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vendredi 21 avril 2017
ETUDE RECHERCHE Prise en charge des troubles de l’humeur dans les établissements ayant une activité autorisée en psychiatrie entre 2010 et 2014 en France métropolitaine. Analyse des données du RIM-P
Prise en charge des troubles de l’humeur dans les établissements ayant une activité autorisée en psychiatrie entre 2010 et 2014
en France métropolitaine. Analyse des données du RIM-P
BEH - Bulletin épidémiologique hebdomadaire
n°10/2017
Publié le 18/04/201 sur invs.santepubliquefrance.fr *
// Hospitalization and ambulatory care FOR MOOD DISORDERS IN PSYCHIATRIC SETTINGS in metropolitan France from 2010 to 2014.
Analysis of medico-administrative data from RIM-P
Lynda Badjadj, Christine Chan Chee (christine.chan-chee@santepubliquefrance.fr)
Santé publique France, Saint-Maurice, France
Santé publique France, Saint-Maurice, France
Soumis le 26.01.2017
Mots-clés : Troubles de l’humeur | Troubles bipolaires | Troubles dépressifs | Hospitalisation | Prise en charge ambulatoire
Keywords: Mood disorders | Bipolar disorders | Depressive disorders | Hospitalization | Ambulatory care
Mots-clés : Troubles de l’humeur | Troubles bipolaires | Troubles dépressifs | Hospitalisation | Prise en charge ambulatoire
Keywords: Mood disorders | Bipolar disorders | Depressive disorders | Hospitalization | Ambulatory care
Résumé
Introduction –
L’objectif de
l’étude était de décrire la prise en charge des patients atteints de
troubles de l’humeur dans les établissements
de santé ayant une activité autorisée en
psychiatrie en France métropolitaine, à partir de la base nationale de
Recueil d’information
médicalisée en psychiatrie (RIM-P).
Méthodes –
Ont été incluses
dans l’analyse toutes les personnes hospitalisées ou prises en charge en
ambulatoire dans des établissements
ayant une activité autorisée en psychiatrie
entre 2010 et 2014 et pour lesquelles un trouble bipolaire (TB : codes
CIM-10
F30 et F31) ou un trouble dépressif (TD :
codes CIM-10 F32 à F39) a été noté en diagnostic principal ou associé.
Résultats –
Entre 2010 et 2014,
1 684 663 et 446 867 patients ont été pris en charge, respectivement,
pour TD et TB dans les établissements
ayant une activité autorisée en psychiatrie.
En 2014, les taux de prise en charge pour TD étaient de 564,8 pour
100 000 personnes,
plus élevés chez les femmes (698,3 vs
421,5 chez les hommes). Ils ont peu varié au cours de la période
étudiée. En 2014, les taux de prise en charge pour TB étaient
de 157,1 pour 100 000 personnes (190,3 chez
les femmes et 120,8 chez les hommes). Une augmentation annuelle de 2,6% a
été
observée chez les hommes (p=0,01) et de 3,4%
chez les femmes (p<0,001) entre 2010 et 2014. Pour les TB comme pour
les TD,
les taux les plus élevés étaient retrouvés
chez les hommes et les femmes âgés de 50 à 54 ans. Chez les hommes comme
chez les
femmes, des taux de prise en charge
supérieurs de 20% au taux national ont été observés en Bretagne et
Bourgogne-Franche-Comté
pour les TD et dans le Sud-Ouest pour les TB.
Conclusion –
Ce travail souligne
l’importance de poursuivre la surveillance et la mise en place de
stratégies de prévention des troubles
de l’humeur, qui constituent un problème
majeur de santé publique. Des actions de détection et de prise en charge
précoce
de ces troubles devraient être développées
d’afin d’éviter leur chronicisation et le passage à l’acte suicidaire.
MANIFESTATION TUNISIE 13/05/2017 Rencontres médicales du centre de l’enfant et de l’adolescent
Rencontres médicales du centre de l’enfant et de l’adolescent
INVITATION
Au nom du comité d’organisation, nous avons l’honneur et le plaisir
de vous inviter aux Rencontres médicales du centre de l’enfant et de
l’adolescent qui aura lieu à Kairouan le Samedi 13 Mai 2017Le lieu de la rencontre sera l’Hôtel LA KASBAH situé au cœur de la ville de Kairouan.
Le thème de cette première édition sera « la prévention du suicide de l’enfant et de l’adolescent ».
Le programme scientifique comportera des conférences abordant plusieurs axes :
· Épidémiologie du suicide
· Facteurs de risque
· Trajectoire de vie des adolescents décédés
· Comportement médiatique devant le suicide
· Le suicide et l’addiction.
Le programme comporte aussi des ateliers interactifs.
La soumission des résumés des E.POSTER est ouverte, la date limite de soumission est le 30 Mars 2017 à minuit. Les intentions d’inscription et les résumés des E.POSTER seront envoyés aux adresses suivantes ( mlayehsouheil@yahoo.fr ou jihennemannai@yahoo.fr). Les résumés porteront sur le thème principal de la journée et sur les pathologies liées à l’enfant et l’adolescent. Résumé : Police :Times New Roman, 14, 350 mots, structure IMRAD de préférence.
Les Frais d’inscription sont de 30 Dinars (assistance aux plénières, ateliers, pause-café et déjeuner).
Cette rencontre sera suivie par une visite touristique dans la ville de Kairouan, connue par son architecture arabo-musulmane sa médina et ses curiosités culturelles et culinaires.
Nous serons heureux de vous accueillir à Kairouan.
Nous vous prions également de diffuser l’information à vos contacts et à travers les différents réseaux auxquels vous appartenez.
Veuillez également retrouver ci-joint l’affiche de la journée.
Avec les amitiés du Comité d’Organisation.
A bientôt.
Président : Pr. Ag. Souheil MLAYEH
Vice-présidente : Dr. Jihenne MANNAI
source http://www.agendas.ovh/rencontres-medicales-du-centre-de-lenfant-et-de-ladolescent/
Dans la Vallet de Clisson (44), des éclaireurs pour repérer le mal-être
Dans la Vallet de Clisson, des éclaireurs pour repérer le mal-être
Publié le 17/04/2017 www.ouest-france.fr
Patrick Meluc, deuxième à gauche, est venu expliquer ses motivations pour installer une antenne du GPS en Vallée de Clisson. | Photo : Ouest-France
Le Groupement de prévention du suicide installe une antenne sur le secteur de la Vallée de Clisson (Loire-Atlantique), en partenariat avec le Centre local d’information et de coordination (Clic). Des veilleurs sont formés pour participer au projet.
Le Clic de la Vallée de Clisson noue un partenariat avec le Groupement de prévention du suicide (GPS), qui prépare la création d’une antenne dans le territoire de la Vallée de Clisson.
Le GPS sollicitera des veilleurs, formés pour repérer les besoins d’aide urgente dans le secteur. « Notre but est de pouvoir disposer d’un veilleur par commune », établit Patrick Meluc, président du GPS.
Pour sensibiliser sur le secteur, le GPS passera par l’intermédiaire du Clic, des aides à domicile, et des personnels en contact avec les personnes âgées. « Les médecins sont également concernés », rappelle Patrick Meluc.
Le veilleur est une sentinelle, un écoutant de la personne en souffrance, dont la formation permet de repérer des situations suicidaires, d’évaluer l’urgence et d’en aviser le réseau d’aide. L’anonymat le plus strict est gardé. Pour contacter le GPS il faut appeler le 02 40 46 27 52 (répondeur).
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/clisson-44190/dans-la-vallet-de-clisson-des-eclaireurs-pour-reperer-le-mal-etre-4933141
Publié le 17/04/2017 www.ouest-france.fr
Patrick Meluc, deuxième à gauche, est venu expliquer ses motivations pour installer une antenne du GPS en Vallée de Clisson. | Photo : Ouest-France
Le Groupement de prévention du suicide installe une antenne sur le secteur de la Vallée de Clisson (Loire-Atlantique), en partenariat avec le Centre local d’information et de coordination (Clic). Des veilleurs sont formés pour participer au projet.
Le Clic de la Vallée de Clisson noue un partenariat avec le Groupement de prévention du suicide (GPS), qui prépare la création d’une antenne dans le territoire de la Vallée de Clisson.
Le GPS sollicitera des veilleurs, formés pour repérer les besoins d’aide urgente dans le secteur. « Notre but est de pouvoir disposer d’un veilleur par commune », établit Patrick Meluc, président du GPS.
Pour sensibiliser sur le secteur, le GPS passera par l’intermédiaire du Clic, des aides à domicile, et des personnels en contact avec les personnes âgées. « Les médecins sont également concernés », rappelle Patrick Meluc.
Le veilleur est une sentinelle, un écoutant de la personne en souffrance, dont la formation permet de repérer des situations suicidaires, d’évaluer l’urgence et d’en aviser le réseau d’aide. L’anonymat le plus strict est gardé. Pour contacter le GPS il faut appeler le 02 40 46 27 52 (répondeur).
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/clisson-44190/dans-la-vallet-de-clisson-des-eclaireurs-pour-reperer-le-mal-etre-4933141
jeudi 20 avril 2017
SUISSE MISE à JOUR Concours et campagne pour prévenir les suicides à Neuchâtel
Une campagne fun pour prévenir les suicides
«Appel d’air» veut informer les jeunes âgés de 12 à 20 ans et donner une image positive de l’aide psy disponible.
Une plateforme web et un concours ont été lancés.
Une campagne pour la prévention du
suicide chez les jeunes dans le canton de Neuchâtel est actuellement
menée par une vingtaine de partenaires, à l’initiative de Pro Juventute
Arc jurassien. Elle devrait durer deux ans avant de s’étendre
éventuellement aux cantons voisins, comme le dévoile arcinfo.ch ce
mercredi.
«Appel d’air» cherche à informer les 12-20 ans sur les aides à disposition, que ce soit auprès d’associations et d’institutions officielles ou des milieux de la santé mentale. Le canton de Neuchâtel, la Loterie romande, Promotion santé suisse, certains offices fédéraux ainsi que diverses associations et fondations soutiennent sa réalisation.
Les autorités cantonales ont aussi permis la diffusion de l’information de cette campagne aux élèves du cycle 3 (9e à 11e Harmos) et du secondaire post-obligatoire.
Outre une plateforme web déjà disponible, arcinfo.ch rappelle qu'un bus bleu va parcourir le canton durant l’été, afin de nouer le contact. Le but: rester «fun» afin de donner une image positive de l’aide psy. Le secrétaire général de Pro Juventute Arc jurassien souhaite que les jeunes qui traversent des moments difficiles «puissent demander de l’aide aussi naturellement qu’ils iraient à l’hôpital pour s’être cassé le bras».
Envies suicidaires? Faites-vous aider!
Selon stopsuicide.ch, la problématique du suicide est un sujet complexe et multiple qui ne peut s'expliquer au travers d'une réponse unique. Cette association vise à briser le tabou qui englobe le suicide afin de réfléchir aux différents moyens permettant de mettre en oeuvre une aide concrète destinée aux jeunes en souffrance.
D'autres structures comme La Main Tendue (composez le 143) et la Ligne d'aide pour jeunes (147) sont également disposées à aider.
http://www.20min.ch/ro/news/romandie/story/Une-campagne-fun-pour-prevenir-les-suicides-27407749
***
pour en savoir plus sur la campagne http://appel-dair.ch/
***
Campagne pour les jeunes sur la santé psychique
Neuchâtel Ses organisateurs veulent les sensibiliser aux problèmes de santé psychique. Il s'agit d'un projet-pilote en Suisse romande.
18.04.2017 http://www.tdg.ch*
Une campagne pour sensibiliser les jeunes aux problèmes de santé psychique vient de démarrer dans le canton de Neuchâtel. Ses organisateurs espèrent que ce projet pilote s'étendra dans le reste de la Suisse romande ces prochaines années.
Le but est de briser le silence autour de ces thèmes, et de donner aux jeunes des outils pour faire face aux crises de vie auxquelles ils peuvent être confrontés. Cette campagne intitulée «Appel d'air» aborde divers aspects comme le cyber-harcèlement ou l'anorexie.
Pro Juventute Arc Jurassien, qui a collaboré avec plus de 20 acteurs actifs dans ce domaine, a donné mardi le coup d'envoi. Le projet se décline sur une plateforme internet ainsi que dans des clips de sensibilisation diffusés sur les réseaux sociaux et dans les salles de cinéma.Un dépliant sera distribué dans toutes les écoles du canton pour toucher quelque 20'000 élèves et leurs enseignants. Enfin, un bus sillonnera le canton pour aller à la rencontre des jeunes. www.appel-dair.ch
http://www.tdg.ch/suisse/Campagne-pour-les-jeunes-sur-la-sante-psychique/story/26000401
Premier post le 27/02/2017
«Appel d’air» veut informer les jeunes âgés de 12 à 20 ans et donner une image positive de l’aide psy disponible.
