programme Régional Santé Environnement) et du le PRAPS (Programme Régional d’Accès à la Prévention et aux Soins).
Au regard de ces éléments, les actions présentées au titre de l'appel à projets 2016 doivent :
- porter sur les thématiques prioritaires :
1. Les conduites addictives
2. La promotion de la santé mentale et la prévention du suicide
3. La santé des personnes en situation de précarité
4. La vie affective et sexuelle
5. La nutrition et l’activité physique
6. La santé environnementale
- contribuer à réduire les inégalités de santé,
- s’inscrire dans les territoires de santé et s’appuyer sur un travail partenarial de proximité dans le cadre par exemple des contrats locaux de santé, de l’animation territoriale de santé…
- apporter des garanties sur la qualité de l’action mise en œuvre.
Pour vérifier si vous répondez aux critères de l'appel à projets et pour connaître les modalités de dépôt, vous devez consulter le guide du porteur téléchargeable sur le site internet de l’ARS.
Attention, le dépôt des dossiers se fera du jeudi 28 janvier au jeudi 25 février 2016 inclus par le biais d'une boîte mail dédiée qui ne peut pas recevoir de message dont la taille excède 4MO.
Le PRS est consultable sur le site internet de l’ARS (http://ars.bretagne.sante.fr/ http://ars.bretagne.sante.fr/ blocked::http://ars.bretagne.sante.fr/">http://ars.bretagne.sante.fr).
Source info http://www.paysdeploermel-coeurdebretagne.fr/thematiques/solidarites/lettre-infos-sante.html
L’Agence Régionale de Santé de Bretagne (ARS) lance pour 2016 un appel à projets régional pour le financement des actions de prévention et promotion de la santé.
L’ensemble des actions et des dispositifs de santé publique financés par l’ARS relèvent du Fond d’Intervention Régional (FIR) créé en 2012.
L’appel à projets 2016 marque la cinquième année de mise en œuvre du Projet Régional de Santé (PRS) et des objectifs prioritaires définis dans le Plan Stratégique Régional de Santé (PSRS) :
Objectif 1.1« Promouvoir des comportements favorables à la santé »
Objectif 1.2 « Promouvoir l’égalité devant la santé »
Objectif 1.3 « Prévenir l’exposition de la population aux facteurs de risques environnementaux »
Il s’inscrit également dans le cadre de la mise en œuvre du PRSE (Programme Régional Santé Environnement) et du le PRAPS (Programme Régional d’Accès à la Prévention et aux Soins).
Au regard de ces éléments, les actions présentées au titre de l'appel à projets 2016 doivent :
- porter sur les thématiques prioritaires :
1. Les conduites addictives
2. La promotion de la santé mentale et la prévention du suicide
3. La santé des personnes en situation de précarité
4. La vie affective et sexuelle
5. La nutrition et l’activité physique
6. La santé environnementale
- contribuer à réduire les inégalités de santé,
- s’inscrire dans les territoires de santé et s’appuyer sur un travail partenarial de proximité dans le cadre par exemple des contrats locaux de santé, de l’animation territoriale de santé…
- apporter des garanties sur la qualité de l’action mise en œuvre.
Pour vérifier si vous répondez aux critères de l'appel à projets et pour connaître les modalités de dépôt, vous devez consulter le guide du porteur téléchargeable sur le site internet de l’ARS.
Attention, le dépôt des dossiers se fera du jeudi 28 janvier au jeudi 25 février 2016 inclus par le biais d'une boîte mail dédiée qui ne peut pas recevoir de message dont la taille excède 4MO.
Le PRS est consultable sur le site internet de l’ARS (http://ars.bretagne.sante.fr/ http://ars.bretagne.sante.fr/ blocked::http://ars.bretagne.sante.fr/">http://ars.bretagne.sante.fr).