20min.ch/*
Une plateforme web et un concours ont été lancés.
«Appel d’air» cherche à informer les 12-20 ans sur les aides à disposition, que ce soit auprès d’associations et d’institutions officielles ou des milieux de la santé mentale. Le canton de Neuchâtel, la Loterie romande, Promotion santé suisse, certains offices fédéraux ainsi que diverses associations et fondations soutiennent sa réalisation.
Les autorités cantonales ont aussi permis la diffusion de l’information de cette campagne aux élèves du cycle 3 (9e à 11e Harmos) et du secondaire post-obligatoire.
Outre une plateforme web déjà disponible, arcinfo.ch rappelle qu'un bus bleu va parcourir le canton durant l’été, afin de nouer le contact. Le but: rester «fun» afin de donner une image positive de l’aide psy. Le secrétaire général de Pro Juventute Arc jurassien souhaite que les jeunes qui traversent des moments difficiles «puissent demander de l’aide aussi naturellement qu’ils iraient à l’hôpital pour s’être cassé le bras».
Envies suicidaires? Faites-vous aider!
Selon stopsuicide.ch, la problématique du suicide est un sujet complexe et multiple qui ne peut s'expliquer au travers d'une réponse unique. Cette association vise à briser le tabou qui englobe le suicide afin de réfléchir aux différents moyens permettant de mettre en oeuvre une aide concrète destinée aux jeunes en souffrance.
D'autres structures comme La Main Tendue (composez le 143) et la Ligne d'aide pour jeunes (147) sont également disposées à aider.
http://www.20min.ch/ro/news/romandie/story/Une-campagne-fun-pour-prevenir-les-suicides-27407749
***
pour en savoir plus sur la campagne http://appel-dair.ch/
***
Campagne pour les jeunes sur la santé psychique
Neuchâtel Ses organisateurs veulent les sensibiliser aux problèmes de santé psychique. Il s'agit d'un projet-pilote en Suisse romande.
18.04.2017 http://www.tdg.ch*
Une campagne pour sensibiliser les jeunes aux problèmes de santé psychique vient de démarrer dans le canton de Neuchâtel. Ses organisateurs espèrent que ce projet pilote s'étendra dans le reste de la Suisse romande ces prochaines années.
Le but est de briser le silence autour de ces thèmes, et de donner aux jeunes des outils pour faire face aux crises de vie auxquelles ils peuvent être confrontés. Cette campagne intitulée «Appel d'air» aborde divers aspects comme le cyber-harcèlement ou l'anorexie.
Pro Juventute Arc Jurassien, qui a collaboré avec plus de 20 acteurs actifs dans ce domaine, a donné mardi le coup d'envoi. Le projet se décline sur une plateforme internet ainsi que dans des clips de sensibilisation diffusés sur les réseaux sociaux et dans les salles de cinéma.Un dépliant sera distribué dans toutes les écoles du canton pour toucher quelque 20'000 élèves et leurs enseignants. Enfin, un bus sillonnera le canton pour aller à la rencontre des jeunes. www.appel-dair.ch
http://www.tdg.ch/suisse/Campagne-pour-les-jeunes-sur-la-sante-psychique/story/26000401
Premier post le 27/02/2017
Un concours pour sensibiliser au suicide
Pro Juventute Arc jurassien lance un concours autour du slogan
« Appel d’air ». L’association, en collaboration avec des partenaires
actifs dans la santé psychique annonce lundi le début d’une campagne de
prévention sur la problématique du suicide. Les jeunes de 12 à 25 ans
pourront, dans un premier temps, laisser libre cours à leur âme
d’artiste grâce à un concours. Les participants ont jusqu’au 31 mars
pour s’inscrire.
Toutes les informations sur le site proju-arc. /lbr+comm
Source : https://www.rfj.ch/rfj/Actualite/Region/20170227-Un-concours-pour-sensibiliser-au-suicide.html
Toutes les informations sur le site proju-arc. /lbr+comm
Source : https://www.rfj.ch/rfj/Actualite/Region/20170227-Un-concours-pour-sensibiliser-au-suicide.html
ROYAUME UNI/USA Campagne de prévention destigmatisation Le prince William et Lady Gaga discutent santé mentale sur FaceTime
Le prince William et Lady Gaga discutent santé mentale sur FaceTime
Par CNEWS Matin - Mis à jour le 19/04/2017 www.cnewsmatin.fr*
Le prince William et Lady Gaga échangent via FaceTime pour sensibiliser le public sur les troubles de la santé mentale en particulier sur le stress post-traumatique.
Le duc de Cambridge et la chanteuse américaine se sont mis en scène comme deux vieux amis en train de discuter dans une vidéo postée sur Twitter avec le #oktosay. Le spot a été tourné dans le cadre d'une campagne de Head Together, une association qui lutte contre les maladies mentales. On les y découvre en train de converser par écrans interposés, lui depuis Londres, elle depuis à Los Angeles.
« Accepter, ne pas avoir honte et en parler»
Le sujet de la santé mentale et du stress post-traumatique touche particulièrement les deux personnalités. Le prince William, avec son épouse Kate Middleton et son frère Harry, est très investi dans la fondation Heads Together, lancée en mars 2016 par les membres de la famille royale.
La diffusion de ce spot avec Lady Gaga intervient d’ailleurs au lendemain de la publication d’un article dans lequel son frère le prince Harry est revenu sur les difficultés qu’il a traversées après la mort de leur mère la princesse Diana.
C’est aussi la mort de leur mère qui a suscité l’engagement du prince William en matière de santé mentale, comme il l’a rappelé tout récemment lors de l'avant-première d’un documentaire de la BBC. «J’ai des raisons personnelles de m’impliquer pour la santé mentale : ce qui est arrivé à moi et ma mère quand j’étais plus jeune» a-t-il déclaré.
«Le choc est le sentiment le plus puissant. Je ressens toujours pour ma mère, vingt ans plus tard, le choc à l'intérieur de moi... Les gens disent que ce stade ne peut pas durer pas très longtemps, mais c'est le cas. On ne passe jamais au-dessus. C'est un moment si important dans la vie que ça ne vous quitte jamais, vous apprenez juste à vivre avec… Vous essayez de comprendre encore plus vos émotions et sûrement plus que quelqu'un qui n'a jamais eu de problème, et l'impact est grand… Accepter ce sentiment comme un sentiment normal m’a aidé à gérer la tristesse».
Quant à Lady Gaga elle avait publiquement révélé l'année dernière souffrir de stress post-traumatique suite au viol dont elle a été victime à l‘âge de 19 ans. «J'ai une maladie mentale, et je me bats contre cette maladie mentale tous les jours», avait témoigné la star américaine, invitant alors les jeunes « à partager leurs histoires, leurs traumatismes et leur douleur».
Dans la vidéo pour Head Together, Lady Gaga confie au mari de Kate Middleton que pour elle «se réveiller chaque jour et se sentir triste alors qu’elle allait sur scène» était à l’époque très difficile à faire comprendre aux autres. «Vous avez l’impression que quelque chose cloche chez vous» explique-t-elle, encourageant les personnes qui souffrent psychiquement à ne surtout « pas avoir honte». La star insiste ensuite sur «l’importance d’en parler à un proche » car « cela peut vraiment faire la différence».
Résolus à éveiller les consciences quant aux problèmes de santé mentale, en particulier chez les jeunes, Lady Gaga et le prince William ont convenu de se revoir prochainement.
http://www.cnewsmatin.fr/videos/divertissement/2017-04-19/le-prince-william-et-lady-gaga-discutent-sante-mentale-sur-facetime
Par CNEWS Matin - Mis à jour le 19/04/2017 www.cnewsmatin.fr*
Le prince William et Lady Gaga échangent via FaceTime pour sensibiliser le public sur les troubles de la santé mentale en particulier sur le stress post-traumatique.
Le duc de Cambridge et la chanteuse américaine se sont mis en scène comme deux vieux amis en train de discuter dans une vidéo postée sur Twitter avec le #oktosay. Le spot a été tourné dans le cadre d'une campagne de Head Together, une association qui lutte contre les maladies mentales. On les y découvre en train de converser par écrans interposés, lui depuis Londres, elle depuis à Los Angeles.
« Accepter, ne pas avoir honte et en parler»
Le sujet de la santé mentale et du stress post-traumatique touche particulièrement les deux personnalités. Le prince William, avec son épouse Kate Middleton et son frère Harry, est très investi dans la fondation Heads Together, lancée en mars 2016 par les membres de la famille royale.
La diffusion de ce spot avec Lady Gaga intervient d’ailleurs au lendemain de la publication d’un article dans lequel son frère le prince Harry est revenu sur les difficultés qu’il a traversées après la mort de leur mère la princesse Diana.
C’est aussi la mort de leur mère qui a suscité l’engagement du prince William en matière de santé mentale, comme il l’a rappelé tout récemment lors de l'avant-première d’un documentaire de la BBC. «J’ai des raisons personnelles de m’impliquer pour la santé mentale : ce qui est arrivé à moi et ma mère quand j’étais plus jeune» a-t-il déclaré.
«Le choc est le sentiment le plus puissant. Je ressens toujours pour ma mère, vingt ans plus tard, le choc à l'intérieur de moi... Les gens disent que ce stade ne peut pas durer pas très longtemps, mais c'est le cas. On ne passe jamais au-dessus. C'est un moment si important dans la vie que ça ne vous quitte jamais, vous apprenez juste à vivre avec… Vous essayez de comprendre encore plus vos émotions et sûrement plus que quelqu'un qui n'a jamais eu de problème, et l'impact est grand… Accepter ce sentiment comme un sentiment normal m’a aidé à gérer la tristesse».
Quant à Lady Gaga elle avait publiquement révélé l'année dernière souffrir de stress post-traumatique suite au viol dont elle a été victime à l‘âge de 19 ans. «J'ai une maladie mentale, et je me bats contre cette maladie mentale tous les jours», avait témoigné la star américaine, invitant alors les jeunes « à partager leurs histoires, leurs traumatismes et leur douleur».
Dans la vidéo pour Head Together, Lady Gaga confie au mari de Kate Middleton que pour elle «se réveiller chaque jour et se sentir triste alors qu’elle allait sur scène» était à l’époque très difficile à faire comprendre aux autres. «Vous avez l’impression que quelque chose cloche chez vous» explique-t-elle, encourageant les personnes qui souffrent psychiquement à ne surtout « pas avoir honte». La star insiste ensuite sur «l’importance d’en parler à un proche » car « cela peut vraiment faire la différence».
Résolus à éveiller les consciences quant aux problèmes de santé mentale, en particulier chez les jeunes, Lady Gaga et le prince William ont convenu de se revoir prochainement.
http://www.cnewsmatin.fr/videos/divertissement/2017-04-19/le-prince-william-et-lady-gaga-discutent-sante-mentale-sur-facetime
CRITIQUE DEBAT PRESSE «13 Reasons Why», la série à succès qui libère la parole des ados sur le suicide et le harcèlement
«13 Reasons Why», la série à succès qui libère la parole des ados sur le suicide et le harcèlement
SERIE Certains psychologues sont sceptiques quant à la façon dont le suicide et le harcèlement sont traités au sein de la série…
Mathilde Groulard Publié le 19.04.2017 http://www.20minutes.fr/*
Diffusée sur Netflix depuis un peu plus de deux semaines, la série 13 Reasons Why, tirée du roman éponyme à grand succès de Jay Asher, semble être le phénomène du moment, au vu des nombreux tweets qu’elle suscite ( la série en a comptabilisé plusieurs millions très rapidement) et du binge watching opéré par les internautes et attesté par Netflix. Son succès a été si fulgurant qu’elle figure parmi les sujets les plus repris sur les réseaux sociaux aux Etats unis, et fait beaucoup parler en France aussi…
Parmi les séries évoluant dans le monde adolescent tout en instaurant une part de suspens, telle que Riverdale, ou plus anciennement Pretty Little Liars, 13 Reasons Why se démarque par les sujets délicats dont elle traite. Elle met en avant différentes problématiques sociales qui ne sont pas souvent abordées, telles que le suicide, mais aussi le viol ou le harcèlement scolaire.
Une série dangeureuse ?
L’œuvre de Brian Yorkey met en scène Hannah Becker, lycéenne d’apparence ordinaire, qui va se donner la mort. Avant son suicide, elle enregistre sept cassettes audio expliquant les treize raisons pour lesquelles elle a souhaité mourir, afin que les personnes liées à sa décision en prennent postérieurement connaissance.
Plus généralement, la série a touché le public par la façon intelligente et sensible dont elle traite la période transitoire de l’adolescence.