Source info http://www.paysdeploermel-coeurdebretagne.fr/thematiques/solidarites/lettre-infos-sante.html
vendredi 18 décembre 2015
AUSTRALIE DEBAT CRITIQUE sur la question des objectifs dans les stratégies nationales de prévention du suicide
OPINION : L'établissement d'objectifs en prévention du suicide
est super pour le progrès, mais est-il bon pour la prévention du suicide?
D'après article d'Alan Woodward le Jeudi 17 Décembre sur theguardian.com*
titre original :"Target-setting is great for progress, but is it right for suicide prevention?"
Quelle est le «bon» objectif de prévention du suicide? Est-ce qu'un objectif de 50% implique l'acceptation qu'en Australie 1300 personnes mourront par suicide tous les ans ?
("Peut-être qu'on pourrait se fixer des objectifs pour réduire la souffrance humaine aussi bien que de se fixer des objectifs pour sauver des vies? " )
Fixer des objectifs est devenu banal comme un moyen de mesurer les résultats et les progrès. Nous avons vu ceci récemment comment l’avenir écologie de notre planète et de la complexité de la politique internationale sur le changement climatique ont été réduits à des négociations autour d'une série d'objectifs.
C'est comme si les objectifs donnaient une signification à l'objectif de changement.
Donc, nous devrions sûrement fixer des objectifs pour la prévention du suicide, non?
Comment mieux concentrer les efforts pour fixer des objectifs afin de réduire la perte tragique de vies par suicide? Et sûrement fixer des objectifs est une manière de communiquer et d'engager la communauté élargie dans la prévention du suicide axé sur les résultats ?
Cela a déjà commencé. En 2013, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a promu un objectif de réduction de 10% des suicides en 2020 pour les pays membres, dont l'Australie. Puis, en 2014, l'OMS a publié son premier rapport sur le suicide documentant les éléments clés pour toute stratégie nationale de prévention du suicide, se basant sur des preuves de la recherche et de l'opinion d'experts.
Certains pays étaient en avance sur cela, comme l’écosse qui a fixé en 2002 un objectif de réduction de 20% des décès par suicide en 2013. En fait, l’Écosse a réalisé une réduction de 18% dans cette période de temps. Peut-être la mise en objectifs ambitieux assortis d'une stratégie de prévention du suicide national efficace fonctionne réellement.
Ici, la prévention du suicide d'Australie a recommandé un objectif de réduction de 50% des décès par suicide dans 10 ans, tel un énoncé ambitieux pour galvaniser le soutien et l'action.
Jusqu'à présent, les gouvernements d'Australie ont refusé d'accepter cette recommandation, et elle se trouve comme une question non résolue après plus de 12 mois de bilan national des programmes de santé mentale et de prévention du suicide.
Le contexte décevant de cette discussion est que, en Australie le nombre de décès par suicide chaque année n'a pas diminué pendant un certain temps - en fait, il a augmenté de 20% au cours des 10 dernières années. Notre taux de suicide national est resté obstinément autour du même niveau de 10 ou 11 décès pour 100 000 dans la population - à l'égal du taux annuel de suicide standardisé global par âge. Sûrement l'Australie peut faire mieux que cela.
Mais l'établissement d'objectifs n'est pas sans problèmes sur quelque chose d'aussi complexe et apparemment intransigeant comme un suicide. Il est facile de convenir que les objectifs devraient être fixés; moins facile à mettre d'accord sur ce que devraient être les objectifs et où la responsabilité pour la réalisation par rapport aux objectifs doit reposer.
Un point à considérer est le raisonnement pour tout objectif dans la réduction des décès par suicide. Si l'expertise internationale et les preuves de l'OMS suggère que 10% est réalisable, est-ce une folie pour l'Australie d'adopter une réduction de 50%?
Ou est ce que l'expérience écossaise suggérant de mettre des «objectifs étendus" assorti d'une stratégie efficace, produira des résultats? Étant donné qu'une réduction de 50% en Australie n'est pas un calcul raisonné, il devient nébuleux en effet d'essayer de fixer un objectif correct de prévention du suicide.