Cependant, la série a également reçu son lot de critiques. L’organisme de santé mentale australien Headspace, a ainsi publié un avertissement dans le pays afin de mettre en garde les adolescents et parents sur les dangers liés à la diffusion de la série. Sa directrice Kristen Douglas s’en est expliquée dans une interview sur ABC : « Des spectateurs ont déclaré que la série avait mis au jour leurs propres vulnérabilités, et les avait amenés à se demander si le suicide était une possibilité envisageable. » Elle estime que la diffusion de la scène de suicide en elle-même ne permet pas de réaliser la gravité de la décision.
Message aux harceleurs
Plusieurs psychologues se sont posé la question de la nécessité de montrer la scène de suicide du personnage principal qui aurait pu être simplement évoquée. Les producteurs, dont la star Selena Gomez, répondent qu’ils espéraient ainsi faire réaliser aux potentiels harceleurs la gravité de leurs actes.
20 Minutes a demandé à ses internautes ce qu’ils avaient pensé de la série. Nous avons reçu énormément de réactions. Parmi elles, Cécilia explique que « la série ne fait pas du tout l’apologie du suicide. Elle est parfois dure, très dure, mais nécessaire. Il s’agit d’un grand sujet d’actualité. L’interdire ou la censurer, ça serait condamner les futures personnes en situation de détresse. »
Les épisodes de la série ont permis à plusieurs internautes de réaliser l’impact d’actes d’apparence anodins, et la détresse ressentie par le personnage d’Hannah, campé par l’actrice Katherine Langford, particulièrement juste pour son premier rôle. Les jeux de lumière et la bande son participent à l’atmosphère pesante mais poétique de la série.
Certains voient même les scènes « trash » comme nécessaires à la réalisation de l’impact des actes de harcèlement. Selon Annie Dervartanian, une internaute qui a contribué à notre enquête, la série doit « être marquante, avoir un impact direct et fort, faire du bruit et donner envie aux personnes qui subissent de faire changer les choses, mais surtout, elle doit être adressée à un large public et pas seulement des adolescents (…) A chaque épisode on avait l’impression de participer au suicide d’Hannah, qui nous a, en grande partie, laissés dans un malaise bien après le dernier épisode. »
Aide à la parole
13 Reasons Why a également séduit par sa volonté de représenter différents milieux sociaux, et ne se cantonne pas aux clichés véhiculés par une multitude de shows américains, en mettant en avant des personnages plus profonds qu’ils n’y paraissent. Au-delà du mal-être d’Hannah, la série nous immisce dans l’intimité de ses camarades, de sa famille, qui, malgré leurs erreurs qui ont contribué à la tragédie, ne sont pas diabolisés.
Le sentiment de solitude et d’isolement d’Hannah crève l’écran, il est cependant regrettable de ne pas évoquer les différentes possibilités de soutien dont elle aurait pu bénéficier. Seule l’impuissance, voir l’indifférence de ses camarades ainsi que des adultes qui l’entourent, sont mises en avant.
Certains adolescents ont partagé leurs expériences de harcèlement sur le compte Twitter @13reasonswhyFRA, et ont expliqué s’être sentis moins seuls, et mieux compris à la découverte du personnage d’Hannah. Mais pour Kristen Douglas, directrice de Headspace, d’autres auraient vécu la série d’une toute autre manière et se seraient au contraire sentis en détresse suite au visionnage des épisodes.
Une série éducative
Mais ces critiques restent minoritaires. Beaucoup d’adolescents se sont intéressés aux problématiques évoquées en s’identifiant aux personnages, ce qui constitue un atout indéniable de la série. Le succès viral de 13 Reasons Why sur les réseaux sociaux en a fait un forum de discussion pour adolescents, dont se sont emparés des professionnels de l’éducation et des parents.
Le succès de la série rappelle celui du film Virgin Suicides qui avait, en son temps, aider à libérer la parole d’adolescents sur le sujet délicat du mal-être adolescent. 13 reasons Why constitue même pour certains internautes, une véritable série éducative. « Dès la fin de la série, je me suis dit que ce serait une bonne chose de la faire partager dans les établissements scolaires, explique notre internaute Jérémy Antonoff. Pour moi, cette série s’adresse autant aux étudiants et aux parents qu’à la responsabilité des pouvoirs publics, et elle est tout à fait capable de changer les choses, de modifier les visions ».
13 Reasons Why n’a probablement pas fini de faire parler d’elle, puisque Brian Yorkey a déjà exprimé son désir de produire une suite, quant à Jay Asher, l’auteur du livre unique, il ne semble pas opposé à la sortie d’une saison 2.
http://www.20minutes.fr/television/2052659-20170419-13-reasons-why-serie-succes-libere-parole-ados-suicide-harcelement
SERIE Certains psychologues sont sceptiques quant à la façon dont le suicide et le harcèlement sont traités au sein de la série…
Mathilde Groulard Publié le 19.04.2017 http://www.20minutes.fr/*
Diffusée sur Netflix depuis un peu plus de deux semaines, la série 13 Reasons Why, tirée du roman éponyme à grand succès de Jay Asher, semble être le phénomène du moment, au vu des nombreux tweets qu’elle suscite ( la série en a comptabilisé plusieurs millions très rapidement) et du binge watching opéré par les internautes et attesté par Netflix. Son succès a été si fulgurant qu’elle figure parmi les sujets les plus repris sur les réseaux sociaux aux Etats unis, et fait beaucoup parler en France aussi…
Parmi les séries évoluant dans le monde adolescent tout en instaurant une part de suspens, telle que Riverdale, ou plus anciennement Pretty Little Liars, 13 Reasons Why se démarque par les sujets délicats dont elle traite. Elle met en avant différentes problématiques sociales qui ne sont pas souvent abordées, telles que le suicide, mais aussi le viol ou le harcèlement scolaire.
Une série dangeureuse ?
L’œuvre de Brian Yorkey met en scène Hannah Becker, lycéenne d’apparence ordinaire, qui va se donner la mort. Avant son suicide, elle enregistre sept cassettes audio expliquant les treize raisons pour lesquelles elle a souhaité mourir, afin que les personnes liées à sa décision en prennent postérieurement connaissance.
Plus généralement, la série a touché le public par la façon intelligente et sensible dont elle traite la période transitoire de l’adolescence.
Cependant, la série a également reçu son lot de critiques. L’organisme de santé mentale australien Headspace, a ainsi publié un avertissement dans le pays afin de mettre en garde les adolescents et parents sur les dangers liés à la diffusion de la série. Sa directrice Kristen Douglas s’en est expliquée dans une interview sur ABC : « Des spectateurs ont déclaré que la série avait mis au jour leurs propres vulnérabilités, et les avait amenés à se demander si le suicide était une possibilité envisageable. » Elle estime que la diffusion de la scène de suicide en elle-même ne permet pas de réaliser la gravité de la décision.
Message aux harceleurs
Plusieurs psychologues se sont posé la question de la nécessité de montrer la scène de suicide du personnage principal qui aurait pu être simplement évoquée. Les producteurs, dont la star Selena Gomez, répondent qu’ils espéraient ainsi faire réaliser aux potentiels harceleurs la gravité de leurs actes.
20 Minutes a demandé à ses internautes ce qu’ils avaient pensé de la série. Nous avons reçu énormément de réactions. Parmi elles, Cécilia explique que « la série ne fait pas du tout l’apologie du suicide. Elle est parfois dure, très dure, mais nécessaire. Il s’agit d’un grand sujet d’actualité. L’interdire ou la censurer, ça serait condamner les futures personnes en situation de détresse. »
Les épisodes de la série ont permis à plusieurs internautes de réaliser l’impact d’actes d’apparence anodins, et la détresse ressentie par le personnage d’Hannah, campé par l’actrice Katherine Langford, particulièrement juste pour son premier rôle. Les jeux de lumière et la bande son participent à l’atmosphère pesante mais poétique de la série.
Certains voient même les scènes « trash » comme nécessaires à la réalisation de l’impact des actes de harcèlement. Selon Annie Dervartanian, une internaute qui a contribué à notre enquête, la série doit « être marquante, avoir un impact direct et fort, faire du bruit et donner envie aux personnes qui subissent de faire changer les choses, mais surtout, elle doit être adressée à un large public et pas seulement des adolescents (…) A chaque épisode on avait l’impression de participer au suicide d’Hannah, qui nous a, en grande partie, laissés dans un malaise bien après le dernier épisode. »
Aide à la parole
13 Reasons Why a également séduit par sa volonté de représenter différents milieux sociaux, et ne se cantonne pas aux clichés véhiculés par une multitude de shows américains, en mettant en avant des personnages plus profonds qu’ils n’y paraissent. Au-delà du mal-être d’Hannah, la série nous immisce dans l’intimité de ses camarades, de sa famille, qui, malgré leurs erreurs qui ont contribué à la tragédie, ne sont pas diabolisés.
Le sentiment de solitude et d’isolement d’Hannah crève l’écran, il est cependant regrettable de ne pas évoquer les différentes possibilités de soutien dont elle aurait pu bénéficier. Seule l’impuissance, voir l’indifférence de ses camarades ainsi que des adultes qui l’entourent, sont mises en avant.
Certains adolescents ont partagé leurs expériences de harcèlement sur le compte Twitter @13reasonswhyFRA, et ont expliqué s’être sentis moins seuls, et mieux compris à la découverte du personnage d’Hannah. Mais pour Kristen Douglas, directrice de Headspace, d’autres auraient vécu la série d’une toute autre manière et se seraient au contraire sentis en détresse suite au visionnage des épisodes.
Une série éducative
Mais ces critiques restent minoritaires. Beaucoup d’adolescents se sont intéressés aux problématiques évoquées en s’identifiant aux personnages, ce qui constitue un atout indéniable de la série. Le succès viral de 13 Reasons Why sur les réseaux sociaux en a fait un forum de discussion pour adolescents, dont se sont emparés des professionnels de l’éducation et des parents.
Le succès de la série rappelle celui du film Virgin Suicides qui avait, en son temps, aider à libérer la parole d’adolescents sur le sujet délicat du mal-être adolescent. 13 reasons Why constitue même pour certains internautes, une véritable série éducative. « Dès la fin de la série, je me suis dit que ce serait une bonne chose de la faire partager dans les établissements scolaires, explique notre internaute Jérémy Antonoff. Pour moi, cette série s’adresse autant aux étudiants et aux parents qu’à la responsabilité des pouvoirs publics, et elle est tout à fait capable de changer les choses, de modifier les visions ».
13 Reasons Why n’a probablement pas fini de faire parler d’elle, puisque Brian Yorkey a déjà exprimé son désir de produire une suite, quant à Jay Asher, l’auteur du livre unique, il ne semble pas opposé à la sortie d’une saison 2.
http://www.20minutes.fr/television/2052659-20170419-13-reasons-why-serie-succes-libere-parole-ados-suicide-harcelement
mardi 18 avril 2017
USA Nouveaux outils communautaires conçus pour réduire les taux de suicide
Nouveaux outils communautaires conçus pour réduire les taux de suicide
Alicia Ault
13 avril 2017 *.medscape.com*
Les Centres pour la prévention et la prévention des maladies (CDC) et plusieurs organisations de prévention du suicide ont pour objectif de réduire le suicide de 20% d'ici 2025. Ils ont publié plusieurs nouvelles trousses à outils pour aider les communautés et les cliniciens à atteindre cet objectif.
Les nouveaux guides sont basés sur un programme développé pour aider à prévenir le suicide dans le milieu de la santé, Zero Suicide. . Ils sont différents parce qu'ils sont conçus spécifiquement pour le milieu communautaire, a déclaré Jerry Reed, Ph.D., directeur du Suicide Prevention Resource Center, qui est soutenu par Substance Abuse and Mental Health Services Administration.
"Théoriquement, ce que nous faisons dans la communauté devrait être lié à ce qui se fait dans le cadre clinique", a déclaré le Dr Reed lors d'un webinaire expliquant les nouveaux outils. Il a déclaré que si une personne identifiée par des outils communautaires comme étant à risque nécessite une intervention clinique, il ou elle «irait à la porte d'un établissement qui est prêt à fournir des soins de prévention du suicide des plus sûrs, et à la fin du processus être bien sur le chemin du rétablissement, leur défi abordé de manière efficace et efficiente par un système de santé bien préparé ", a-t-il déclaré.
"Mais cela commence dans la communauté aussi bien préparée", a déclaré le docteur Reed.
Suicide à la hausse
Les taux de suicide ont été en hausse au cours des 16 dernières années aux États-Unis. C'est la dixième cause de décès, avec quelque 44 000 Américains qui se suicident chaque année, selon la Fondation américaine pour la prévention du suicide (AFSP). La moitié des suicides sont faites par des armes à feu, a déclaré l'AFSP.
À la fin de janvier, l'AFSP, une organisation à but non lucratif, a rejoint l'Alliance nationale d'action pour la prévention du suicide, une organisation public-privée de 250 groupes qui fait progresser la Stratégie nationale pour la prévention du suicide, work together, afin de travailler ensemble à la réduction de 20% d'ici 2025 .
"Nous savons que le suicide est évitable", a déclaré James Mercy, Ph.D., directeur de la Division de prévention de la violence des CDC, Centre national pour la prévention et le contrôle des blessures, dans un communiqué. "Ces ressources aideront les communautés à commencer maintenant, agir avec les meilleures preuves disponibles et travailler ensemble", a-t-il déclaré.
Le premier guide, Transforming Communities , présente sept éléments clés pour une prévention communautaire intégrale du suicide. L'idée était de reproduire le programme de suicide Zéro réussi, qui offre des stratégies et des outils pour prévenir le suicide dans les milieux de santé, a déclaré le Dr Reed.
"Il existe tellement à l'échelle nationale et internationale qui parle de ce que les communautés peuvent faire pour réduire le fardeau", a-t-il déclaré.
Lui et ses collègues ont examiné les programmes existants et certains éléments communs déterminés. Ils ont également examiné la littérature pour trouver un «solide témoignage» sur ce qui a fonctionné, a déclaré le Dr Reed.
Ils ont synthétisé leurs résultats, créant sept éléments clés qui serviront de feuille de route pour les communautés qui souhaitent établir des programmes complets de prévention du suicide.
Problème urgent
Le deuxième guide, Preventing Suicide a été développé par la CDC. Il tente de fournir la meilleure preuve pour les interventions de prévention, ainsi que sept stratégies pour la prévention du suicide.
"Les problèmes urgents nécessitent des solutions basées sur les meilleures preuves disponibles", a déclaré le Dr Mercy de la CDC.
Il a déclaré: «Nous devons faire en sorte que les gens comprennent l'urgence de ce problème», l'appelant comme un problème comme l'épidémie d'opioïdes, qui est partiellement entrelacée avec le suicide.
"Nous n'avons pas la preuve parfaite pour empêcher le suicide", a-t-il déclaré. Mais il existe des preuves pour montrer que de nombreuses stratégies fonctionnent, at-il dit.
Le guide des CDC - que la CDC appelle un paquet technique - souligne sept stratégies, organisées en fonction de l'impact qu'elles auraient pour réduire le suicide au niveau de la population s'il était largement mis en œuvre, a déclaré le Dr Mercy. La boîte à outils traite également des politiques et des pratiques qui peuvent être utilisées pour actualiser les stratégies.
Les sept stratégies, avec certaines des suggestions pour les mettre en action, sont les suivantes:
Renforcer le soutien économique en adoptant des politiques de stabilisation du logement
Renforcer l'accès et la prestation des soins de prévention du suicide en couvrant les conditions de santé mentale dans l'assurance maladie, en réduisant les pénuries de fournisseurs dans les zones mal desservies et en fournissant des soins de prévention du suicide plus sûrs
- Créer des environnements protégés en réduisant l'accès aux moyens létaux de suicide
- Promouvoir la connectivité grâce à l'engagement de la communauté
- Enseigner les capacités d'adaptation et de résolution de problèmes grâce à des programmes d'apprentissage socio-émotionnel
- Identifier et traiter les personnes à risque par une intervention de crise; Fournir un traitement pour les personnes à risque de suicide et de traitement pour éviter les tentatives répétées
- Diminuer les méfaits pour prévenir les risques futurs par post-intervention et en fournissant des rapports et des messages sur le suicide dans les médias
"Les stratégies définies dans le paquet technique, ainsi que les éléments clés décrits dans le document, visent à combiner et à se renforcer mutuellement", a-t-il
http://www.medscape.com/viewarticle/878568
Alicia Ault
13 avril 2017 *.medscape.com*
Les Centres pour la prévention et la prévention des maladies (CDC) et plusieurs organisations de prévention du suicide ont pour objectif de réduire le suicide de 20% d'ici 2025. Ils ont publié plusieurs nouvelles trousses à outils pour aider les communautés et les cliniciens à atteindre cet objectif.
Les nouveaux guides sont basés sur un programme développé pour aider à prévenir le suicide dans le milieu de la santé, Zero Suicide. . Ils sont différents parce qu'ils sont conçus spécifiquement pour le milieu communautaire, a déclaré Jerry Reed, Ph.D., directeur du Suicide Prevention Resource Center, qui est soutenu par Substance Abuse and Mental Health Services Administration.
"Théoriquement, ce que nous faisons dans la communauté devrait être lié à ce qui se fait dans le cadre clinique", a déclaré le Dr Reed lors d'un webinaire expliquant les nouveaux outils. Il a déclaré que si une personne identifiée par des outils communautaires comme étant à risque nécessite une intervention clinique, il ou elle «irait à la porte d'un établissement qui est prêt à fournir des soins de prévention du suicide des plus sûrs, et à la fin du processus être bien sur le chemin du rétablissement, leur défi abordé de manière efficace et efficiente par un système de santé bien préparé ", a-t-il déclaré.
"Mais cela commence dans la communauté aussi bien préparée", a déclaré le docteur Reed.
Suicide à la hausse
Les taux de suicide ont été en hausse au cours des 16 dernières années aux États-Unis. C'est la dixième cause de décès, avec quelque 44 000 Américains qui se suicident chaque année, selon la Fondation américaine pour la prévention du suicide (AFSP). La moitié des suicides sont faites par des armes à feu, a déclaré l'AFSP.
À la fin de janvier, l'AFSP, une organisation à but non lucratif, a rejoint l'Alliance nationale d'action pour la prévention du suicide, une organisation public-privée de 250 groupes qui fait progresser la Stratégie nationale pour la prévention du suicide, work together, afin de travailler ensemble à la réduction de 20% d'ici 2025 .
"Nous savons que le suicide est évitable", a déclaré James Mercy, Ph.D., directeur de la Division de prévention de la violence des CDC, Centre national pour la prévention et le contrôle des blessures, dans un communiqué. "Ces ressources aideront les communautés à commencer maintenant, agir avec les meilleures preuves disponibles et travailler ensemble", a-t-il déclaré.
Le premier guide, Transforming Communities , présente sept éléments clés pour une prévention communautaire intégrale du suicide. L'idée était de reproduire le programme de suicide Zéro réussi, qui offre des stratégies et des outils pour prévenir le suicide dans les milieux de santé, a déclaré le Dr Reed.
"Il existe tellement à l'échelle nationale et internationale qui parle de ce que les communautés peuvent faire pour réduire le fardeau", a-t-il déclaré.
Lui et ses collègues ont examiné les programmes existants et certains éléments communs déterminés. Ils ont également examiné la littérature pour trouver un «solide témoignage» sur ce qui a fonctionné, a déclaré le Dr Reed.
Ils ont synthétisé leurs résultats, créant sept éléments clés qui serviront de feuille de route pour les communautés qui souhaitent établir des programmes complets de prévention du suicide.
Problème urgent
Le deuxième guide, Preventing Suicide a été développé par la CDC. Il tente de fournir la meilleure preuve pour les interventions de prévention, ainsi que sept stratégies pour la prévention du suicide.
"Les problèmes urgents nécessitent des solutions basées sur les meilleures preuves disponibles", a déclaré le Dr Mercy de la CDC.
Il a déclaré: «Nous devons faire en sorte que les gens comprennent l'urgence de ce problème», l'appelant comme un problème comme l'épidémie d'opioïdes, qui est partiellement entrelacée avec le suicide.
"Nous n'avons pas la preuve parfaite pour empêcher le suicide", a-t-il déclaré. Mais il existe des preuves pour montrer que de nombreuses stratégies fonctionnent, at-il dit.
Le guide des CDC - que la CDC appelle un paquet technique - souligne sept stratégies, organisées en fonction de l'impact qu'elles auraient pour réduire le suicide au niveau de la population s'il était largement mis en œuvre, a déclaré le Dr Mercy. La boîte à outils traite également des politiques et des pratiques qui peuvent être utilisées pour actualiser les stratégies.
Les sept stratégies, avec certaines des suggestions pour les mettre en action, sont les suivantes:
Renforcer le soutien économique en adoptant des politiques de stabilisation du logement
Renforcer l'accès et la prestation des soins de prévention du suicide en couvrant les conditions de santé mentale dans l'assurance maladie, en réduisant les pénuries de fournisseurs dans les zones mal desservies et en fournissant des soins de prévention du suicide plus sûrs
- Créer des environnements protégés en réduisant l'accès aux moyens létaux de suicide
- Promouvoir la connectivité grâce à l'engagement de la communauté
- Enseigner les capacités d'adaptation et de résolution de problèmes grâce à des programmes d'apprentissage socio-émotionnel
- Identifier et traiter les personnes à risque par une intervention de crise; Fournir un traitement pour les personnes à risque de suicide et de traitement pour éviter les tentatives répétées
- Diminuer les méfaits pour prévenir les risques futurs par post-intervention et en fournissant des rapports et des messages sur le suicide dans les médias
"Les stratégies définies dans le paquet technique, ainsi que les éléments clés décrits dans le document, visent à combiner et à se renforcer mutuellement", a-t-il
http://www.medscape.com/viewarticle/878568
PARUTION REVUE SOINS Dossier ·Prévention du suicide
Revue SOINS
Sommaire
Vol 62 - N° 814 - avril 2017 P. 1-62
Edition Elsevier Masson
Dossier
Le suicide n’est pas une fatalité Page :17
Daniel Maroudy
Le suicide en France, état des lieux
Suicide in France, a situational analysis
Page :18-22
Françoise Facy
Pour une meilleure prévention du suicide
Improving suicide prevention
Page :23-25
Michel Debout
Le suicide, un fait social
Suicide, a social fact
Page :26-29
Christian Baudelot
La clinique du suicide et son processus
The clinical manifestation of suicide and its process
Page :30-32
Arnaud Jodier
La crise suicidaire aux urgences
The suicidal crisis in emergency departments
Page :33-35
Christophe Delmas, Chloé Wallach
Le suicide à l’adolescence
Suicide in adolescence
Page :36-38
Alexandra Tubiana, Renaud F. Cohen, Jean-Pierre Kahn
Le suicide des personnes âgées
Suicide in the elderly
Page :39-41
Marie-Claude Frénisy, Claude Plassard
Suicide en lien avec le travail
Work-related suicide
Page :42-43
Patrick Rivière, Thierry Fouet
Prise en charge infirmière du suicidant
The nursing care of a suicidal patient
Page :44-46
Harold Simon, Grégory Mykolow, Josselin Guyodo
Soutien psychologique aux personnes endeuillées par suicide
Psychological support for people bereaved by suicide
Page :47-48
Thierry Fouet
Quelles stratégies pour une prévention efficace du suicide ?
Page :49
Philippe Courtet
Testez vos connaissances
Page :50
Daniel Maroudy
http://www.em-consulte.com/revue/SOIN/62/814/table-des-matieres/
Sommaire
Vol 62 - N° 814 - avril 2017 P. 1-62
Edition Elsevier Masson
Dossier
Le suicide n’est pas une fatalité Page :17
Daniel Maroudy
Le suicide en France, état des lieux
Suicide in France, a situational analysis
Page :18-22
Françoise Facy
Pour une meilleure prévention du suicide
Improving suicide prevention
Page :23-25
Michel Debout
Le suicide, un fait social
Suicide, a social fact
Page :26-29
Christian Baudelot
La clinique du suicide et son processus
The clinical manifestation of suicide and its process
Page :30-32
Arnaud Jodier
La crise suicidaire aux urgences
The suicidal crisis in emergency departments
Page :33-35
Christophe Delmas, Chloé Wallach
Le suicide à l’adolescence
Suicide in adolescence
Page :36-38
Alexandra Tubiana, Renaud F. Cohen, Jean-Pierre Kahn
Le suicide des personnes âgées
Suicide in the elderly
Page :39-41
Marie-Claude Frénisy, Claude Plassard
Suicide en lien avec le travail
Work-related suicide
Page :42-43
Patrick Rivière, Thierry Fouet
Prise en charge infirmière du suicidant
The nursing care of a suicidal patient
Page :44-46
Harold Simon, Grégory Mykolow, Josselin Guyodo
Soutien psychologique aux personnes endeuillées par suicide
Psychological support for people bereaved by suicide
Page :47-48
Thierry Fouet
Quelles stratégies pour une prévention efficace du suicide ?
Page :49
Philippe Courtet
Testez vos connaissances
Page :50
Daniel Maroudy
http://www.em-consulte.com/revue/SOIN/62/814/table-des-matieres/
USA ETUDE RECHERCHE 3,8% des Américains souffrent de détresse psychologique & Disparités dans l'utilisation des soins de santé
D'après article "Record d'Américains en détresse psychologique
Etude : 3,8% des Américains souffrent de détresse psychologique, selon une étude, un chiffre record, en hausse sur la dernière décennie.