Et il y a cette question qui dérange- se fixer un objectif de 50% implique t'il l'acceptation de la communauté qu'en Australie 1300 personnes mourront encore par suicide par an ? Est ce que cela suggère une fatalité de certains décès par suicide qui sont au-delà de la capacité des stratégies nationales, services efficaces et action communautaire à empêcher? Est ce que la prévention du suicide est vraiment si difficile pour justifier des objectifs «faciles» ou cela la laisse nos esprits collectifs, cœurs et âmes s'en tirer un peu trop facilement?
Les questions éthiques commencent également à émerger lorsque les objectifs de prévention du suicide sont élevés. Est-ce que mettre l'accent exclusivement sur la réduction des décès diminuent notre compréhension et l'empathie pour le profond désespoir et la douleur ressentie par les personnes suicidaires - si oui ou non ils tentent effectivement le suicide ou meurent ?
Peut-être pourrait-on fixer des objectifs pour réduire la souffrance humaine avec une égale attention à l'objectif plus reconnaissable et mesurable de sauver des vies ?
Quand il s'agit de réduction de la pauvreté, la tendance de l'aide internationale et de développement a été d'identifier des facteurs de la qualité de vie et de bien-être pour les populations vulnérables au lieu de calculer simplement la prévention des décès.
Les Indices sur la santé, le bien-être et l'opportunité ont été établis comme mesures de succès dans la réduction de la pauvreté. les Programmes cherchent à obtenir des résultats qui respectent la dignité, l'autodétermination et la culture des personnes exposées à la pauvreté, et pas seulement des indicateurs de résultat abrupts de durée de vie et taux de mortalité par maladie.
Cela ne veut pas dire que la préservation de la vie humaine ne doit pas être clairement associée à la prévention du suicide. Un décès par suicide est, avant tout, une perte évitable et tragique de la vie. En Australie, l'âge médian d'une personne décédée par suicide est de 44,5 ans. Selon les derniers résultats du Bureau des statistiques australien, dans l'année 2013 le suicide représente plus de 85.000 années de vie perdues, ce qui en fait la principale cause de décès prématurés en Australie.
Nous ne devrions jamais négliger la valeur de ces vies - de vraies personnes aujourd'hui tristement regrettés.
Cependant, le débat sur la définition des objectifs de prévention du suicide a du chemin à parcourir. Il y a d'autres questions. Des objectifs devraient ils être fixés pour réduire les tentatives de suicide - et récidives, comme des indicateurs de comportement suicidaire qui sont tout aussi digne d'attention que les comportements qui entraînent la mort? Ce point a une pertinence particulière selon le genre, davantage de femmes australiennes tentent de se suicider que ne meurent.
Peut-être le meilleur objectif d'ensemble est celui de la tolérance zéro - l'objectif devrait être «zéro» décès et tentatives de suicide.
Nous ne devrions pas admettre et tolérer toute perte de vie par suicide, nous ne devrions pas négliger de fournir le meilleur de la compassion, de soutien et de soins de rétablissement pour ceux qui arrivent à l'endroit sombre qui suggère que la mort vaut mieux que de vivre. Tous nos efforts, nos programmes, nos stratégies de prévention du suicide gouvernementales, notre action communautaire, devraient alors être mesurés pour la contribution vers cet objectif. Nos systèmes de mesures pourraient alors être associés à célébrer chaque étape vers le résultat final.
Une telle attitude serait de refléter le commentaire de Dr Margaret Chan, Directeur général de l'OMS, lors de l'introduction du rapport international sur le suicide: "Chaque vie singulière perdue par suicide est un de trop."