18.04.2017sur.tdg.ch
Jamais une aussi grande proportion de la population américaine n'avait souffert de détresse psychologique sévère, selon une étude publiée lundi qui révèle aussi une incapacité du pays à faire face à la demande grandissante de soins de santé mentale pour ces personnes.
Des chercheurs ont analysé les statistiques fédérales de 2006 à 2014 et ont conclu que 3,4% des Américains, soit plus de 8,3 millions de personnes, souffrent de ces troubles psychologiques que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) définissent comme des sentiments de tristesse, de l'agitation et de l'irritabilité qui peuvent affecter le bien-être physique.
Une enquête effectuée il y a plus de dix ans indiquait que 3% ou moins des Américains en souffraient, précisent les auteurs dont l'étude paraît en ligne dans la revue Psychiatric Services.
«Nous estimons que des millions d'Américains ont un niveau de détresse émotionnelle qui réduit leur qualité de vie et écourte leur espérance de vie», résume la Dr Judith Weissman, une chercheuse au Centre médical Langone de l'Université de New York, principale auteure.
Suicides en hausse
«Notre étude pourrait aussi aider à expliquer pourquoi le taux de suicide est en hausse pour atteindre 43'000» cas par an, ajoute-t-elle.
Selon une étude parue fin 2015 par l'Américain Angus Deaton, prix Nobel d'Économie, le taux de mortalité chez les Américains blancs d'âge moyen, qui était en déclin depuis 1978, a recommencé à augmenter depuis quinze ans en raison des abus d'alcool, de drogue et des suicides, surtout chez les populations défavorisées.
Celle publiée lundi indique que l'accès aux soins mentaux pour les personnes souffrant de détresse émotionnelle a diminué.
Les chercheurs citent, entre autres, une pénurie de professionnels, une augmentation des coûts qui ne sont pas couverts par les assurances maladie, ainsi que les effets de la crise économique de 2008.
Couverture insuffisante
La Dr Judith Weissman relève que la situation paraît s'être empirée malgré le vote en 2008 d'une loi dédiée («Mental Health Parity and Addiction Equity Act») et l'adoption en 2010 d'«Obamacare» («Affordable Care Act»), mesure phare de la présidence de Barack Obama que Donald Trump veut abroger.
Près d'un Américain sur dix (9,5%) souffrant de détresse psychologique sévère n'avait ainsi pas de couverture médicale permettant de consulter un psychiatre ou un psychologue en 2014, comparativement à 9% en 2006.
Et quelque 9,9% n'avaient pas les moyens en 2014 de payer leur médicaments contre 8,7% en 2006.
Plus de 35'000 ménages américains représentant plus de 200'000 personnes âgées de 18 à 64 ans qui appartiennent à toutes les ethnies et groupes socio-économiques ont participé à cette enquête annuelle des CDC. (afp/nxp)
http://www.tdg.ch/monde/ameriques/record-americains-detresse-psychologique/story/14783841
Information étude mentionée : Disparities in Health Care Utilization and Functional Limitations Among Adults With Serious Psychological Distress, 2006–2014
This
study compared health care access, utilization, and functional
indicators among adults with and without serious psychological distress
(SPD) in the years surrounding implementation of the Patient Portable
and Affordable Care Act (ACA).
Adults
ages 18 to 64 from the 2006–2014 National Health Interview Survey
(N=207, 853) were examined on 11 access, utilization, and functional
indicators: health insurance coverage (health coverage), insufficient
money for medications, delay in health care (delay in care),
insufficient money for health care, visiting a doctor ten or more times
in the past 12 months, change in place of health care, change in place
of health care due to insurance, limitations in ability to work,
limitations in activities of daily living (ADLs), insufficient money for
mental health care, and having seen a mental health care provider.
Multivariate
models that were adjusted for health coverage and sociodemographic
characteristics indicated that compared with adults without SPD, adults
with SPD had greater odds of lacking money for medications (AOR=10.0)
and health care (AOR=3.1), experiencing delays in care (AOR=2.7),
visiting a doctor ten or more times in the past 12 months (AOR=3.2),
changing usual place of health care (AOR=1.5), changing usual place of
health care because of insurance (AOR=1.5), and experiencing limitations
in ADLs (AOR=3.6) and ability to work (AOR=1.8). The proportions of
adults with SPD who lacked health coverage and money to buy
prescriptions increased during the study period. Although this trend
reversed in 2014, the proportion with SPD experiencing barriers remained
above 2006 levels.
Health care patterns among adults with SPD require greater attention.
http://ps.psychiatryonline.org/doi/abs/10.1176/appi.ps.201600260?journalCode=ps
Etude : 3,8% des Américains souffrent de détresse psychologique, selon une étude, un chiffre record, en hausse sur la dernière décennie.
18.04.2017sur.tdg.ch
Jamais une aussi grande proportion de la population américaine n'avait souffert de détresse psychologique sévère, selon une étude publiée lundi qui révèle aussi une incapacité du pays à faire face à la demande grandissante de soins de santé mentale pour ces personnes.
Des chercheurs ont analysé les statistiques fédérales de 2006 à 2014 et ont conclu que 3,4% des Américains, soit plus de 8,3 millions de personnes, souffrent de ces troubles psychologiques que les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) définissent comme des sentiments de tristesse, de l'agitation et de l'irritabilité qui peuvent affecter le bien-être physique.
Une enquête effectuée il y a plus de dix ans indiquait que 3% ou moins des Américains en souffraient, précisent les auteurs dont l'étude paraît en ligne dans la revue Psychiatric Services.
«Nous estimons que des millions d'Américains ont un niveau de détresse émotionnelle qui réduit leur qualité de vie et écourte leur espérance de vie», résume la Dr Judith Weissman, une chercheuse au Centre médical Langone de l'Université de New York, principale auteure.
Suicides en hausse
«Notre étude pourrait aussi aider à expliquer pourquoi le taux de suicide est en hausse pour atteindre 43'000» cas par an, ajoute-t-elle.
Selon une étude parue fin 2015 par l'Américain Angus Deaton, prix Nobel d'Économie, le taux de mortalité chez les Américains blancs d'âge moyen, qui était en déclin depuis 1978, a recommencé à augmenter depuis quinze ans en raison des abus d'alcool, de drogue et des suicides, surtout chez les populations défavorisées.
Celle publiée lundi indique que l'accès aux soins mentaux pour les personnes souffrant de détresse émotionnelle a diminué.
Les chercheurs citent, entre autres, une pénurie de professionnels, une augmentation des coûts qui ne sont pas couverts par les assurances maladie, ainsi que les effets de la crise économique de 2008.
Couverture insuffisante
La Dr Judith Weissman relève que la situation paraît s'être empirée malgré le vote en 2008 d'une loi dédiée («Mental Health Parity and Addiction Equity Act») et l'adoption en 2010 d'«Obamacare» («Affordable Care Act»), mesure phare de la présidence de Barack Obama que Donald Trump veut abroger.
Près d'un Américain sur dix (9,5%) souffrant de détresse psychologique sévère n'avait ainsi pas de couverture médicale permettant de consulter un psychiatre ou un psychologue en 2014, comparativement à 9% en 2006.
Et quelque 9,9% n'avaient pas les moyens en 2014 de payer leur médicaments contre 8,7% en 2006.
Plus de 35'000 ménages américains représentant plus de 200'000 personnes âgées de 18 à 64 ans qui appartiennent à toutes les ethnies et groupes socio-économiques ont participé à cette enquête annuelle des CDC. (afp/nxp)
http://www.tdg.ch/monde/ameriques/record-americains-detresse-psychologique/story/14783841
Information étude mentionée : Disparities in Health Care Utilization and Functional Limitations Among Adults With Serious Psychological Distress, 2006–2014
Judith Weissman, Ph.D., J.D., David Russell, Ph.D., Melanie Jay, M.D., M.S., Jeannette M. Beasley, Ph.D., R.D., Dolores Malaspina, M.D., M.P.H., Cheryl Pegus, M.D., M.P.H.Psychiatric Services
Published online: April 17, 2017
|
http://dx.doi.org/10.1176/appi.ps.201600260
Abstract
Objective:
Methods:
Results:
Conclusions:
http://ps.psychiatryonline.org/doi/abs/10.1176/appi.ps.201600260?journalCode=ps
vendredi 14 avril 2017
USA ETUDE RECHERCHE traitement médiatique des suicides encourager les pratiques de déclaration responsable
Reporting of Suicide and Trespass Incidents by Online Media in the United States
U.S. Department of Transportation Federal Railroad Administration
Office of Research, Development, and Technology Washington, DC 20590 Mars 2017
Le signalement d'une mort suicide dans les médias a le potentiel d'augmenter les tentatives de suicide imitatives pour les personnes vulnérables qui ont lu l'article, un phénomène connu sous le nom suicide par contagion ou «effet Werther».
Des organisations à travers le monde ont élaboré des recommandations sur la façon de rendre compte de manière responsable des incidents de suicide de manière moins susceptible de provoquer une contagion.
Pour cette recherche, 1 173 articles sur les incidents de suicide et d'intrusion déclarés par la FRA ont été recueillis et analysés pour connaître le contenu.
Alors que les médias ont souvent suivi de nombreuses recommandations de déclaration de suicide, aucun n'a été systématiquement suivi dans chaque article analysé et quelques recommandations clés n'ont souvent jamais été appliquées. Par exemple, le terme «suicide» était souvent inclus dans le titre des articles, des détails sur l'endroit où le suicide a eu lieu et les actions précédant l'impact ont souvent été fournies, alors que l'information d'aide était rarement incluse. En général, les incidents de suicide ferroviaires ont tendance à être signalés de manière similaire à l'intrusion, plutôt qu'à un suicide par un autre moyen. L'élaboration de recommandations spécifiques aux chemins de fer pourrait aider à encourager les pratiques de déclaration responsable en matière d'intrusion sur les chemins de fer et d'incidents suicidaires
https://ntl.bts.gov/lib/61000/61000/61039/Suicide_Media_Reporting.pdf
U.S. Department of Transportation Federal Railroad Administration
Office of Research, Development, and Technology Washington, DC 20590 Mars 2017
Le signalement d'une mort suicide dans les médias a le potentiel d'augmenter les tentatives de suicide imitatives pour les personnes vulnérables qui ont lu l'article, un phénomène connu sous le nom suicide par contagion ou «effet Werther».
Des organisations à travers le monde ont élaboré des recommandations sur la façon de rendre compte de manière responsable des incidents de suicide de manière moins susceptible de provoquer une contagion.
Pour cette recherche, 1 173 articles sur les incidents de suicide et d'intrusion déclarés par la FRA ont été recueillis et analysés pour connaître le contenu.
Alors que les médias ont souvent suivi de nombreuses recommandations de déclaration de suicide, aucun n'a été systématiquement suivi dans chaque article analysé et quelques recommandations clés n'ont souvent jamais été appliquées. Par exemple, le terme «suicide» était souvent inclus dans le titre des articles, des détails sur l'endroit où le suicide a eu lieu et les actions précédant l'impact ont souvent été fournies, alors que l'information d'aide était rarement incluse. En général, les incidents de suicide ferroviaires ont tendance à être signalés de manière similaire à l'intrusion, plutôt qu'à un suicide par un autre moyen. L'élaboration de recommandations spécifiques aux chemins de fer pourrait aider à encourager les pratiques de déclaration responsable en matière d'intrusion sur les chemins de fer et d'incidents suicidaires
https://ntl.bts.gov/lib/61000/61000/61039/Suicide_Media_Reporting.pdf
Présentation structure ressource Service des urgences psychiatriques Hôpital Edouard Herriot Lyon (69)
Service des urgences psychiatriques Hôpital Edouard Herriot
source info www.chu-lyon.fr*
L’activité d’Urgence Psychiatrique sur le site du CHU de Lyon est organisée afin de répondre au mieux aux situations d’urgences (état d’agitation, troubles psychotiques, décompensation d’une pathologie psychiatrique, crises suicidaires …), pour permettre une prise en charge initiale, une orientation adéquate et/ou un traitement de courte durée des situations de crises au sein de l’unité d’hospitalisation.
Tous les aspects de l’urgence sont traités :
Pour l’évaluation, deux services d’accueil d’urgences sont dotés d’équipes psychiatriques qui travaillent en lien étroit avec les médecins urgentistes et le réseau psychiatrique du territoire.
Le service d’accueil des urgences du pavillon N de l’hôpital Edouard Herriot, avec une équipe présente 7j/7 – 24h/24.
Le service d’accueil du centre hospitalier Lyon-Sud assure un accueil 7j/7, en journée
Pour une hospitalisation de courte durée, au sein de l’hôpital Edouard Herriot, une unité de crise (UPC) de 33 lits qui correspond à un soin intensif psychiatrique afin de permettre une abrasion rapide de la crise. Sont réalisés des évaluations quotidiennes, des entretiens individuels et familiaux et une orientation adaptée dans un délai court (5 jours en moyenne) permettant ainsi d’éviter un recours à des hospitalisations de plus longue durée.
Au décours de l’urgence, une consultation psychologique d’urgence et une consultation psychiatrique de post urgence peuvent être proposées afin de poursuivre la prise en charge et d’assurer une surveillance et un relai vers les structures spécialisées.
Le service est particulièrement innovant dans la prise en charge des patients en crise suicidaire : des équipes formées à l’évaluation et la prise en charge de ces patients (avec des programmes de formations pour les personnels), un travail avec les familles, des collaborations étroites avec le Centre de Prévention du suicide (CH le Vinatier) et une implication dans un réseau national (section d’étude des conduites suicidaires de l’AFPBN – Groupement d’étude et de prévention du suicide) afin de développer des outils d’évaluation standardisés des patients suicidants.
Une activité de recherche avec deux axes principaux :
le développement d’outils d’évaluation et de procédure de prévention de la réitération suicidaire (suivi de cohortes pour mieux identifier les caractéristiques du passage à l’acte)
le développement de thérapeutiques innovantes par neuromodulation transcranienne (tDCS) dans différentes pathologies pour lesquelles nous sommes leader au niveau national
Chef de service Professeur Emmanuel POULET
Coordonnées du service
Hôpital Edouard Herriot
5 Place d'Arsonval
69003 Lyon
04 72 11 00 09
Pathologies prises en charge
Crises suicidaires
Troubles de l’humeur
Stress aigu
Syndrome de stress post traumatique
Psychoses débutantes
Traitements proposés
Thérapies Brèves
Approches pharmacologiques
Relaxation – EMDR
Neuromodulation transcranienne (tDCS)
Voir toute l’équipe
http://www.chu-lyon.fr/fr/service-urgences-psychiatriques-edouard-herriot
source info www.chu-lyon.fr*
L’activité d’Urgence Psychiatrique sur le site du CHU de Lyon est organisée afin de répondre au mieux aux situations d’urgences (état d’agitation, troubles psychotiques, décompensation d’une pathologie psychiatrique, crises suicidaires …), pour permettre une prise en charge initiale, une orientation adéquate et/ou un traitement de courte durée des situations de crises au sein de l’unité d’hospitalisation.
Tous les aspects de l’urgence sont traités :
Pour l’évaluation, deux services d’accueil d’urgences sont dotés d’équipes psychiatriques qui travaillent en lien étroit avec les médecins urgentistes et le réseau psychiatrique du territoire.
Le service d’accueil des urgences du pavillon N de l’hôpital Edouard Herriot, avec une équipe présente 7j/7 – 24h/24.
Le service d’accueil du centre hospitalier Lyon-Sud assure un accueil 7j/7, en journée
Pour une hospitalisation de courte durée, au sein de l’hôpital Edouard Herriot, une unité de crise (UPC) de 33 lits qui correspond à un soin intensif psychiatrique afin de permettre une abrasion rapide de la crise. Sont réalisés des évaluations quotidiennes, des entretiens individuels et familiaux et une orientation adaptée dans un délai court (5 jours en moyenne) permettant ainsi d’éviter un recours à des hospitalisations de plus longue durée.
Au décours de l’urgence, une consultation psychologique d’urgence et une consultation psychiatrique de post urgence peuvent être proposées afin de poursuivre la prise en charge et d’assurer une surveillance et un relai vers les structures spécialisées.
Le service est particulièrement innovant dans la prise en charge des patients en crise suicidaire : des équipes formées à l’évaluation et la prise en charge de ces patients (avec des programmes de formations pour les personnels), un travail avec les familles, des collaborations étroites avec le Centre de Prévention du suicide (CH le Vinatier) et une implication dans un réseau national (section d’étude des conduites suicidaires de l’AFPBN – Groupement d’étude et de prévention du suicide) afin de développer des outils d’évaluation standardisés des patients suicidants.
Une activité de recherche avec deux axes principaux :
le développement d’outils d’évaluation et de procédure de prévention de la réitération suicidaire (suivi de cohortes pour mieux identifier les caractéristiques du passage à l’acte)
le développement de thérapeutiques innovantes par neuromodulation transcranienne (tDCS) dans différentes pathologies pour lesquelles nous sommes leader au niveau national
Chef de service Professeur Emmanuel POULET
Coordonnées du service
Hôpital Edouard Herriot
5 Place d'Arsonval
69003 Lyon
04 72 11 00 09
Pathologies prises en charge
Crises suicidaires
Troubles de l’humeur
Stress aigu
Syndrome de stress post traumatique
Psychoses débutantes
Traitements proposés
Thérapies Brèves
Approches pharmacologiques
Relaxation – EMDR
Neuromodulation transcranienne (tDCS)
Voir toute l’équipe
http://www.chu-lyon.fr/fr/service-urgences-psychiatriques-edouard-herriot
Appel à témoins pour émission France 2 sur le thème les erreurs de jeunesse
Appel à témoins pour émission sur les erreurs de jeunesse :
"Bonjour,
Dans le cadre d’une émission de témoignages diffusée quotidiennement sur France 2, je suis à la recherche d’hommes ou de femmes qui auraient tenter de suicider en étant jeune (adolescent) et définirait ce geste aujourd’hui comme une erreur de jeunesse. Depuis cette tentative, il/elle aurait repris le cours de leur vie et aurait à cœur de transmettre et d’échanger sur cette période difficile quitte à prendre part à des actions de prévention auprès des jeunes. Si vous vous sentez concernés par ce sujet, n’hésitez pas à m’appeler au 01.53.84.31.37 ou par mail à julie.nielvillemin@reservoir-prod.fr Merci ! Julie »
"Bonjour,
Dans le cadre d’une émission de témoignages diffusée quotidiennement sur France 2, je suis à la recherche d’hommes ou de femmes qui auraient tenter de suicider en étant jeune (adolescent) et définirait ce geste aujourd’hui comme une erreur de jeunesse. Depuis cette tentative, il/elle aurait repris le cours de leur vie et aurait à cœur de transmettre et d’échanger sur cette période difficile quitte à prendre part à des actions de prévention auprès des jeunes. Si vous vous sentez concernés par ce sujet, n’hésitez pas à m’appeler au 01.53.84.31.37 ou par mail à julie.nielvillemin@reservoir-prod.fr Merci ! Julie »
RETOURS SUR LE CONGRES ENCEPHALE L’euthanasie pour souffrance psychique : retour sur l’une des thématiques les plus polémiques du Congrès
L’euthanasie pour souffrance psychique : retour sur l’une des thématiques les plus polémiques du Congrès de l’Encéphale…
Publié le 21 février 2017 www.encephale.com*
Dr. David Gourion |
En France, l’euthanasie en psychiatrie est un tabou absolu qui, à notre connaissance, n’avait jamais été abordé dans le cadre d’un grand congrès scientifique.
Et
quel paradoxe pour nous, psychiatres, que d’envisager de donner la mort
à un patient qui la réclame quand notre cadre éthique absolu est
justement celui de sauver des vies : comment envisager les velléités suicidaires de nos patients autrement que comme des symptômes de la maladie psychique
qu’il convient de traiter, au même titre que tous les autres symptômes,
et qui peuvent, nous l’avons tous observé, disparaître au gré des
thérapeutiques ?Pour répondre à cette grande question de société, le comité scientifique a donc décidé d’organiser une session en faisant le pari que les collègues seraient au rendez-vous. Pari tenu, puisque la salle était bondée et les échanges riches et passionnants.
Nous avons choisi comme intervenante une consœur belge ayant une véritable expertise sur la question. Le Dr Frédérique Van Leuven a donc accepté notre invitation. Ni militante de la « Cause », ni passionaria anti-euthanasie, F. Van Leuven a su aborder avec une grande subtilité cette thématique extrêmement complexe, au travers de différentes situations très concrètes. Ainsi, a t-elle abordé avec beaucoup de réserve le cas extrêmement médiatisé de Laura, jeune femme dépressive chronique de 24 ans, qui a obtenu de façon simple et rapide le droit à l'euthanasie pour cause de souffrances psychiques insupportables, pour finir par y renoncer. Elle nous a également relaté des expériences plus personnelles avec ses propres patients, à l’instar d'une patiente qui avait été traitée pendant vingt ans pour une dépression très sévère, chronique et ultra-résistante, hospitalisée au long cours, ayant commis plusieurs tentatives de suicide : elle avait tout planifié et une lettre ne laissait aucun doute sur sa décision. Mais il est arrivé un impondérable et elle a été sauvée in extremis. Malgré cela, elle allait de plus en plus mal et voulait mourir. Elle a fini par se suicider dans des conditions atroces. Aurait-on pu lui offrir des conditions de fin de vie plus sereines? La question se pose ainsi pour quelques très rares patients aux confins de nos possibilités thérapeutiques.
Finalement, l’un de nos grands patrons de la psychiatrie française s’est exclamé, en fin de présentation : « vous m’avez convaincu ! ».
L’experte : Le Dr Frédérique van Leuven (Sivry, Belgique)
Revoir la conférence sur l'euthanasie au Congrès 2017 (acces pour les membres)
source http://www.encephale.com/Actualites/Chroniques-de-nos-experts/L-euthanasie-pour-souffrance-psychique-retour-sur-l-une-des-thematiques-les-plus-polemiques-du-Congres-de-l-Encephale
PRESENTATION DISPOSITIF RESSOURCE Lunéville (54) le STAPA, soutien téléphonique aux personnes âgées
Dans le Lunévillois : le STAPA, soutien téléphonique aux personnes âgées
L’objectif de ce dispositif est la prévention du risque suicidaire chez la personne âgée.
Cela passe par prévenir la dépression chez la personne âgée, atténuer les souffrances des personnes âgées et favoriser une synergie entre les intervenants.
L’action porte sur des contacts téléphoniques réguliers, à l’initiative d’appelants et d’appelantes auprès de personnes âgées repérées. Cecontact permet de parler de son quotidien, d’échanger sur des sujets d’actualité, d
’évoquer des problèmes auxquels la personne est confrontée. Ces échanges permettent également si besoin d’effectuer des relais vers les personnes pouvant aider (famille, médecin, assistante sociale de secteur, services d’aide et d’accompagnement à domicile ...).
Le fonctionnement de ce dispositif a été confié au Centre Médico Psychologique de Lunéville, pivot de coordination et d’organisation des soins. Les personnes âgées sont repérées par les professionnels de terrain (médecins généralistes, conseillers en gérontologie, conseillers autonomie, services d’aide et d’accompagnement à domicile, infirmières libérales, services sociaux des mairies, associations, services hospitaliers).
communiqué du département Meurthe et moselle du 7 avril dossier de presse
Personnes âgées et personnes handicapées La Meurthe-et-Moselle développe sa politique autonomie La journée du 7 avril est placée sous le signe de l’autonomie, en Meurthe-et-Moselle, avec l’installation le matin du conseil départemental de la citoyenneté et de l’autonomie (CDCA) et la présentation l’après-midi du futur Schéma de l’Autonomie, qui sera soumis à la délibération des élus de l’assemblée départementale en juin prochain. Il s’agit du 1er schéma unique en Meurthe-et-Moselle croisant le handicap et le grand âge.
http://www.meurthe-et-moselle.fr/sites/default/files/7%20avril%202017%20Journ%C3%A9e%20autonomie%20en%20Meurthe-et-Moselle.pdf
L’objectif de ce dispositif est la prévention du risque suicidaire chez la personne âgée.
Cela passe par prévenir la dépression chez la personne âgée, atténuer les souffrances des personnes âgées et favoriser une synergie entre les intervenants.
L’action porte sur des contacts téléphoniques réguliers, à l’initiative d’appelants et d’appelantes auprès de personnes âgées repérées. Cecontact permet de parler de son quotidien, d’échanger sur des sujets d’actualité, d
’évoquer des problèmes auxquels la personne est confrontée. Ces échanges permettent également si besoin d’effectuer des relais vers les personnes pouvant aider (famille, médecin, assistante sociale de secteur, services d’aide et d’accompagnement à domicile ...).