• Pour plus d'informations et de soutien en Australie, appelez le 13 11 Lifeline 14, Mensline au 1300 789 978 ou Beyond Blue au 1300 22 4636
* http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/dec/17/target-setting-is-great-for-progress-but-is-it-right-for-suicide-prevention?CMP=soc_568
Statistiques Australie : http://www.abs.gov.au
D'après article d'Alan Woodward le Jeudi 17 Décembre sur theguardian.com*
titre original :"Target-setting is great for progress, but is it right for suicide prevention?"
Quelle est le «bon» objectif de prévention du suicide? Est-ce qu'un objectif de 50% implique l'acceptation qu'en Australie 1300 personnes mourront par suicide tous les ans ?
("Peut-être qu'on pourrait se fixer des objectifs pour réduire la souffrance humaine aussi bien que de se fixer des objectifs pour sauver des vies? " )
Fixer des objectifs est devenu banal comme un moyen de mesurer les résultats et les progrès. Nous avons vu ceci récemment comment l’avenir écologie de notre planète et de la complexité de la politique internationale sur le changement climatique ont été réduits à des négociations autour d'une série d'objectifs.
C'est comme si les objectifs donnaient une signification à l'objectif de changement.
Donc, nous devrions sûrement fixer des objectifs pour la prévention du suicide, non?
Comment mieux concentrer les efforts pour fixer des objectifs afin de réduire la perte tragique de vies par suicide? Et sûrement fixer des objectifs est une manière de communiquer et d'engager la communauté élargie dans la prévention du suicide axé sur les résultats ?
Cela a déjà commencé. En 2013, l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a promu un objectif de réduction de 10% des suicides en 2020 pour les pays membres, dont l'Australie. Puis, en 2014, l'OMS a publié son premier rapport sur le suicide documentant les éléments clés pour toute stratégie nationale de prévention du suicide, se basant sur des preuves de la recherche et de l'opinion d'experts.
Certains pays étaient en avance sur cela, comme l’écosse qui a fixé en 2002 un objectif de réduction de 20% des décès par suicide en 2013. En fait, l’Écosse a réalisé une réduction de 18% dans cette période de temps. Peut-être la mise en objectifs ambitieux assortis d'une stratégie de prévention du suicide national efficace fonctionne réellement.
Ici, la prévention du suicide d'Australie a recommandé un objectif de réduction de 50% des décès par suicide dans 10 ans, tel un énoncé ambitieux pour galvaniser le soutien et l'action.
Jusqu'à présent, les gouvernements d'Australie ont refusé d'accepter cette recommandation, et elle se trouve comme une question non résolue après plus de 12 mois de bilan national des programmes de santé mentale et de prévention du suicide.
Le contexte décevant de cette discussion est que, en Australie le nombre de décès par suicide chaque année n'a pas diminué pendant un certain temps - en fait, il a augmenté de 20% au cours des 10 dernières années. Notre taux de suicide national est resté obstinément autour du même niveau de 10 ou 11 décès pour 100 000 dans la population - à l'égal du taux annuel de suicide standardisé global par âge. Sûrement l'Australie peut faire mieux que cela.
Mais l'établissement d'objectifs n'est pas sans problèmes sur quelque chose d'aussi complexe et apparemment intransigeant comme un suicide. Il est facile de convenir que les objectifs devraient être fixés; moins facile à mettre d'accord sur ce que devraient être les objectifs et où la responsabilité pour la réalisation par rapport aux objectifs doit reposer.
Un point à considérer est le raisonnement pour tout objectif dans la réduction des décès par suicide. Si l'expertise internationale et les preuves de l'OMS suggère que 10% est réalisable, est-ce une folie pour l'Australie d'adopter une réduction de 50%?
Ou est ce que l'expérience écossaise suggérant de mettre des «objectifs étendus" assorti d'une stratégie efficace, produira des résultats? Étant donné qu'une réduction de 50% en Australie n'est pas un calcul raisonné, il devient nébuleux en effet d'essayer de fixer un objectif correct de prévention du suicide.