Le fonctionnement de ce dispositif a été confié au Centre Médico Psychologique de Lunéville, pivot de coordination et d’organisation des soins. Les personnes âgées sont repérées par les professionnels de terrain (médecins généralistes, conseillers en gérontologie, conseillers autonomie, services d’aide et d’accompagnement à domicile, infirmières libérales, services sociaux des mairies, associations, services hospitaliers).
communiqué du département Meurthe et moselle du 7 avril dossier de presse
Personnes âgées et personnes handicapées La Meurthe-et-Moselle développe sa politique autonomie La journée du 7 avril est placée sous le signe de l’autonomie, en Meurthe-et-Moselle, avec l’installation le matin du conseil départemental de la citoyenneté et de l’autonomie (CDCA) et la présentation l’après-midi du futur Schéma de l’Autonomie, qui sera soumis à la délibération des élus de l’assemblée départementale en juin prochain. Il s’agit du 1er schéma unique en Meurthe-et-Moselle croisant le handicap et le grand âge.
http://www.meurthe-et-moselle.fr/sites/default/files/7%20avril%202017%20Journ%C3%A9e%20autonomie%20en%20Meurthe-et-Moselle.pdf
NOTICE ARTICLE ETUDE RECHERCHE Prévention de la récidive suicidaire à l’adolescence par SMS ou autre media
Communication Prévention de la récidive suicidaire à l’adolescence par SMS ou autre media
Fabienne Ligier a, b, , , Francis Guillemin b, c, Bernard Kabuth a
a Service
de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent, centre psychothérapique
de Nancy, Laxou, hôpital d’enfants, CHRU de Nancy, rue du Morvan, 54505
Vandoeuvre-lès-Nancy cedex, France
b EA 4360 Apemac, université de Lorraine, 54500 Vandoeuvre-Les-Nancy, France
c Inserm CIC-EC 1413, 54500 Vandoeuvre-Les-Nancy, France
In Press, Corrected Proof
Résumé
Prévenir la récidive suicidaire chez l’adolescent est l’une de nos préoccupations lorsque nous recevons un jeune patient dans les suites d’une tentative de suicide. En effet, la récidive suicidaire reste importante, comprise entre 14 % et 28 % dans l’année suivant la tentative de suicide étudiée. Dans ce but, les recommandations préconisent un suivi suffisamment long et valorisent le maintien du lien avec le service de soins, ce qui est loin d’être aisé auprès d’adolescents qui n’ont souvent aucune demande de soins. Cette communication présente tout d’abord brièvement trois études menées auprès d’adolescents suicidants. La première étude porte sur le poids de la récidive suicidaire sur le devenir des adolescents ; la deuxième porte sur l’impact de ne plus être joignable par les équipes de soins à un an d’une tentative de suicide et la troisième sur les modalités d’utilisation des média par les adolescents suicidants. Ces études convergent finalement vers une idée : l’intérêt de la mise en place d’un dispositif de veille en postvention. Enfin, le dispositif de veille MEDIACONNEX est présenté, dispositif basé sur l’envoi de messages par SMS ou tout autre média qui sera évalué à partir d’un essai contrôlé randomisé.
http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0003448717301154
b EA 4360 Apemac, université de Lorraine, 54500 Vandoeuvre-Les-Nancy, France
c Inserm CIC-EC 1413, 54500 Vandoeuvre-Les-Nancy, France
Annales Médico-psychologiques, revue psychiatrique
Available online 14 April 2017In Press, Corrected Proof
Résumé
Prévenir la récidive suicidaire chez l’adolescent est l’une de nos préoccupations lorsque nous recevons un jeune patient dans les suites d’une tentative de suicide. En effet, la récidive suicidaire reste importante, comprise entre 14 % et 28 % dans l’année suivant la tentative de suicide étudiée. Dans ce but, les recommandations préconisent un suivi suffisamment long et valorisent le maintien du lien avec le service de soins, ce qui est loin d’être aisé auprès d’adolescents qui n’ont souvent aucune demande de soins. Cette communication présente tout d’abord brièvement trois études menées auprès d’adolescents suicidants. La première étude porte sur le poids de la récidive suicidaire sur le devenir des adolescents ; la deuxième porte sur l’impact de ne plus être joignable par les équipes de soins à un an d’une tentative de suicide et la troisième sur les modalités d’utilisation des média par les adolescents suicidants. Ces études convergent finalement vers une idée : l’intérêt de la mise en place d’un dispositif de veille en postvention. Enfin, le dispositif de veille MEDIACONNEX est présenté, dispositif basé sur l’envoi de messages par SMS ou tout autre média qui sera évalué à partir d’un essai contrôlé randomisé.
jeudi 13 avril 2017
Nouvelle-Zélande Une stratégie pour prévenir le suicide : projet de consultation publique
Une stratégie pour prévenir le suicide en Nouvelle-Zélande: projet de consultation publique12 avril 2017RésuméChaque année, plus de 500 personnes meurent par suicide en Nouvelle-Zélande. Cela a un impact dévastateur sur la vie des personnes impliquées et nous affecte tous d'une manière ou d'une autre. La Stratégie de prévention du suicide de la Nouvelle-Zélande
2006-2016, qui a guidé les activités de prévention du suicide en
Nouvelle-Zélande depuis 2006, a pris fin. «Une
stratégie pour prévenir le suicide en Nouvelle-Zélande: un projet de
consultation publique» définit un cadre sur la façon dont nous pouvons
travailler ensemble pour réduire les comportements suicidaires en
Nouvelle-Zélande. Il identifie également un ensemble de domaines prioritaires d'action.
La consultation est ouverte jusqu'au lundi 12 juin 2017, 23 heures
https://www.health.govt.nz/publication/strategy-prevent-suicide-new-zealand-draft-public-consultation
La publication du projet de stratégie de prévention du suicide pour la consultation offre aux individus et aux organisations la possibilité de donner leur avis sur les actions prioritaires qui aideront à guider les activités de prévention du suicide.
"Le projet de stratégie reconnaît le besoin de contribution et d'engagement de la part de la société. Les services de santé, en particulier les services de santé mentale, et les organismes gouvernementaux ne peuvent pas faire ce travail seul.
"Il s'inspire également de la stratégie précédente, en mettant davantage l'accent sur les possibilités offertes aux gouvernements afin de mieux gérer les réponses intégrées et de partager des informations".
Le ministère de la Santé a organisé 23 ateliers autour du pays avec des familles, des fournisseurs, des cliniciens, des universitaires et d'autres organismes gouvernementaux qui ont contribué à l'élaboration du projet de stratégie.
Certains des thèmes émergeant des travaux préparatoires sur la façon de prévenir le suicide sont les suivants:La nécessité d'une large approche transversale et intergouvernementale; Un travail supplémentaire visant à réduire la stigmatisation autour du suicide et de la maladie mentale; Encourager le dialogue sur le sujet du suicide; En augmentant encore l'accès au soutien et à l'aide professionnelle, et en augmentant le soutien continu des parents et des familles.
«Ce financement bénéficie d'un supplément de 300 millions de dollars que le gouvernement a investi dans la santé mentale et les services de toxicomanie. Engageant les dépenses totales de santé dans ce domaine à plus de 1,4 milliard de dollars pour cet exercice financier », explique le Dr Coleman.
La consultation sur le projet de stratégie de prévention du suicide s'étend du 24 au 12 juin 2017. Le document est disponible sur le site Web du ministère de la Santé, www.health.govt.nz,
source complément information https://www.national.org.nz/views_being_sought_on_suicide_prevention
La consultation est ouverte jusqu'au lundi 12 juin 2017, 23 heures
https://www.health.govt.nz/publication/strategy-prevent-suicide-new-zealand-draft-public-consultation
La publication du projet de stratégie de prévention du suicide pour la consultation offre aux individus et aux organisations la possibilité de donner leur avis sur les actions prioritaires qui aideront à guider les activités de prévention du suicide.
"Le projet de stratégie reconnaît le besoin de contribution et d'engagement de la part de la société. Les services de santé, en particulier les services de santé mentale, et les organismes gouvernementaux ne peuvent pas faire ce travail seul.
"Il s'inspire également de la stratégie précédente, en mettant davantage l'accent sur les possibilités offertes aux gouvernements afin de mieux gérer les réponses intégrées et de partager des informations".
Le ministère de la Santé a organisé 23 ateliers autour du pays avec des familles, des fournisseurs, des cliniciens, des universitaires et d'autres organismes gouvernementaux qui ont contribué à l'élaboration du projet de stratégie.
Certains des thèmes émergeant des travaux préparatoires sur la façon de prévenir le suicide sont les suivants:La nécessité d'une large approche transversale et intergouvernementale; Un travail supplémentaire visant à réduire la stigmatisation autour du suicide et de la maladie mentale; Encourager le dialogue sur le sujet du suicide; En augmentant encore l'accès au soutien et à l'aide professionnelle, et en augmentant le soutien continu des parents et des familles.
«Ce financement bénéficie d'un supplément de 300 millions de dollars que le gouvernement a investi dans la santé mentale et les services de toxicomanie. Engageant les dépenses totales de santé dans ce domaine à plus de 1,4 milliard de dollars pour cet exercice financier », explique le Dr Coleman.
La consultation sur le projet de stratégie de prévention du suicide s'étend du 24 au 12 juin 2017. Le document est disponible sur le site Web du ministère de la Santé, www.health.govt.nz,
source complément information https://www.national.org.nz/views_being_sought_on_suicide_prevention
CANADA Des conseils pour les journalistes couvrant les problématiques de santé mentale dans les communautés autochtones
Des conseils pour les journalistes couvrant les problématiques de santé mentale dans les communautés autochtones maintenant disponibles grâce à En-Tête / Mindset
www.newswire.ca/*
Un nouveau chapitre sur la santé mentale des populations autochtones a été ajouté à la deuxième édition du guide En-Tête. (Groupe CNW/Canadian Journalism Forum on Violence ...
LONDON, ON, le 10 avril 2017 /CNW/ - Des précieux conseils et des références essentielles pour les journalistes canadiens couvrant les problématiques liées à la santé mentale au sein des communautés autochtones sont maintenant disponibles dans un guide déjà utilisé dans les salles de rédaction et les écoles de journalisme à travers le pays. On y retrouve des définitions ainsi que des suggestions pour une couverture efficace des enjeux liés aux problèmes de santé mentale.
Un nouveau chapitre a été ajouté dans cette nouvelle édition du guide bilingue En-Tête : reportage et santé mentale / Mindset: Reporting on mental health. Plus de 6 000 exemplaires de ces guides, introduits en 2014, sont déjà utilisés au pays. L'ombudsman du Globe and Mail a souligné le travail accompli dans En-Tête / Mindset, estimant qu'il établissait de nouvelles normes pour la couverture des enjeux de santé mentale au Canada.
En-Tête/Mindset est un projet du Forum du journalisme canadien sur la violence et le traumatisme, un organisme de bienfaisance éducatif dont l'objectif principal est le bien-être physique et mental des journalistes eux-mêmes. Le projet est appuyé par la Commission de la santé mentale du Canada, grâce au fonds de Santé Canada, et par CBC News.
Le président du Forum, Cliff Lonsdale, estime que ce nouveau chapitre explore des problématiques de santé mentale qui peuvent parfois laisser place au malentendu ou à l'incompréhension de la part des Canadiens non autochtones.
« Les facteurs sociaux jouent un rôle dans les troubles mentaux, tout comme dans le bien-être psychologique » explique-t-il. « L'expérience culturelle collective a une influence significative. Pour les peuples autochtones du Canada, cela réfère souvent au traumatisme intergénérationnel, résultat de la colonisation et des programmes d'assimilation des gouvernements que le juge en chef de la Cour suprême du Canada qualifie aujourd'hui de tentatives de génocide culturel ».
Et pourtant, ajoute Cliff Lonsdale, les problèmes de santé mentale sont représentés de façon très variables chez les membres des populations autochtones.
« Même parmi les groupes qui ont vécu des expériences et des traumatismes similaires, les problèmes de santé mentale se relfètent différement. Par exemple, le suicide, qui est deux fois plus présent chez les autochtones que dans la population en général, est très présent dans certaines communautés autochtones, alors qu'il est totalement absent dans d'autres. De nouvelles données nous laissent croire que cette résilience, observée dans certaines communautés spécifiques, serait liée à l'impression qu'ont ces individus d'avoir le contrôle sur leur vie et sur leur avenir. »
Des exemplaires des guides sont déjà disponibles sans frais pour les medias et les écoles de journalisme, jusqu'à épuisement des stocks. On peut également télécharger uniquement le nouveau chapître, ou encore la deuxième édition complète en format PDF à partir des sites web d'En-Tête et Mindset.
Nous désirons remercier Groupe CNW pour la publication de ce communiqué. SOURCE Canadian Journalism Forum on Violence and Trauma
* http://www.newswire.ca/fr/news-releases/des-conseils-pour-les-journalistes-couvrant-les-problematiques-de-sante-mentale-dans-les-communautes-autochtones-maintenant-disponibles-grace-a-en-tete--mindset-619026504.html
plus d'info sites web d'En-Tête et Mindset.
Couverture du suicide https://sites.google.com/a/journalismforum.ca/en-tete/couverture-du-suicide
www.newswire.ca/*
Un nouveau chapitre sur la santé mentale des populations autochtones a été ajouté à la deuxième édition du guide En-Tête. (Groupe CNW/Canadian Journalism Forum on Violence ...
LONDON, ON, le 10 avril 2017 /CNW/ - Des précieux conseils et des références essentielles pour les journalistes canadiens couvrant les problématiques liées à la santé mentale au sein des communautés autochtones sont maintenant disponibles dans un guide déjà utilisé dans les salles de rédaction et les écoles de journalisme à travers le pays. On y retrouve des définitions ainsi que des suggestions pour une couverture efficace des enjeux liés aux problèmes de santé mentale.
Un nouveau chapitre a été ajouté dans cette nouvelle édition du guide bilingue En-Tête : reportage et santé mentale / Mindset: Reporting on mental health. Plus de 6 000 exemplaires de ces guides, introduits en 2014, sont déjà utilisés au pays. L'ombudsman du Globe and Mail a souligné le travail accompli dans En-Tête / Mindset, estimant qu'il établissait de nouvelles normes pour la couverture des enjeux de santé mentale au Canada.
En-Tête/Mindset est un projet du Forum du journalisme canadien sur la violence et le traumatisme, un organisme de bienfaisance éducatif dont l'objectif principal est le bien-être physique et mental des journalistes eux-mêmes. Le projet est appuyé par la Commission de la santé mentale du Canada, grâce au fonds de Santé Canada, et par CBC News.
Le président du Forum, Cliff Lonsdale, estime que ce nouveau chapitre explore des problématiques de santé mentale qui peuvent parfois laisser place au malentendu ou à l'incompréhension de la part des Canadiens non autochtones.
« Les facteurs sociaux jouent un rôle dans les troubles mentaux, tout comme dans le bien-être psychologique » explique-t-il. « L'expérience culturelle collective a une influence significative. Pour les peuples autochtones du Canada, cela réfère souvent au traumatisme intergénérationnel, résultat de la colonisation et des programmes d'assimilation des gouvernements que le juge en chef de la Cour suprême du Canada qualifie aujourd'hui de tentatives de génocide culturel ».
Et pourtant, ajoute Cliff Lonsdale, les problèmes de santé mentale sont représentés de façon très variables chez les membres des populations autochtones.
« Même parmi les groupes qui ont vécu des expériences et des traumatismes similaires, les problèmes de santé mentale se relfètent différement. Par exemple, le suicide, qui est deux fois plus présent chez les autochtones que dans la population en général, est très présent dans certaines communautés autochtones, alors qu'il est totalement absent dans d'autres. De nouvelles données nous laissent croire que cette résilience, observée dans certaines communautés spécifiques, serait liée à l'impression qu'ont ces individus d'avoir le contrôle sur leur vie et sur leur avenir. »
Des exemplaires des guides sont déjà disponibles sans frais pour les medias et les écoles de journalisme, jusqu'à épuisement des stocks. On peut également télécharger uniquement le nouveau chapître, ou encore la deuxième édition complète en format PDF à partir des sites web d'En-Tête et Mindset.
Nous désirons remercier Groupe CNW pour la publication de ce communiqué. SOURCE Canadian Journalism Forum on Violence and Trauma
* http://www.newswire.ca/fr/news-releases/des-conseils-pour-les-journalistes-couvrant-les-problematiques-de-sante-mentale-dans-les-communautes-autochtones-maintenant-disponibles-grace-a-en-tete--mindset-619026504.html
plus d'info sites web d'En-Tête et Mindset.
Couverture du suicide https://sites.google.com/a/journalismforum.ca/en-tete/couverture-du-suicide
Rapport de la mission d'information sur la situation de la psychiatrie des mineurs en France en ligne
Le rapport complet de la mission d'information sur la situation de la psychiatrie des mineurs en France en ligne http://www.senat.fr/rap/r16-494/r16-4941.pdf
Avec entre autre l'Audition conjointe de M. Daniel Marcelli, professeur émérite de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, et du Pr Viviane Kovess-Masféty, présidente de la commission spécialisée évaluation, stratégie et prospective (CSESP) du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) (Mercredi 15 février 2017) qui a porté plus particulièrement sur le suicide des jeunes (P 407)
Situation de la psychiatrie des mineurs en France
Rapport d'information de M. Michel AMIEL, fait au nom de la MI situation psychiatrie mineurs en France n° 494 (2016-2017) - 4 avril 2017
plus d'info http://www.senat.fr/notice-rapport/2016/r16-494-notice.html
Avec entre autre l'Audition conjointe de M. Daniel Marcelli, professeur émérite de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, et du Pr Viviane Kovess-Masféty, présidente de la commission spécialisée évaluation, stratégie et prospective (CSESP) du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) (Mercredi 15 février 2017) qui a porté plus particulièrement sur le suicide des jeunes (P 407)
Situation de la psychiatrie des mineurs en France
Rapport d'information de M. Michel AMIEL, fait au nom de la MI situation psychiatrie mineurs en France n° 494 (2016-2017) - 4 avril 2017
plus d'info http://www.senat.fr/notice-rapport/2016/r16-494-notice.html
mardi 11 avril 2017
PARUTION « Le bien-être au travail » Collectif
Le bien-être au travail
avril 2017 - Presses de l'EHESP
Olivier Bachelard (dir)
Nathalie Loiseau (Préface)
Nouveauté
Feuilleter l'ouvrage
La recherche du bien-être au travail des agents publics ne se réduit pas au domaine de la prévention « Santé et sécurité au travail ». C’est aujourd’hui une composante de la performance globale, de l’efficience et de la qualité du service. Promouvoir des relations bienveillantes au travail permettrait de faire face sur le terrain aux contraintes budgétaires et aux attentes du public.
Les organisations publiques ont ainsi pris conscience de la nécessité de s’interroger sur ce sujet par le biais d’un management approprié. Accompagner les agents, les aider à évoluer dans leurs pratiques, mieux gérer leurs émotions et développer des logiques coopératives transversales seraient autant de clés pour éviter que l’urgence et les problèmes du quotidien ne s’imposent au détriment d’une logique plus solidaire.
À l’appui de huit études de cas et de leur analyse critique, des chercheurs et des praticiens (officiers, policiers, proviseur, directrice de CPAM, DRH d’hôpital…) issus des trois fonctions publiques décortiquent les notions de bien-être et de bienveillance au travail, dans le but d’atteindre un fonctionnement optimisé favorisant l’innovation et l’engagement de chacun au profit de tous.
Collection : Profession Cadre Service Public
Public : Professionnels
Catégorie d'ouvrage : Recherche
Domaines(s) : Management Santé / Social
Thématique(s) : Conduite du changement et management opérationnel
source https://www.presses.ehesp.fr/produit/bien-etre-travail-2/
avril 2017 - Presses de l'EHESP
Olivier Bachelard (dir)
Nathalie Loiseau (Préface)
Nouveauté
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La recherche du bien-être au travail des agents publics ne se réduit pas au domaine de la prévention « Santé et sécurité au travail ». C’est aujourd’hui une composante de la performance globale, de l’efficience et de la qualité du service. Promouvoir des relations bienveillantes au travail permettrait de faire face sur le terrain aux contraintes budgétaires et aux attentes du public.
Les organisations publiques ont ainsi pris conscience de la nécessité de s’interroger sur ce sujet par le biais d’un management approprié. Accompagner les agents, les aider à évoluer dans leurs pratiques, mieux gérer leurs émotions et développer des logiques coopératives transversales seraient autant de clés pour éviter que l’urgence et les problèmes du quotidien ne s’imposent au détriment d’une logique plus solidaire.
À l’appui de huit études de cas et de leur analyse critique, des chercheurs et des praticiens (officiers, policiers, proviseur, directrice de CPAM, DRH d’hôpital…) issus des trois fonctions publiques décortiquent les notions de bien-être et de bienveillance au travail, dans le but d’atteindre un fonctionnement optimisé favorisant l’innovation et l’engagement de chacun au profit de tous.
Collection : Profession Cadre Service Public
Public : Professionnels
Catégorie d'ouvrage : Recherche
Domaines(s) : Management Santé / Social
Thématique(s) : Conduite du changement et management opérationnel
source https://www.presses.ehesp.fr/produit/bien-etre-travail-2/
MANIFESTATION Polynésie Française 18 au 20 avril 2017 Colloque des journées d’Urgence du Pacifique 2017
Colloque des journées d’Urgence du Pacifique 2017
Dans le cadre des journées
du Pacifique, du Mardi 18 au Jeudi 20 Avril, aura lieu un colloque avec
une session consacrée aux urgences psychiatriques et prise en charge
des suicidants le mercredi 19 avril à partir de 13h30 au grand
amphithéâtre du Centre Hospitalier de Polynésie Française (CHPF).
Le Dr Yasmina BOYD,
médecin français travaillant aux urgences du San Bernardino hospital de
Los Angeles sera l’invité de cette session organisée conjointement par
le Département de Psychiatrie et SOS Suicide grâce à un sponsor.
Qui est donc Yasmina BOYD ?
Yasmina est un médecin urgentiste
franco-américain. Après avoir vécu à Tahiti jusqu’à 18 ans où elle a
obtenu son BAC, elle a fait ses études de médecine aux Etats-Unis. Elle
exerce en tant que médecin urgentiste au San Bernardino Hospital (Los
Angeles) depuis 2008. Elle est également qualifiée en ostéopathie depuis
1996. Elle est polyvalente dans son exercice, avec une grande activité
dans les pathologies neuro-vasculaires, traumatiques (blessures par arme
à feu) et psychiatriques (tentatives de suicide).
PARUTION Postvention in Action: The International Handbook of Suicide Bereavement Support
Postvention in Action: The International Handbook of Suicide Bereavement Support
by Karl Andriessen (Author), Karolina Krysinska (Author), Onja T. Grad (Author)
Hogrefe Publishing (avril 2017)
Language: English
de Jean Pierre Soubrier, Centre Ressource en Suicidologie CRES, Paris et Jean-Jacques Chavagnat, Centre Hopitalier Henri-Laborit Poitiers, Fédération Européenne Vivre son son deuil, France.
https://us.hogrefe.com/shop/postvention-in-action-76282.html
by Karl Andriessen (Author), Karolina Krysinska (Author), Onja T. Grad (Author)
Hogrefe Publishing (avril 2017)
Language: English
Résumé du livre
Le suicide n’est pas simplement
l’acte d’une personne, il a toujours un effet sur les autres et peut même
augmenter le risque de suicide chez ceux qui restent. L’Association
Internationale pour la Prévention du Suicide, l’Organisation Mondiale de la Santé,
et d’autres ont reconnu la postvention comme une stratégie importante pour la
prévention du suicide. Ce livre, unique et complet, auquel ont contribué près
de 100 experts internationaux, comprenant des chercheurs, des cliniciens, des animateurs
de groupes de soutien, et des endeuillés du suicide, présente un exemple majeur
dans le soutien des endeuillés par suicide.
La première partie examine les
concepts clés et les évènements que les endeuillés traversent, et les
démontrent à l’aide de vignettes cliniques brillantes. Les deuxièmes et
troisièmes parties présentent le soutien au deuil proposé dans les lieux les
plus spécifiques comprenant les pratiques médicales, les lieux de travail, en
ligne et bien d’autres. De même que dans des groupes spécifiques comme celui
des professionnels de santé.
Dans la section finale, le livre expose
en détail le soutien apporté aux endeuillés par suicide dans pas moins de 23
pays, démontrant que la postvention fait partie d’une stratégie mondiale de prévention
du suicide. Ces chapitres procurent aussi des notions et des idées pour étendre
et améliorer la postvention dans des domaines nouveaux ou déjà existants. Ce
livre unique procure une lecture indispensable pour tous ceux concernés par la
recherche et la pratique de la prévention du suicide ou de la postvention
suicide.
A noter le chapitre 34 dédié à la posvention en France
de Jean Pierre Soubrier, Centre Ressource en Suicidologie CRES, Paris et Jean-Jacques Chavagnat, Centre Hopitalier Henri-Laborit Poitiers, Fédération Européenne Vivre son son deuil, France.
Résumé du Chapitre : Le soutien au deuil par suicide
est l’une des priorités du programme national complet de prévention du suicide
en France. Durant les dernières décennies les autorités sanitaires ont mis en
place progressivement plusieurs politiques de prévention du suicide, incluant
la postvention suicide, impliquant à la fois le secteur public et le secteur
privé. Ce chapitre décrit les trois catégories majeures de soutien au deuil
après suicide disponibles en France : la postvention au travail, le
soutien médical et psychologique, et l’assistance par les associations d’endeuillés.
Ainsi que la participation du Groupement d’Études et de Prévention du Suicide
(GEPS) et les travaux de l’Observatoire National du Suicide (ONS).
https://us.hogrefe.com/shop/postvention-in-action-76282.html