Et il y a cette question qui dérange- se fixer un objectif de 50% implique t'il l'acceptation de la communauté qu'en Australie 1300 personnes mourront encore par suicide par an ? Est ce que cela suggère une fatalité de certains décès par suicide qui sont au-delà de la capacité des stratégies nationales, services efficaces et action communautaire à empêcher? Est ce que la prévention du suicide est vraiment si difficile pour justifier des objectifs «faciles» ou cela la laisse nos esprits collectifs, cœurs et âmes s'en tirer un peu trop facilement?
Les questions éthiques commencent également à émerger lorsque les objectifs de prévention du suicide sont élevés. Est-ce que mettre l'accent exclusivement sur la réduction des décès diminuent notre compréhension et l'empathie pour le profond désespoir et la douleur ressentie par les personnes suicidaires - si oui ou non ils tentent effectivement le suicide ou meurent ?
Peut-être pourrait-on fixer des objectifs pour réduire la souffrance humaine avec une égale attention à l'objectif plus reconnaissable et mesurable de sauver des vies ?
Quand il s'agit de réduction de la pauvreté, la tendance de l'aide internationale et de développement a été d'identifier des facteurs de la qualité de vie et de bien-être pour les populations vulnérables au lieu de calculer simplement la prévention des décès.
Les Indices sur la santé, le bien-être et l'opportunité ont été établis comme mesures de succès dans la réduction de la pauvreté. les Programmes cherchent à obtenir des résultats qui respectent la dignité, l'autodétermination et la culture des personnes exposées à la pauvreté, et pas seulement des indicateurs de résultat abrupts de durée de vie et taux de mortalité par maladie.
Cela ne veut pas dire que la préservation de la vie humaine ne doit pas être clairement associée à la prévention du suicide. Un décès par suicide est, avant tout, une perte évitable et tragique de la vie. En Australie, l'âge médian d'une personne décédée par suicide est de 44,5 ans. Selon les derniers résultats du Bureau des statistiques australien, dans l'année 2013 le suicide représente plus de 85.000 années de vie perdues, ce qui en fait la principale cause de décès prématurés en Australie.
Nous ne devrions jamais négliger la valeur de ces vies - de vraies personnes aujourd'hui tristement regrettés.
Cependant, le débat sur la définition des objectifs de prévention du suicide a du chemin à parcourir. Il y a d'autres questions. Des objectifs devraient ils être fixés pour réduire les tentatives de suicide - et récidives, comme des indicateurs de comportement suicidaire qui sont tout aussi digne d'attention que les comportements qui entraînent la mort? Ce point a une pertinence particulière selon le genre, davantage de femmes australiennes tentent de se suicider que ne meurent.
Peut-être le meilleur objectif d'ensemble est celui de la tolérance zéro - l'objectif devrait être «zéro» décès et tentatives de suicide.
Nous ne devrions pas admettre et tolérer toute perte de vie par suicide, nous ne devrions pas négliger de fournir le meilleur de la compassion, de soutien et de soins de rétablissement pour ceux qui arrivent à l'endroit sombre qui suggère que la mort vaut mieux que de vivre. Tous nos efforts, nos programmes, nos stratégies de prévention du suicide gouvernementales, notre action communautaire, devraient alors être mesurés pour la contribution vers cet objectif. Nos systèmes de mesures pourraient alors être associés à célébrer chaque étape vers le résultat final.
Une telle attitude serait de refléter le commentaire de Dr Margaret Chan, Directeur général de l'OMS, lors de l'introduction du rapport international sur le suicide: "Chaque vie singulière perdue par suicide est un de trop."
• Pour plus d'informations et de soutien en Australie, appelez le 13 11 Lifeline 14, Mensline au 1300 789 978 ou Beyond Blue au 1300 22 4636
* http://www.theguardian.com/commentisfree/2015/dec/17/target-setting-is-great-for-progress-but-is-it-right-for-suicide-prevention?CMP=soc_568
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